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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Lucca Attila
Lucca Attila
drowning
faceclaim & © : imogen poots ; boite à idées (ava) vixen (sign)
(( moodboard ))

Faudrait lui montrer où son armure finit et où sa peau commence. Faudrait qu'elle oublie que parfois faut amputer pour survivre mais que cicatriser peut aussi suffire.
Faudrait qu'elle se rappelle que le sang est avant tout une couleur, pas une douleur.
Mais les "il faut" elle les emmerde et préfère jouer à la roulette russe avec sa vie sur l'océan...
nature : (( humanité )) éperdue
saisons : (( 34 )) tempêtes au compteur
myocarde : ça fait un bail qu’elle ne s’est pas accrochée à quelqu’un, elle n’a pas d’temps à consacrer à l’amour ou peut-être que c’est juste une excuse pour planquer la peur de s’faire bouffer ce qui lui reste
besogne : (( navy )) plein la tête, enseigne sur le météor en seconde peau, et le coeur qui s'détache peu à peu d'la propagande anti-hybride
errance : d'îles en îles, au gré des missions de la navy. et puis souvent les pieds à terre entre lawfort et barter bay
# Mar 21 Nov 2023 - 21:23


Il est loin l’doré lawfortien. Y a qu’ses cheveux lâchés en pagaille qui pourrait leur rappeler qu’elle portait peut-être bien l’or de la navy il y a des temps incertains. Mais là, ses seules armes sont son espièglerie qu’est née ici, son esprit encore un peu affûté quoique embrumé et son sourire d’ravagée. “Ahah! I nailed it!” La mise remportée, l’ego gonflé quand elle ramasse les solarions et la chope qui se vide d’un trait… Ici, y a personne pour la surveiller, lui ordonner quoique ce soit. Elle a dansé seule comme si personne ne regardait. Elle a rembarré l’crétin qui lui coller au train. Elle flirte avec une certaine liberté retrouvée. Juste quelques heures, parenthèse dont elle seule se souviendra… Enfin plus ou moins.

À mesure que les âmes s’écrient et s’échauffent dans la taverne, Lucca enchaîne les bâtonnets hallucinogènes et les chopes houblonnées. Son rire mustang part au galop quand deux crétins s’loupent en voulant certainement s’entretuer… Elle peut pas s’en empêcher. Ce bordel moite et sale lui manque quand elle est dans la cité marbrée. Effluves de vies mordantes qu’elles aiment voir décadentes. Ça lui traverse parfois l’esprit, qu’elle aurait peut-être été meilleure pirate qu’enseigne. Puis un frisson roulant sur son échine lui rappelle bien vite toutes les fois, où gamine, elle a failli y passer… Et son passé qui s’tire ce soir en fumée, a bien laissé des stigmates gravés : sa peau en toile écorchée.

Comme toujours, elle fait glisser les mauvais souvenirs par un peu plus d’ichor Assoiffée. Et la silhouette de liane se balance jusqu’au comptoir pour récupérer son bien, puis recule sans se retourner jusqu’à heurter ce qui s’ressent comme un colosse dans son dos. L’volte-face fait à nouveau bam. Bloquée par un rentre-dedans littéral. Le malt finit à moitié sur le tissu chemisier, à moitié sur le sol abîmé, et elle rouspète par pur principe avant de lever la tête sur le visage du garçon devenu encore plus homme que la dernière fois.
Holy shit, fuck me!” Frimousse qui se froisse sur ses propres mots. Elle ne lui laisse pas l’temps d’afficher le moindre rictus : un coup part dans le torse du pirate. Okay, he’s real and burly.You know what I mean!” Pas ça, pas cette fois qu’elle croit. La surprise qui l’a étranglée lui revient comme un boomerang. Elle le pousse brusquement en arrière pour le mettre dos au mur, –embuscade dans un recoin de la taverne. “What are you doin’ here?!” Souffle magma joue les reproches. Il la fout dans la merde et elle en a encore un peu conscience malgré l’ivresse et les artifices des sirènes qui tanguent dans son sang. “I’ll have to arrest you and it was not the point of me… helping you out back then.” C’est murmuré tout près, comme un de leurs nombreux secrets du passé. Et sa tête qui tilte et ses hanches qui s’balancent, elle perdrait le fil de ses pensées si elle se laissait aller.
Un pas en arrière pour y voir clair. “And you’re ruining my night off. It was so fun…” Légèrement boudeuse quand elle noue ses bras sous sa poitrine. Elle a encore envie de jouer. Et ça se voit à son regard azuré échoué sur les tables encombrées de dés.



