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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
i will burn your kingdom down if you tried to conquer me and mine.
a p p l a u s e
c’est au cœur de l’école de guerre qu’on accueille l’évènement. dans un décor noyé dans l’grandiose se dresse tableau biblique du futur couronnement. opulence certaine arrachée aux divins. tout semble couler à flot. mondanité dégueule son indécence et montre son élitisme pour affirmer puissance écrasante au reste du monde. richesse exposée en signe de force inébranlable. l’autoritaire se voit sacré par peuple tout puissant. son nom résonne dans la scène et c’est fier qu’il se dresse au devant de ceux qu’il a juré d’servir. son uniforme éblouit. les médailles semblent être diamants quand les lumières viennent sur lui. applaudissements s’arrêtent et le couronné s'élève au devant. silence. my father had a dream. the dream of being admiral. to be at that exact same place i am right now. le doigt pointe le pupitre, insistant sur les mots. le regard balaye l’assemblée. but he died before reaching it and his dream became mine. my goal was to be here before you ready to lead the navy. and i know all of you expect of me a speech about how i’m going to lead with strength and determination, but i’m a man of actions. words are not necessary. proofs are. and i’m going to prove you my strength with a unwavering determination. i will lead the navy like my predecessors did before me. i will continue their work, yes but i’ll do more. i will guide the golden age of the navy and you all will be the future conquerors of this world. together we will pursuit the goal of so many who couldn’t achieve it. les gestes accompagnent les mots. chorégraphie répétée. millimétrée. pantin articulé par le nouvel ordre. au pays des privilégiés, l'autorité se voit sacrée dans les fracas des applaudissements.
en résumé:
on est à l'école de guerre, y'a un décors pas possible, tout le monde est super bien fringué tout ça tout ça, y'a le buffet à volonté qui attend qu'une chose: se faire démonter. ça introduit wernher en tant que nouvel amiral (je l'ai pas marqué sinon le rp durait dix ans), wewe lâche son meilleur discours. et ensuite c'est fiesta pcq on est pas venu ici pour enfiler des perles.
Faudrait lui montrer où son armure finit et où sa peau commence. Faudrait qu'elle oublie que parfois faut amputer pour survivre mais que cicatriser peut aussi suffire.
Faudrait qu'elle se rappelle que le sang est avant tout une couleur, pas une douleur.
Mais les "il faut" elle les emmerde et préfère jouer à la roulette russe avec sa vie sur l'océan...
nature : (( humanité )) éperdue
saisons : (( 34 )) tempêtes au compteur
myocarde : ça fait un bail qu’elle ne s’est pas accrochée à quelqu’un, elle n’a pas d’temps à consacrer à l’amour ou peut-être que c’est juste une excuse pour planquer la peur de s’faire bouffer ce qui lui reste
besogne : (( navy )) plein la tête, enseigne sur le météor en seconde peau, et le coeur qui s'détache peu à peu d'la propagande anti-hybride
errance : d'îles en îles, au gré des missions de la navy. et puis souvent les pieds à terre entre lawfort et barter bay
Le faste qui éclate les rétines. Tous les joyaux sont de sortis, même elle en uniforme de cérémonie, a réussi à esquiver la robe dentelle. Militaire avant tout. Et comme toujours dans ces instants mondains, y a cette dysharmonie qui palpite dans ses tripes. Et tout ce qui brille lui rappelle combien d’autres en manquent cruellement. Elle imagine si facilement combien de pièces dorées elle pourrait encore dérober si elle était toujours cette gamine orpheline. C’est pas sa place. Papy Attila serait bien d’accord si il était encore de ce monde. Quand certains dégainent un certain respect, d’autres regards murmurent la même vieille chanson. Mais la voix de Werhner coupe court à tout brouhaha. Les attentions se vissent sur le nouvel amiral. Fier et rutilant. Reflet miroir, elle redresse la tête, dos droit. Le discours file directement jusqu’au but, à l’image du haut gradé. Tous l’en remercient et les mains offrent un nouvel hymne au nom des Attila. Elle s’y attendait sans se douter à quel point l’opulence serait de mise. Faux semblants et sourires forcés en pièces maîtresses, elle incline légèrement la tête quand on lui demande si elle est fière de son père. “Of course, he worked hard.” Oeillade sur le concerné. Il est déjà bien entouré : vautours et harpies prêts à le convoiter. Elle hausse un sourcil et retient un sourire moqueur quand deux vieilles peaux tentent de s’accrocher à son bras quelques secondes pour le féliciter. Heureusement, les capitaines de navire rappellent qu’il n’y a pas que la politique. Ça rassure quelque peu le myocarde battant dans sa cage d’os. Et elle reste en retrait à l’observer appréciant cette heure de gloire tant désirée. Enfin la sincérité se dessine sur ses lèvres mutines, lueur attendrie au fond d’ses azurs… Faudrait pas qu’on le remarque, alors elle capture quelques bulles de l’ichor hâlé pour s’y dissimuler.
