vaste bleue murmure contes oubliés de ces chairs dévorées,

souvenances effleurent pensées, et tel plus doux mirage elle se revoit auprès de celle aux mille lumières. madone-tendresse, effigie en son sein, le cœur marqué de ses mains. belle de savoirs, aux chimères histoires aura déposé son souffle aux esgourdes de séraphine noire.
ainsi, living paré d'opulence, devient sanctuaire de l'aura laborieuse. c'est le calme quêté, pour discerner idiome oublié, parmi éclats de glaise brisé. tantôt tablée, est désormais converti en étal aux mille fouilles; planches élimées en berceau des poussières, ici tant de fragments étalés de cette jarre sacrifiée. ce tombeau des maudits, aura laissé s'échapper le venin qui souille âmes des trahis.

et depuis la pièce, les silences font échos aux aubades que susurre la mer; houleuses sont les capricieuses qui s'écrasent contre coque, siffle la brise et craquèlent boiseries rongées, quand alors symphonie agréable devient cadence sourde face aux bruits de corridor. sons lourds de la traversée du géant; colosse-cerbère qui escorte captive du frère au travers dédales du paquebot doré, approche chrysalide des rémiges assoupies. et clepsydre crachote derniers sablons, avant rencontre de l'ailée sur perchoir, et vulpe narguant ses espoirs. puis, à la volée, battant geint vieillesse, s'écarquillant pour en dévoiler convives. ainsi liche lovée dans son assise, lorgne faciès depuis trône improvisé.
"thanks, all will be well." palabres duveteuses chassent le dogue, et l'œillade curieuse sonde ainsi muse de glace. motus; beautés se retrouvent alors seules spectatrices de leurs reflets. où songes s'évadent dès lors aux intentions volées.

elle est vestiges, créature peu conquise, l'indomptée aux voraces ardeurs qui sème déjà gangrène sur vaisseau du frater.
elle est curiosité inavouée, inédite aux rétines désireuses du savoir qui fascine, silhouette de chair, n'est que terrible fantasmagorie qui brûle la rétine. aux peut-être mystères de ces contrées dévastées, tiraillés entre deux hémisphères. et loin des terres, oscillant parmi ces houles chancelantes, les miroirs se lient enfin pour affreuses litanies; car murmures sont déjà plus que futurs échos des augures, des méfaits pourtant déjà accomplis.

"i didn't quite understand your usefulness here.. but i imagine than for gold, men are capable of stupidities. or is it a matter of pride? – whatever, how do you feel? sick? you look feverish. hungry?" s'épèlent syllabes tacites en hâte, quand fusionne famine et peste-nouvelle. et bien que mirettes se soient échappées depuis, ralliées à la besogne fâcheuse de cette décade de débris captifs des serres, qui s'assemblent et se disloquent aussitôt, "oh that's rude of me, i hardly know your name, remind me?" oiselle s'épanche de suffisance-génique, et mime risette sans ériger propre blason.

spectatrice s'abreuve du fameux tableau; comédie burlesque aux chants funestes. céruléennes toisent les traits séraphins, constate gestique malade de cette saltimbanque des maux, par cent autres mots, et quand elle tend l'esgourde face aux palabres ondoyantes; celles-ci sont entendues tels murmures de diablesse, capricieuses dans la faiblesse. car désormais, teigne est vue comme désastre, infant du fantasque.

motus scelle pulpeuses, de ces silences qui pèsent sous mille sens, puisque rétines semblent seules causeuses, elles qui dissèquent dès lors lambeaux d'âme de cette captive martyre à la fièvre infâme. "anyway what’s your utility around here… fixing dishes? you must have a lot on your plate — no pun intended." et risette se crayonne superbe, quand oiselle s'amuse devant bravouve absurde. "oh, i see— you've got a glib tongue, now i understand why you're still alive. or precisely not." mine finaude, syllabes sont offenses parmi les offenses, quand toutefois seule volonté demeure guérison de damnée, mais alors, aux vocables pernicieuses qui persistent, méninges sont saisis, et ainsi rictus se ravale. et peu à peu, raison s'échappe; la pense piquée au cœur. courroucée qui vibre de démence, ne peut qu'être férue, ne peut que l'être de l'écumeur délétère, de ce sans-amour.

dame se délasse, et d'une lorgnade qui se fait juge, écarte presque les émois de belle éprise. puisque ceux-ci valsent déjà parmi les abysses; ballet mirifique danse quasi l'amour, s'embrase sous espoir-fatalité quand frangine voit guère frater l'aimer; n'est que détenue entichée, et bien qu'univers reste tantôt offrandes miraculeuses, l'autre préfère les croire toutes infestées, en présents empoissonnés. car elle le sait, battants finissent ô toujours tous inanimés. "please.. you don't look that stupid. if you think you can make a difference, you're wrong. you're not the first and you won't be the last." alors, syllabes sont venins exquis, et bien que sincères, bien que celle-ci se veut sauveuse, syllabes sont fissures. brisures infectes qui gavent panse de l'animal vulcain. sustentent fléau qui ronge entrailles de la nymphe, quand s'étale ainsi l'évidence gobée. et attire sans le vouloir, malin en son sein.

    en dame immaculée elle en est navrée,

puisque déjà, besogne est reprise. et au toucher-méprise, perçoit monstre hurleur. la négative qui paralyse la carne, les phalanges suspendues par-dessus mille poussières; cri du corps au myocarde maculé, elle qui gronde quand l'ave menace. curieuse pupille épie galbe de cette trogne blafarde; au nom du cœur, noirci par le désespoir dévoreur. elle capte, première erreur, ravale même terreur. "wait.. stop talking, we'll say our love notes later. something's not right."
alors, osseuses habiles effleurent encore les débris, et dans l'essor unifie deux fragments, et se dévoilent lettrines antiques qui fascinent. guette alors réaction de l'aura profane. étudie presque otage telle bête noire, dans le cabinet de ses déraisons. "what do you know about this urn?"