@craven barlow

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Lucca Attila
Craven Barlow
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Fistful of Steel
faceclaim & © : zach mcgowan (c) niniel creation (av), queen vixen (code sign), john silvers (gif)
to fear death is a choice
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nature : barbare humain sans foi ni loi, l’appétence du pouvoir en hérésie couronnée.
saisons : quatre décennies à ravager autrui.
myocarde : émotions ensevelies pour oublier l'âme qui l'avait jadis réveillée. le cœur insensible à la douceur, libre de toute attache, indifférent notoire.
besogne : voleur, arnaqueur, tueur, cartes multiples de ses masques d'apparat sordide. depuis peu, crawley pour les marauders, sans merci pour les gêneurs prosaïques.
# Sam 16 Déc 2023 - 15:02

your never-ending spree of death and violence and hate
is gonna tie your own rope.
bring into play
Nuage fantasmagorique en accueil putride du trou dégradant des corniauds délinquants. Pousse ou j’te pousse. Foule démembrée, parvient à se frayer un chemin entre corps galbé et sueur putride et composite. Dos frappe chaleur humaine humide de ces murs panachés de diversités. Ici, l'identité est oblitérée. Ne compte que l'action du moment au détriment de l'étiquette accolée de l'horripilante société. Présence du pirate se mélange aisément au milieu des âmes ondoyants de crasse et d'immondices. Rejoint la silhouette encapuchonnée l'attendant patiemment pour échange minutieux de trafic dissimulé aux yeux et oreilles trop fouineur pour être dévoilé à ses nouveaux coéquipiers de l'équipage récemment rejoint pour besoins pécuniers. Sa vie, c'est celle-ci. Trafic, jeux, argents, la loi du plus fort. Semblant de fraternité apprécié mais refoulé, sachant l'évanescence de ces émotions fortes destinées à être consumées par la trahison de l'Homme et du temps combiné.

Éclaboussures de la boisson débordée face à un rentre-dedans inopiné. Pirouette indolent vers la future victime de cette étourderie dégradante. Pour visualiser visage familier au milieu de la marmaille frelatée. “Holy shit, fuck me!” comme palabre d’introduction sidérée par leur rencontre de nouveau inopinée. Jauge silhouette de toute sa stature guerrière, haussant sourcils d’une nonchalance suggestive d’effronterie. « Been there, done that. » Torse reçoit frustration d'une Attila irritée qu’il reçoit en ricanement rauque, taquin aguicheur, se laisse emporter par son verbe intoxiqué. Reproche sa présence en ces lieux l’ayant vu grandir à en devenir le malfrat des cupides enrichis, lorsqu’en réalité n’a de meilleur place que parmi eux, charognards de cupidité. « You dare ask. What do you think, smart one ?... Fucking hell, girl, you’re as high as a flying fish. » L’accuse en la montrant du nez lorsqu’il remarque son état suffocant d’ébriété. Artifices de la boisson ou d’autres substances ombrageuses, grogne dans sa barbe l’irritation provoquée, honnit leurs contrecoups lui risquant de faire perdre pied. Son propre métabolisme défiant les lois de la raison, enchaînant les boissons sans effets escomptés, plutôt d'effervescence enflammée. Avantage considérable afin de rester à l’affût lorsque les autres deviennent victimes de leur pulsion décharnée. « You shouldn’t be so careless in these places. A navywoman who can't walk straight in this shitheads hole… you’re more foolish than I thought. » Juge son impertinence et son uniforme balayée pour cette soirée qu’il n’oublie pas malgré les festivités et le passé en commun partagé. « I respect that. » Lève son verre à insouciance notoire en avalant une longue gorgée de bière néfaste.
Murmures échangés à l’en faire baisser la tête pour ouïr ses secrets susurrés. Remarque silhouette élancée par les années qu’il jauge en outrageuse impunité. "I’ll have to arrest you [...]" Nonchalance invoquée, geste considéré comme acquis, soupir en guise d'introduction d'un remerciement agacé. « And I won't forget that I owe you one. » car malgré le scélérat forcené, déteste se trimballer des dettes sur ses épaules fortifiées. Se redresse paresseusement avant de reprendre en tonalité mielleuse et éloquente. « How am I ruining your night off ? Look, I’ll help you. » Appose paumes sur ses épaules, la faisant tourner lentement en demi-tour stratégique opposé. « All you have to do is turn around like this. » Penche visage au creux de son oreille frôlée de ses lèvres pincées en avertissement contrôlé. « And pretend you never saw me. » Pousse mollement la jeune femme devant lui sous un ricanement soufflé de cocasserie. « See ? Easy. » précisé en puisant au fond de ses cordes vocales graveleuse d’effronterie, haussant ses sourcils en toute impunité.
@Lucca Attila
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# Lun 18 Déc 2023 - 17:13