en résumé:
lucca est fière et applaudit son père, sans oublier de faire face aux commérages habituels à ces fêtes mondaines. elle est plus observatrice qu’actrice pour l’instant et se cache derrière l’alcool pour paraître occupée.
la navy, les meilleurs<3 [crédit; notmyself]
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you did what you did, i felt how i felt, and it is what it is
they should know whom to blame when the sky falls down upon them
( music | moodboard )
nature : noyée par sa mélancholie faisant taire sa furie, humaine gravée dans un marbre effrité au milieu de ruines familiales amoncelées en ravage destitué.
saisons : saisons trépassées depuis (( quarante-cinq )) années, elle les voit ainsi, inlassablement défiler sous son regard assombri d'épreuves accumulées.
myocarde : mari éteint, astreint au silence du défunt que l’océan a englouti dans le secret de sa faute pêcheresse. (( veuve )) aux yeux de la mondanité.
besogne : représentante de l'autorité aux futures générations à l'innocence bafouée; directrice adjointe de l’école de guerre et enseignante de sciences naturelles.
errance : l’île de naissance et de toutes les possibilités, (( lawfort )) comme résidence en éternelle souveraine de ces terres.
We'll go down in history Remember me for centuries
Cérémonie spartiate, l'étincelante école de guerre devenue réceptacle de la mondanité guerrière et mondaine. Capharnaüm pédantesque des seigneurs et dames en atouts démesurés, les apparences ici font loi, masque d’apparat sous ses sourires forcés de ses visages camouflés en flatterie déguisés. Représentante des Ackerman remarquée, présente depuis presque le début des festivités. Fait le tour des cercles, enseignants, anciens collègues dans l’ingénierie navale, membres de la navy avec qui elle s’affuble de ses traits bienveillants malgré l'amoncellement de ses tourments. Coupelle ambrée en main, ambiance soudainement silencieuse lorsque le promu se voit devenir étincelant par ses dires attendues. Lumière faisant sur sa silhouette, murmures deviennent muettes. L'homélie de l'amiral sonnant carillon de formalisme martiale impétueux.
L’enseignante écoute d’une attention analytique. Mention du paternel trépassé. A son évocation, l’image matérialisée dans son subconscient, un esprit à la pédagogie impartiale mais d’une justesse inébranlable. Nostalgie laissant place à la formalité de l’ambition de leur constitution. Pratique mis en valeur face à la nébuleuse théorie pourtant appliquée avec conviction au sein même de cette bâtisse transformée en lieu de festivité. [...] you all will be the future conquerors of this world [...] résonne comme une quête cravachée, sueur et larmes amoncelées ces dernières années au détriment de ses propres convictions attablées. Les sauver quitte à outrepasser le cadre de cette mondanité. Discours achevé sous tumulte des paumes s'entrechoquant d’acclamation. Soldate remontée, y accomplit les mêmes gestes avant de reprendre sa coupe entreposée. Pensées qui virevoltent vers une âme que son regard ne met pas longtemps à croiser. La fille de celui se trouvant trop vite entouré. « You’re the lucky one. » Maintien à la grâce ineffable, le regard sur les hyènes gloussant autour du roi trépidant. « At least you don't have to put up with hypocritical smiles from your so-called admirers. » Palais piqué du breuvage doré en réhaussant sourcils face au théâtre des chœurs assourdissant de tartuferie dont elle est une des protagonistes. « You are now the heiress of a politician. Congratulations. » Cynisme des sens, risette pincée devant le spectacle de la réussite proclamée. Croise le regard du concerné au détour de plusieurs mètres de distance. Verre levé en salutation méritée avec de retrouver son rebord humecté. « Which is much worse than captain. Good luck. » marmonné dans le paradoxe troublant de son visage enchanté.
