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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.8 thème; the navy // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
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Lucca Attila
Lucca Attila
drowning
faceclaim & © : imogen poots ; boite à idées (ava) vixen (sign)
(( moodboard ))

Faudrait lui montrer où son armure finit et où sa peau commence. Faudrait qu'elle oublie que parfois faut amputer pour survivre mais que cicatriser peut aussi suffire.
Faudrait qu'elle se rappelle que le sang est avant tout une couleur, pas une douleur.
Mais les "il faut" elle les emmerde et préfère jouer à la roulette russe avec sa vie sur l'océan...
nature : (( humanité )) éperdue
saisons : (( 34 )) tempêtes au compteur
myocarde : ça fait un bail qu’elle ne s’est pas accrochée à quelqu’un, elle n’a pas d’temps à consacrer à l’amour ou peut-être que c’est juste une excuse pour planquer la peur de s’faire bouffer ce qui lui reste
besogne : (( navy )) plein la tête, enseigne sur le météor en seconde peau, et le coeur qui s'détache peu à peu d'la propagande anti-hybride
errance : d'îles en îles, au gré des missions de la navy. et puis souvent les pieds à terre entre lawfort et barter bay
# Dim 3 Déc 2023 - 10:49


Peut-être que leur argent est sale, puisqu’ils l’ont ramassé elle. Bouseux Attila au lieu de glorieux.

La musique dans sa tête lui brouille la vue. Et en avançant vers celle qui venait de prononcer ces mots, Lucca peut presque sentir ce que ça ferait d’écraser ce visage sur le sol. Elle a l’impression d’être à la fois très lourde et très légère, comme si une partie de son corps se détachait et flottait au loin –dissociée. L’autre se redresse sur ses gardes, et la supplie de s’arrêter. Dans la fange où elle vivait, ça s’appelait l’instinct de rue. C’est comme si un réseau serré de barbelés électrifiés traversait tout son corps. Ce qui signifie qu’elle peut serrer les poings et se battre comme deux femmes adultes pour récupérer un bout de pain ou d’fierté. Ce qui signifie qu’elle peut faire beaucoup de choses pour survivre pendant la nuit, pour tenir jusqu’au petit matin d’un autre jour sans fin passé à marcher et voler.
Dans son dos une voix claire vient lui rappeler qu’une bagarre de plus et on ne pourrait plus rien pour elle. Elle s’arrête net et la petite troupe privilégiée se disperse.

Mais le coeur-orage n’est pas satisfait, a besoin d’exploser. Les plaies rouvertes ne lui laissent aucun répit, et la fuite en avant la maudit. Cours, cours en furie sans savoir où aller. Ses masques tombent, la quittent comme de vieux amis, et elle s’écrie enfin dans un écrin tout juste trouvé, abandonné. Le sel au bord des cils, les tessons de colère au bord du gouffre : le bois des tables est renversé, les chaises fracassées, trop de choses éclatent, un rien se brise.
C’est pas une question de faire du mal ou de se faire mal, mais juste d’avoir mal. Comme pour soulager le plomb qui pèse.
C’est détester ce qu’elle est et c’reflet dans la vitre. C’est s’demander pourquoi elle est née si c’est juste pour souiller, la terre, ici, lui, le nom de Wernher.

Et le poing armé vise le verre.
Avec l’espoir de faire taire,
les émotions-tonnerre.



@alto leone
Lucca Attila
Hank Gunnar
Hank Gunnar
[  g  y  l  i  p  p  o  s  ]
faceclaim & © : frank, (MCVIII)

the rising of the horns,
a h e a d.

dompter les monstres (alto) Nib8

nature : vermeil mortel; que contrées aux rustres las, recrachent enfin l'être-soldat.
saisons : déclin s'amorce sans éternel aux sillons creusés, de ces cinquante-trois cuvées trépassées.
myocarde : épris des batailles; pompeux écaillé par l'amour-guerre. ne vibre qu'aux échos des collisions.
besogne : âpreté dégueulée par viscères, la rage aux fibreuses. l'orion du meteor mène cohorte de centuries aux mêlées impétueuses.
# Lun 15 Jan 2024 - 21:02
dogs of
war
-------------
when i see the fields burnin'
carne vétérane amarrée contre autel des débauches, tumulte en brouhaha sifflant le lied frénétique aux esgourdes; bar des chancres recueille les épaves des forbans en la nuit vaine, celle devenue depuis bien longtemps désormais, peinture cinématographique des comédies hilares, tantôt vaudevillesques, tantôt échauffées, tantôt toutes à la fois.
et cieux aux astres ravalés recrachent leur déchéance sur le peuple maudit en ce bas monde, sur ces dogues aux armures-ferrailles qui laissent clamer colère dans ces batailles éphémères. mais voilà que l'une d'elle achevée, esseule le soldat dans son triomphe fade, puisqu'après les chocs de mille fers, les silences se faufilent, pour lui susurrer l'ovation la plus amère. et seul, demeure le camé aux cent guerres, et seul, vibrato quête déjà futur conflit, en se délectant de l'ambre-breuvage.