Sa voix est devenue plus rocailleuse avec le temps ou elle rêve ? Et ça résonne comme si il lui laissait des marques sur la peau. Comme de vieux stigmates dans l’genre retour de baise qu’aucun d’eux ne voudrait reconnaître. Okay, okay, okay. Son attention s’focalise difficilement. Mais elle l’entend lui rappeler son actuelle insouciance. Elle ne répond presque que par un rire. "I can take care of myself..." Son doigt vient poker le torse de Craven pour compléter sa phrase sans qu’elle ne mette de mots dessus. Pas besoins d’homme, pas besoin de leurs… muscles… Sourcils qui se froncent, sans trop comprendre l’association que fait son cerveau à ses lèvres. "Shit, it's made of steel or what…" But well, il finit par honorer sa décadence, alors son plus beau sourire s’étire. Satisfaite de ne pas avoir à faire à un chieur de première. Mais quelque part au fond de sa poitrine, elle savait qu’elle pouvait compter sur lui. Même si elle lui rappelle leur dernière débâcle, sa main vient balayer l’air entre eux pour signifier que "Pfff…" c’est n’importe quoi, il ne lui doit rien. Pas sûre qu’une Lucca sobre soit d’accord, mais c’est bien trop tard pour se poser la question. Elle se laisse bien trop porter. Même trop facilement manipulée. "Ooh… are we dancing?" Apparemment non. Son enthousiasme s’écroule un peu alors qu’elle tangue sur ses deux jambes. Coup d’oeil laser par-dessus son épaule. "You’re no fun, killjoy!" Hmpf !

Pas question de perdre le fil, la blonde délaisse le pirate, non sans signifier de deux doigts dans sa direction puis à ses yeux clairs, qu’elle le surveillera malgré tout. Mais il est vrai que pour l’instant, tout ce qu’elle veut, c’est récupèrer nouvelle tournée d’houblon doré, parcourir la salle pour trouver nouveau jeu où s’amuser. Les dés, les cartes, elle a déjà donné pour la soirée. Alors quand elle tombe nez-à-nez sur des marins assoiffés, rivalisant au lancer de couteaux, elle sait le retrouver et l’attirer avec sa plus belle idée : "I won't handcuff you if you win this!" La cible en bois usée en ligne de mire à sa droite, elle lui fait pourtant face pour mieux le défier. "Core target or nothing. The first to reach 21." Chope portée à ses lèvres, azur hissé dans les siens, une petite dague entre les doigts : elle vise sans regarder, décoche et atteint l’coeur sans ciller. Faudrait avouer qu’elle a arrêté de respirer pour se concentrer et arrêter de vaciller. Mais peu importe, le jeu est lancé. Comme un souvenir d’une époque passée où ils étaient liés et dont eux seuls peuvent témoigner. Il lui a peut-être appris ce qu’il fallait pour s’en sortir, mais aujourd’hui si elle sait gagner, c’est grâce à elle seule et personne d’autre. "Are you afraid to loose? Come on! Don’t be a pussy!"