résumé:
pia est présente depuis le début des festivités, elle fait le tour des différentes cercles, puis discours commence, elle écoute et acquiesce c bo, à la fin remarque ouioui en mode superstar ultra entouré au contraire de lucca qui fait genre, décide de la rejoindre pour bitcher un peu, elle commence à peine à être pompette et dire un tout haut ce qu’elle pense (ou du moins ce qu’elle dirait pas dans la sphère publique lolilol) (votre perso peut l'avoir entendu pour rentrer dans la conv) et elle salue l'amiral au loin en levant son verre, tchin.
la navy les best [crédit; renegade, cinematv]
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-- "You know, hope is a mistake. If you can't fix what's broken, you'll go insane."
Happy foxes and sad sacks Fat cats and starving dogs
a p p l a u s e
Tintement de l'argenterie fine sur fond de musique de chambre. Les huiles du continent s'activaient, agitaient leurs mains de pantins en rythme avec leurs langues de bois. On distinguait sans peine les gratte-papier du personnel naviguant. Le goût du risque, le mépris du danger vous taillait des gueules et aiguisait des regards comme on en voyait pas derrière les bureaux. La cruauté du sort voulait que l'uniforme faillait à sa mission de normalisation et ne faisait que renforcer l'écart entre les deux espèces ; aussi dissemblables que rongeurs et rapaces, les uns étaient étouffés par les étoffes, les autres s'en drapaient d'un orgueil guerrier. Wernher brillait auprès de ces derniers. Il se serait inclus auprès de ces happy few si sa propre livrée ainsi portée par ses épaules ne lui inspirait pas un dégout certain. Son respect de l'uniforme n'y était pour rien - Ou plutôt. Son respect de l'uniforme lui dictait qu'une bête coupable de ses crimes ne pouvait porter l'uniforme sans le déshonorer. Cette date marquait en sus sa première apparition en public depuis son retour, avec cela venait un certain manque d'acclimatation. Cela viendrait, cela reviendrait rassurait sa femme. Et puis, si les rond-de-cuir pouvaient porter gallons et étoiles sans honte, lui pouvait bien ranger sa conscience quelques heures et en faire de même. Et si jamais, il n'y avait là nul scrupule qu'un peu d'alcool ne pouvait faire taire. On ne faisait pas plus sage femme. Il allait sans dire que le beau sexe échappait à ses théories spécistes de mess. Là où il y avait pour les uns que jugements sévères, il ne réservait pour les autres que ravissement et admiration. Sa Bella brillait auprès de ces dernières. Voyant que son mari cherchait à envoyer ses scrupules par le fond avec force verres, elle s’éclipsa sans demander son reste. Mais ce n'était pas grave, car même si sa Bella brillait haut, elle n'était pas la seule ; sa nouvelle supérieure n'était pas en reste non plus. « Knowing him, I wouldn't bet on him putting up with those smiles for long. » Le rang de Polaris n'avait jamais eu autant de sens et de vérité qu'à présent que Wernher en revêtait le manteau. Et de même que tout le firmament tournait autour de l'axe donné par l'étoile du nord, toute la nomenklatura locale rodait autour de lui - eut-il observé l'assemblée plus longtemps, il aurait peut-être même pu y compter sa femme. Son sourire et ton léger compensaient, il espérait, la lourdeur presque volontaire de ses paroles : « I do hope you will not count me among those hypocrites when I say that although we're celebrating the advent of a new Polaris, it's you ladies who are shining the brightest tonight. » Il ponctua son entrée par un salut profond de la tête, et se risqua même a faire un clin d’œil à Lucca sur la remontée. « Call me an optimist, but I do belive he could change things. They will have to adapt to him, not the other way round. Il en allait ainsi des Attila. Don't you agree? »
en résumé:
mdr excusez la longueur je me suis emportée. Mais donc. Marek débarque façon mauvaise ambiance, remplit ses cales de courage liquide puis joue du bagout éhontément auprès de @Olympia Ackerman et @Lucca Attila .