c'est ainsi que silhouette se hisse sur la scène, et de son orage grondant titille méninges du brigadier. l'œil épie les ardeurs, s'imbibe des élans haines, et chronos s'empare enfin de la clepsydre; sablon s'écoule, retarde dernier grain pour lâcher carnaire quand l'autre implose. et détonne fureur en son sein, en ce spectacle sans fin. lui s'arrose gosier du reste de son verre, et se lève. traversée-augure vers cerbère qui s'en mêle, "don't touch." alors l'agreste se fait égide de la rebelle du frater. "ok kiddo, we're outta here." la palme accroche poigne colérique, et emporte furie vers sainte-nuit. et dehors, rustre paume relâche la môme, toise les miroirs courroucés de l'âme-aigre, visionne en elle cette fièvre; l'ire des combattants, la folie des satanés. et, se renvoie aux anamnèses craquelées du gosse qu'antan il fut, pour mieux l'y border, elle. "what's up? you need to hit somethin'? someone?" ainsi, senestre vise l'enfant-reflet, quand l'ossature se désarticule, brave la brise, se pavane tout autour d'elle en juge éternel, "you're frustrated? – yeah, somethin' like that.." la rocaille crachote le fiel, pourtant le cœur sait, mais laisse échos du reste s'hurler sous panséléne, pour qu'il se tait. "come on we'll sort it out, punch me." c'est alors, que l'autre challenge l'impulsion aux veinules de l'impétueuse, accule les déraisons, pour en frôler limites. "you're so full of hate, it shouldn't be able to stop you, right? come on, little girl!"
Hank Gunnar
Lucca Attila
Lucca Attila
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(( moodboard ))

Faudrait lui montrer où son armure finit et où sa peau commence. Faudrait qu'elle oublie que parfois faut amputer pour survivre mais que cicatriser peut aussi suffire.
Faudrait qu'elle se rappelle que le sang est avant tout une couleur, pas une douleur.
Mais les "il faut" elle les emmerde et préfère jouer à la roulette russe avec sa vie sur l'océan...
nature : (( humanité )) éperdue
saisons : (( 34 )) tempêtes au compteur
myocarde : ça fait un bail qu’elle ne s’est pas accrochée à quelqu’un, elle n’a pas d’temps à consacrer à l’amour ou peut-être que c’est juste une excuse pour planquer la peur de s’faire bouffer ce qui lui reste
besogne : (( navy )) plein la tête, enseigne sur le météor en seconde peau, et le coeur qui s'détache peu à peu d'la propagande anti-hybride
errance : d'îles en îles, au gré des missions de la navy. et puis souvent les pieds à terre entre lawfort et barter bay
# Lun 22 Jan 2024 - 17:00


Quand la flamme intérieure aura tout brûlé, qu’est-ce qui se passera ? Le vide fera perdre la tête et fera perdre pied ? Il fera réapparaître sous une autre forme : la torture des regrets, la violence de la colère, l’amertume de la rancœur, la douleur de la tristesse ? Alors comment s’y abandonner sans entrer dans une longue bataille –déjà perdue d’avance ? Parce que le chaos électrique règne déjà, grignote les entrailles en feu, s’fait marionnettiste d’l’esprit d’la gamine en jeu. Elle a déjà mal et y a ce besoin viscéral de plus. Le contrôle dans la douleur.

Mais un ordre tombe. Poigne bloquée. Volonté de retrait en réflexe inassouvi. Il a plus de force, alors elle plie sans rien dire, l’regard défiant, un tantinet méfiant. Parce qu’elle ne sait jamais à quoi s’attendre avec lui, alors que c’est en lui qu’elle s’reconnaît peut-être le plus. Elle veut pas parler ou épiloguer sur le pourquoi du comment. Et elle sait qu’il ne demandera pas. Alors y a que deux mots qui sortent d’entre ses dents. "Everything. Everyone." Et il rôde autour d’elle, comme un chasseur, avec son charisme bestial. "No shit.", qu’elle lâche avec insolence. La frustration armée et coincée dans ses nerfs. Y a quelque chose qui grogne au fond d’elle en écho primal. Il provoque, vient titiller, ce que son père n’oserait jamais faire. "Okay but retaliate too. You won’t be the first or last man to hit a little girl, right?" Les poings qui se serrent, prennent position d’attaque : elle n’attend pas pour décocher. Pied contre masculinité. Unique opportunité de le voir s’plier en deux. Avant de mieux frapper, comme elle peut, où elle peut : poing contre épaule. "FUCK!" Recul approximatif, la main qui bat l’air, la douleur qui irradie l’bras. Et l’impression d’avoir cogné os contre os, alors qu’il est probablement juste musclé comme un boeuf. Mais pas question de chialer au premier maux, sale bête repart aussitôt, s’jette contre titan avec l’espoir infime de le faire chuter en arrière. Elle et ses poings perdent vite en précision, mais l’énergie brute reste dévorante, blessante. Quitte à mordre si il le faut. Poussée par l’adrénaline, le défi, et la haine d’elle-même qu’il a si bien identifié, chaque coup est comme un cri silencieux alors que son souffle s’égrène à chaque mouvement. Et elle n’esquive pas, attend même que les plaies s’fassent géhenne. L’combat perdu d’avance ne l’a pas effrayé une seule seconde. Déjà prête à en redemander –ça crépite dans ses yeux ; toujours en train de se relever, n’autorisant personne à la briser, increvable fureur. L’Attila jamais n’se relâchera. Et y a rien de noble dans sa façon de se battre. Au contraire. "What exactly do you want to turn me into? ‘Cause I'll never be one of your tame dog." Émotion qui s’effrite dans les débris de sa gorge, à l’idée que Wernher s’en rende compte et regrette l’adoption. "I’ll never be his obedient little girl." Visage qui se referme, colère qui s’étouffe. Comme si elle en gardait pour plus tard, comme si sa bataille s’résumait à cet infini bâtard : l’égo des Hommes pour dogme.




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