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# Mer 17 Jan 2024 - 21:49

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Taquinerie oisive dans cette atmosphère putride macérée par les pires forbans de toutes les îles réunies. Bien sûr qu’elle peut prendre soin d’elle maintenant. Quel heureux dessin, voie adoptée à l’opposé de la direction qu’il a lui-même emprunté. Pourtant, la même case de départ sur le plateau du jeu de la vie. Preuve indiscutable en ces deux individus que les choix d’une vie modèlent l’âme et la silhouette, s’élançant dans la brume d’un avenir funèbre. Racines détournées mais jamais oubliées. Misère de l’enfance leur ayant octroyée cette ambition démesurée dont ils s’en sont accaparées en discordante forcenée. Le doigt sur sa poitrine en accusation presque enfantine, effluve de l’alcool faisant monter le rouge à ses joues pâlottes d’ingénuité. Palabres délirants d’incongruité qui auraient pu le faire sourire s’il n’était pas en pleine transaction dans l’iniquité absolue de Dame Justice. killjoy ainsi prénommé, sûrement l’un des surnoms les plus flagorneurs employé pour le désigner. « I’ve had worse nicknames. » ajouté en soulevant une épaule d’une nonchalance dégradante d’indolence.

Puis accalmie semble soudainement s’offrir à sa porte lorsqu’elle s’éloigne non sans un avertissement de deux doigts accusateurs de tourments. Soupir las avant de reprendre discussion stratégique de roublardise alambiquée avec son interlocuteur. Premiers solarions échangés lorsqu’une nouvelle fois, sa voix tonitruante résonnant avec fracas en furieuse annonce publique d’un duel justicier. Faciès retourné dans un geste à la lenteur calculé. Scélérate sait comment titiller ses pulsions de joueur invétéré. win or lose. but in your case, always win. Détourne alors la silhouette avant de mettre en pause ses pourparlers suspicieux. Fait également face à la jeune femme en provocation invétérée en verrouillant pupilles azurées dans l’océan de ses yeux embrumés par son ivresse ondoyante. « There's other way to win a man's heart than handcuffs y'know. » Ironie malavisée tandis que règles sont précisées. Bien qu'ébriété grivoise aux aguets invétérés, lame légère n'eut aucun mal à trouver le centre sous quelques regards hagards. Cible visée de dos, n’a rien oublié de leurs jeunesses dégradantes de crasse et de poussière. Le talent l’ayant fait gravir échelons de l’ordre mis ici au défi par le chaos d’une piraterie agitée. Yeux toujours bouclés dans l’indécence de son regard affermi, agrippe son propre poignard qu’il lance d'un geste assuré à en atteindre également le centre, pointe ébranle la sienne en communion de l’acier limée. « Is that the only challenge you have ?  » Fomentation lancée, retrousse manches jusqu’au coude, laissant avant-bras forcenés aux égratignures efflanquées aux yeux de curieux les dépassant, gueulards vindicatifs ne prêtant attention qu’à leurs pulsions hâtives. « I have a better one for you. » Prend mètre de distance stratégique avant d’écarter ses bras en homme princier prêt au combat somme toute singulier. « Hit me. » Sourire affriolant. Provocation sommaire dont il la sait capable. Mais sous les affres de la griserie, ses réflexes seront normalement plus à même de lui donner raison. « If you can. » Hausse un sourcil en énième défi. Pause salvateur dans son quotidien mouvementé. Rien qu'une franche étreinte entre deux vieux camarades de beuverie ayant pris des directions opposées, vie divergente et lutte incessante.
@Lucca Attila
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# Mar 23 Jan 2024 - 6:49


Regard immuable alors que les sourcils se froncent légèrement et que les joues se gonflent de frustration. Son jeu mis à mal, déjà réfuté : il prétend avoir mieux, et si elle n’était pas en état d’ébriété, peut-être bien qu’elle aurait adoré. "I’m clearly not in shape. You… obviously are… Why am I always dragged in losing fight? That’s not fun for my ego." Râlerie de mauvaise foi. Elle observe pourtant avec attention le moindre de ses muscles tendus, prêts à accueillir bataille comme il se doit. Il est fait pour ça. Et il se mêle au paysage des pirates enorgueillis par l’ichor doré. Souffle de fierté mal placée, il est sûr de lui comme elle a confiance en sa répartie. "Don’t tell me you actually like, me chasing you… ?" Dernière gorgée bu en rasade avant de refouler la chope sur une table à côté. Babines léchées pour n’en laisser aucune goutte et regard embrasé sur les souvenirs de leurs rixes d’antan. Elle est mal barrée pour dépasser le maître ce soir, mais aucun instinct ne la somme de s’éloigner. L’inverse est même hautement réclamé par nerfs soudainement aiguisés. Sursis de conscience avant de replonger, endolorie par liqueur ? Les questions seront pour les lendemains.