la navy, le sang [crédit; mes fesses ft. Bartolomeo Cavarozzi, La Sainte Famille]
___bonne figure au sein des rois; ils sont fable contée par milles oiselets. c'est qu'ils sont pléiades, ces gerbes de perles; tant pâlies d'ocre et de faste, ils déguisent sainte mère des astres pour le père. belle assemblée se fait ainsi gloriole; piaffent avec leurs rondes encolures. tirés de milles bretelles et couvés de soie, ils se peignent en beaux augures. ainsi dressés, ils font de leur cacophonie, une sonate tapageuse. et pendant qu'ovation se lève en parterre, narcisse se terre dans l'ombre pour s'y dévorer encore le reflet; céruléennes monacales, l'éphèbe se gomme le pli du col. et bientôt, v'là qu'il s'élance à garde levée. squale navigue sans son, à cadence sournoise. loin des harpes, à lieues de la foule éclairée, narcisse se chante aux échos de ses souliers polis. avant de saluer son bel orgueil, il fait vrombir les corridors déserts; avant les joutes, cavalier fait glapir l'audace pour que bientôt, elle s'hurle sous les jetées de roses. ___dans la mêlée, l'icare souffle sa mantelure au dessus de ses bons pas. les vernies claquent plancher ciré, sans que rien n'agace la perfection de son audace. gosier réclame ce qu'il vient bientôt apporté aux lippes.
___et au dessus de la mêlée, stature remarquable ne glapit mot. l'adonis fait prédation, à jouer ainsi de voyeurisme. narcisse sans reflets fait désormais l'ombre à l'icare éteint. quand enfin, susurres effleurent l'attention. — "call me an optimist, but i do believe he could change things. they will have to adapt to him, not the other way round. don't you agree?" phonèmes font encore geindre leurs échos, qu'il fait déjà fondre son velours. — "i don't." marasme d'arrogance, quand jouant des éclanches, il se taille trône grossier pour exhiber buste enflé. bleuets s'épanchent sur la peuplade; et alors que l'ambre javellise l'œsophage, l'animal enchante son auditoire. — "see, old sports, we are only the witnesses of a villainy new chapter of an old book.. -- sur l'éclanche fraternelle, il y pose l'empreinte. commissures gavées de suffisance, il arbore comédie de bienveillance, fait luire au creux des orbites, la faim arrogante. we hope this new wind will bring answers to questions that only the weak ask. it doesn't matter who poses as a saint, it's up to you to play your cards." palabres s'enfilent, alors que l'attention se feint ailleurs. chirurgien révise l'anatomie d'une tragédie; car bleuets s'épanchent sur belle étoile blanche pendant que méninges s'affairent en coulisses. museau piqué dans l'ambre, il se permet énième gorgée avant qu'un souffle hilare l'arrache à sa contemplation. unfortunately for us, unless we're dealing with a relentless game master, the game seems pretty.. easy." l'éclat résonne, quand il donne une frappe sur l'éclanche jusqu'alors étreinte. ô misère, l'icare faire bourrasque de ses ailes. et soudain, calomnies chantées font place à l'ingénue; grandiloquent lorsque prunelles posées sur dames, il s'exclame encore. — "ladies, may i say: you are a true sight for sore eyes. i sure will beg you for a dance later tonight; you're warned. les œillades sont distraites car il semble que la faim flaire le festin. — "if you'll excuse me.. bienséance mâchée, il s'égare, s'évapore comme âme méphistophélique. car v'là que déjà, il se jette à gamelle du monarque [@wernher attila] et fait plier roseaux sous sa houle. — "may i present you my dearest sentiments for your coronation, sir. after all, who would have thought you could one day be appointed to such a prestigious order?" squale aux rangées découvertes, il est comédien devant badauds fantômes, diablerie devant le reste. — "and your words.. my, my, my. a true hero already. -- lippes blanchies, s'étirent en angelot alors qu'il porte décibels contre voûte, pour quérir l'attention des derniers vautours. a true speech for a true leader, isn't it, comrades? be careful though, disappointment and resentment are twin emotions. isn't a saying of our old peers.. -- faciès renversé par la fausse interrogation, s'illumine soudain pour chanter l'anathème. hear, hear: "we will hold you to your words and responsible for your wrongs!" et enfin, claque l'hilarité; fait secousse de sa carcasse, se joint au marasme nourri de la foule que rien n'alarme. coupe levée jusqu'au menton, il enjoint le reste à faire de même. — "cheers!" ô vile insurgé, que l'acabit de roi déguise à peine.