Balancier dans les hanches, un puis deux pas nonchalants vers lui, l’accélération est brutale quand elle lui saute dessus de plein fouet, comptant sur le réflexe machinal qu’il la rattrape. Jambes nouées à son dos, c’est son coude qui termine flanqué dans clavicule pour faire vaciller sa stature de colosse. Autour d’eux, les mortels s’esclaffent, et les premiers paris s’élancent. Solarions jetés, destinées reliées. Pas sûre que les liens pour l’emprisonner soient aussi efficaces. Clairement sa position joue pour un temps en sa faveur, alors qu’elle perd vite en force quand son rire mustang vient chahuter cordes vocales. Trop contente de l’avoir surpris, elle a décidément toujours su comment les faire entrer en collision malgré leurs différences, toujours une façon de le percuter pour le tirer sur son chemin à elle. Mais cette fois-ci, c’est elle qui s’fera forcément avoir par la suite. Valse tendue fracassante, elle s’voit déjà balancée au sol comme un vulgaire sac. Alors elle s’accroche tant bien que mal et tente de s’élever sur titan de chair : cette fois c’est son genou à elle qui finit dans ses côtes à lui, en même temps qu’un rire s’extirpe de sa poitrine dans un souffle sulfureux. "Be careful: next time, I'll bite you!"Et elle aurait presque envie de s’excuser pour la chance qu’elle a ce soir. "Have you lost your brutal touch? I may think you love me at this point."



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# Dim 4 Fév 2024 - 18:43

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Facétie attablée, cartes de la provocation déployée, et son adversaire est prête à dévoiler son arsenal de combat rapproché. Répartie balancée dans une sournoise perfidie. Haussement d’épaules comme seule réponse à son égo blessé dont il s’amuse à troubler. Moue sarcastique à sa remarque dont il continue à jouer sur sa lancée de marasme ironique. « No, you like chasing me because I'm the prey you'll never get. » Sait qu’elle ne reculera pas devant le duel provoqué. Observe silencieusement se préparer l’amazone ébréchée, tandis que le cercle s’agrandissant rapidement, clients alentours comprenant que joute improvisée était sur le point d’être enclenchée.

Départ en accéléré. Sa silhouette militaire et poids plume sautant pour l’entourer de ses jambes et le faire chanceler d’un coup de coude au creux de sa clavicule recevant son coup non sans un pénible grognement. N’a pas sa force mais lui n’a pas son agilité qu’elle utilise allègrement pour combler ses lacunes musculaires anémiées. Autour d’eux, brouhaha de parieurs improvisés préludant d’ores et déjà dénouement de leur affrontement embrouillé. Jeune femme qui enchaîne les mouvements pour l’avoir par surprise, montagne imperceptible déstabilisée face à son effervescence mécanique. Coup de genou encaissé dans un souffle douloureux l’ayant fait courber, avant-bras sur son ventre en réflexe instinctif, tentant d’atténuer muscles tendus par la beigne provoquée. Une seconde d’expiration essoufflée avant de remonter sa corpulence, le regard perçant du défi qui se jouait. “[...] I may thing you love me at this point”. Sourire carnassier malgré l’évidente douleur ressentie dissimulée en espièglerie calculée. « Hm, at this point, you'd have wished that was the case. » Sans prévenir de son geste inconsidéré, phalanges empoignées et coup envoyé en plein milieu du visage de la militaire désorientée. Traîtrise du geste provoquant mixture d’hilarité et d’ébahissement de leur public improvisé. Jeu de mains tout de même contrôlé, en prenant soin de ne pas briser son nez qu’il heurta suffisamment pour blesser phalange sans la déformer. Juste assez pour la faire sonner. « Be careful: next time, I’ll hurt you. » Reprend réplique qu'il détourne en habileté d'une éhontée fourberie. Puis comme pour signer trêve de leur retrouvaille après sa libération dont elle fut la bienheureuse initiatrice, main tendue pour l’aider à se remettre de ses émotions mouvementées. « You said it's your night off, right ? So tonight, you're not from the navy and I'm not a thief. Here, we're just old friends catching up. » Souvenirs mis sur la table en arguments des années d'une adolescence et d'un jeune adulte trépassées. Tel des mémoires gravés sur leur bagage respectif, impossible à effacer. Dame Destinée aimant manifestement les faire se réunir depuis ces dernières années, comme se remémorant leur troublant passage à l'âge adulte discordant par le chemin emprunté. « Come, I’ll buy you a drink. Your last one for the night. » Quémande pintes la tête dirigée vers le bar dont le serveur compris par les gestes sa commande sur le vif, comme habitué aux cascadeurs de son bar qu'il accumule en quotidien devenu presque indolent par ses non-sens fréquents.
@Lucca Attila
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Faudrait lui montrer où son armure finit et où sa peau commence. Faudrait qu'elle oublie que parfois faut amputer pour survivre mais que cicatriser peut aussi suffire.
Faudrait qu'elle se rappelle que le sang est avant tout une couleur, pas une douleur.
Mais les "il faut" elle les emmerde et préfère jouer à la roulette russe avec sa vie sur l'océan...
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# Lun 18 Mar 2024 - 19:15