résumé:
nick fait enfin montre de sa présence, non sans avoir esquivé le discours flamboyant de l'amiral. se mêlant à la belle populace, il surprend les derniers mots de marek à qui il se permet de répondre, sans chercher d'invitation. il dégueule son beau parler mais surtout sa plus belle arrogance, non sans milles et une allusions. finalement, et après avoir complimenté ses dames, il se joint au cercle de l'amiral qu'il écarte pour être au centre et ainsi le féliciter.. non sans jouer d'un humour.. bien à lui? il se finit en un toast, à verre levé
in a land of sharks and squales only the strongs survive
a p p l a u s e
aux abysses de l’âme, résonnent les armes, s’emparent des larmes, façonnent les drames. discours enflamme, mondains s’exclament en chuchots infâmes, quand démon dérive aux abords des flots. vaste étendue d’ingrats aux airs hypocrites, d’ignares aux mots dérisoires, tranchants comme rasoirs, fayots avec espoir, s’approchant de l’empereur, et priant jusqu’aux moires. épopée d’injustes aux semblants de vaillants, miasmes d’une société oubliant les marées, vivants de tout sans se douter de rien, quand guerroient les braves, face aux monstres d’antan, esclaves des enfers, comme enfants des horreurs. pourrie est la vie, quand on la prend pour acquise.
12/03/564 - seems like injustice, be it a much simpler word than its concept, brings storms in the eyes of our kind. let time be our enemy, and self control becomes as hard as seeing food for the first time in days of famine.
extrait de ackerman’s last hope
comme rage engourdie, ire d’un rustre face aux fracas des ignorants, accorde dédain aux paroles des incapables, et s’empare de l’opportunité quand rayonne son sang aux côtés de celui du nouveau roi. d’un bal de prétendants, s’amuse presque de cette farandole de ces fidèles guerriers, quand entend l’orion et ses doutes imperturbables. hérésie d’un joueur face aux déclarations et décisions des arbitres, dévoile ses crocs, d’un sourire presque enjoué. d’une joute s’y jette, d’un jeu s’y prête, en bon joueur s’y met, sans attendre d’y être convié. then, should we wait and see ? the game might look easy, but you never know what to expect, dear friend. perhaps this one will satisfy you in the end.
be it for the curse or the old tales, the secret we shall keep. but within our eternal fight, let’s not forget the true nature of our powers. we, ackermans, are the embodiment of justice, as it is its enemy that drives us into this madness. and if a cure we seek, we must never forget our deepest instincts. as we are humanity last hope.
ajouts de deimos au ackerman’s last hope
and if not, just don’t forget who the true opponents are. d’un regard, se fait maître, oublie râles, oublie rage. mais comprend les craintes, quand réalise qu’au sommet ne se tient pas l’un des siens. si seuls saints s’y prétendent, cette place n’est pas leur, mais devant spectacle d’un prétentieux au devant d’un chanceux, ne peut qu’exhiber jalousie de ne pas applaudir son propre ichor.
it doesn’t matter who poses as a saint ? what a joke to be told.