Descente immédiate, sevrage presque là, dans la main de Craven qu’elle saisit sans rouspeter. Il a cogné là où sa dignité reposait. Elle avait envisagé l’coup de boule en affront, mais pas la torgnole dans l’nez. "My… My beautiful nose!" L’choc se répercute aussi enfin dans son crâne, mains au visage comme si ça pouvait atténuer la douleur. "You’re un fucking bastard! You’re lucky I’m too… tipsy for ripping your balls off…" Elle sait pas si c’est l’affliction, la fierté amochée ou les deux, mais le sel voudrait bien s’échapper du coin d’ses cils. Reniflement douloureux. Alors son pied s’décoche tout de même dans l’tibia du voleur. Parce qu’elle tenait à avoir le dernier mot malgré le coquard qu’elle sent déjà rayonner autour de son nez. La blonde réclame tissu frais et humide pour apaiser la peau échaudée, tout en suivant le colosse qui aurait pu naître léviathan. Elle se laisse finalement guidée mais reste campée sur sa mauvaise foi enfantine. Celle qui a embarqué Craven par le passé dans le bourbier d’sa chair tout juste féminine. "Okay, but you don’t get to decide if it’s my last drink or not!" Et elle ronchonne un peu plus qu’elle voulait juste s’amuser et pécho ce soir.

Secondes de silence à l’observer s’installer en face d’elle, les deux pintes déjà servies, c’est le trouble qui passe dans ses azur étourdies. "Sorry for tonight. I have trouble with my Navy skin. Some time I want it, some time I don’t." Et il est le souvenir ancré presque jusqu’aux os de celle qu’elle était, de là où elle vient. Origine. Au milieu de la crasse et d’un désir un peu sale. Il lui a permis de prendre le contrôle et de le garder égoïstement. Et c’est peut-être un peu resté gravé, ce besoin territorial de posséder le peu qu’elle peut toucher. Regard détourné, fait mine de ne pas se remémorer qu’elle aurait aimé le rencontrer avant… plus longtemps, fait mine de se laisser distraire par la table d’à côté. Et grimace quand douleur relance. Alors l’ichor est le bienvenue, mais pas seulement. Petit pochon rempli d’algues de sirène fait son apparition, et les gestes habitués prennent le relai de cette nouvelle ritournelle. Sans lever les yeux, sa voix ressort en ordre discret. "That’s our secret. Tomorrow will be as if I'd never seen you here and vice versa." Mais elle ne tient pas longtemps sans amarrer à nouveau regard sur géant. "Even though I like the view… We’re nobody and we were never here, am I right Craven?" Sourire furtif avant de glisser bâtonnet à ses lèvres en se laissant basculer légèrement en arrière contre le dossier du siège, tissu balancé sur sa peau. Y avait rien de tendre à y lire, juste l’acceptation de ce qu’ils sont. "So what’s going on with your life lately?" Bascule à nouveau vers la table pour offrir sourire carnassier complice. "What kind of weak-ass losers do you rob?" Fugace réminescence de l’adolescente qui l’admirait et faisait tout pour rester à son niveau, quitte à se la jouer un peu trop. Parce qu’elle s’imaginait forte comme lui, implacable comme lui, increvable comme lui. Et ça bourdonne encore un peu, l’envie d’être lui, libre… Surtout si on oublie la partie assassine de sa vie… Ce qu’elle a toujours fait dans un respect nécrosé, aujourd’hui planqué sous son ébriété.




@craven barlow

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you did what you did, i felt how i felt, and it is what it is


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