s’en retourne aux sublimes, aînée princière, splendide comme toujours, aux côtés d’un oublié optimiste et d’une beauté dont il connaît moindres recoins. ah, i hope i didn’t ruin the mood. if you ask me, i don’t really care of tonight, i just want to be back on the nebula. d’un clin d’œil, la provoque, celle qui ne cesse de jurer au nom d’un petit bateau, quand navire reine claque sous la langue. comme un besoin de s’échapper, des grandiloquences de cette soirée, comme de la présence d’un revenant qui sonne le glas d’un autre tombé à jamais. oh, i almost forgot. you really look gorgeous, sister, as always. well, both of you, of course. i guess everyone agrees on that point. d’un compliment, abandonne rivages en perdition, pour retrouver ses habitudes et quelques prouesses verbales. que nul naufrage ne s’incruste en cette fête en l’honneur d’une nouvelle étoile.
en résumé:
fidèle à lui-même, deimos n’aime pas ce genre de soirées où il pleut des hypocrites. s’ennuie ferme, et s’échappe d’une conversation barbante en voyant sa tendre sœur (et les autres), pour arriver pile quand monsieur pas content crache sur ouioui. non sans réfuter (i mean, il y a de la vérité hein), il entre dans la convo parce que why not, et quand nick s’en va taper du polaris, il provoque un tout petit peu miss meteor (parce que le nebula c’est quand même mieux). et il n’oublie pas de complimenter les plus belles ~
la navy, les vrais [crédit; martyr]
_____________________ -- and it wasn't my choice to love you but it was mine to leave. --
i don't think the moon ever meant to be a satellite, kept in loving orbite, locked in hopeless inertia, destined to repeat the same pattern over and over.
in a land of sharks and squales only the strongs survive
a p p l a u s e
décadence sous lustres splendides ; lumières perfides attirent papillons damnés par l'avarice. bons ou mauvais ; pouvoir résonnait toujours de la même manière. siège souverain qui ne l'intéressait cependant guère ; car gronde furie sous les airs humains. justice. hurlait en silence. revanche. lorgnait dans ses sillons. immortel à quel prix? quand joute dans l'esprit folie difficile à brimer. au verre levé en honneur du dirigeant, désintérêt assourdissant car il ne loupe aucun battements. de ces mécaniques et fastes sans précédents ; ichor des fondateurs ne jalousait point - quand déjà inscrit dans la légende : le nom y était. à jamais et pour toujours.
au petit frère s'immisçant à la joute ; soutient de ses bleutés : sa fermeté. car laisse bras droit donner le ton et le tempo, d'une danse qu'il ne désirait point partager mais plutôt soutenir. ah, i hope i didn’t ruin the mood. if you ask me, i don’t really care of tonight, i just want to be back on the nebula. s'éveille la douce tempête de ses envies de naviguer ; sourit à sa loyauté. « already missing the sea, deimos? » à la stature parfaite, quand s'épouse les trois ackermans l'un à côté de l'autre. « olympia, he's right, you're always a delight for the eyes. » œillade à l'encontre de la jeune ; quand se perdent en latence les mots pour ponctuer la mascarade. taciturne atmosphère pour homme n'ayant guère le temps de jouer de tromperies quand résidait en lui, maître de catégorie.
porte pourtant jusqu'aux babines, nectar dépravé - ingurgite d'une seule fois car, habitué de la violence. réclamait déjà nouvelle saignée. monstre en écho ; « silence is gold. » s'encre dans l'air déjà le futur, crucifie les faux semblants car maître d'orchestre se trouvait déjà à la seconde symphonie lubrique. « but we're past that, aren't we all? » inspire et expire quand se dessine cependant sourire léger. atteste du présent et certainement du futur. car il mise de manière singulière son propre avenir. celui qui était bleu et deviendra vert.
en résumé:
bébou styx il écoutait de loin, il lève son verre sans jalousie à @Wernher Attila car dans le fond, il s'en fiche d'être le big chef, il a autre chose en tête (mais bon on sent que les âmes des fondateurs réclamaient que ce soit un ackerman). il entend son frère, ça l'amuse, il se joint, complimente sa soeur et fait un petit tacle à tous les beaux parleurs présents. (LOL.) car il sait que dans un futur proche, il va se casser de la navy.
bisx sur vous.
la navy, le sang d'la veine [crédit; martyr ; gekyume]
how dangerous hope can be. Call it forgivness with teeth.
a p p l a u s e
Claque de clinquant qui cueille une gueule déjà lasse des oripeaux de la soirée. Ça dégouline et presque on en serait tâché, de tout cet or qui gicle. Partout où l’œil se pose, ça rutile, ça gronde et ça scintille. Mais, de toutes les offenses, la pire est certainement le buffet qui, d'une œillade, lui fait comprendre pourquoi le graillon naval des dernières semaines goûte pire qu'à l'habitude ; voilà où sont passés poiscaille, barbaque, et bon blé – rôtis sous les lampions électriques, attendant d'être effleurés par quelque bourgeoise anorexique. Probable qu'avec les restes, les poissons du port feront meilleure chère que les marsouins des navires.
Cabot aigri qui rumine son os en mirant la débauche. Débarqué au final du sentencieux discours, il en saisit l'essentielle moelle, et trouve un semblant de réconfort dans les belles et belliqueuses augures – un sang frais qu'il espère excitera le palpitant de la Marine, assez (peut-être) pour l’arracher à son marasme doré. Alors, en écho à l'opulent troupeau, il joint battoirs au tonnerre pour saluer l’avènement d'une nouvelle è r e.
Puis l'on rallume les lumières, et recommence l’effréné ballet des civilités. Au loin la silhouette de la jeune Attila pique son regard, et il va pour se greffer à ses côtés, pensant trouver en sa compagnie de quoi tromper une humeur qui se fait farouche (car, il faut bien l'avouer, l'étalage des festivités donne matière à alimenter leurs railleries cabotines). Il se ravise bien vite quand paraît à son flanc la mine brillante d'une Ackerman – pestiférée dont il préfère éviter la crapuleuse compagnie. Maigres velléités de sociabilité alors forcées de changer leur mire ; à défaut de l'héritière, il ira donc saluer le pater.
Mais – à la curée des honneurs, un faraud lui vole son heure. Mystifié agité qui brandi de la coupe et des bravades, harangue la mollesse d'une foule par ses invectives fauves. Gloriole d'un instant, milles regards dont le charognard se pare. Voilà pourquoi le faste les étouffera, tous autant qu'ils sont – les squales veulent croquer de la pompe et du beau monde, et la saignée de ce soir les attire.
Clébard zélé piqué par l'aubade empestée – diatribe diablesse lui reste en travers de la gorge et voilà qu'il s'avance vers le séditieux, verve stupide entre les dents, prêt à défourailler du délétère pour défendre un honneur qu'il se figure précaire. L'occasion lui échappe encore quand belle gueule au trait d'esprit plus fin surgit soudain – Ackerman puîné dont il a conservé l'amitié, porte une certaine sagesse à l'attaque déguisée. Rictus s'invite alors sur ses babines ; il va pour saluer le compère, mais cohue lente et mouvante fauche tout espoir de connivence. Leurs caboches surplombant la marée, il se contente de croiser un regard, well said silencieux adressé au comparse isolé. Bah ; ils finiront bien par se recroiser, au détour d'une énième échauffourée. Salut renonciateur d'un hochement entendu et il tourne les talons pour se frayer un chemin jusqu'à l'Attila-Roi.
« Well done, Admiral. », qu'il lui lance, pogne loyale s'arrimant à celle du couronné. « I suppose congratulations are in order, but perhaps you've had enough sycophants for tonight. » Rictus entendu, et carcasse qui s'approche pour que seul le concerné réceptionne les respects présentés. « Know that – no matter what, the Supernova stands behind you. » et avec lui, les espoirs d'une autre Navy, tournée vers l'avenir conquérant et oublieuse d'un passé ronflant.
en résumé:
Le bolchevik est dans la place, toutes les dépenses le dégoûte un peu mdr Il va pour saluer Attila Jr mais voit qu'elle est en compagnie d'une Ackerman qu'il veut éviter. Du coup il se dit que c'est le moment d'aller serrer la pince à l'amiral mais se fait griller la prio par Nick. Il attend son tour, et va ployer le genou comme il faut.