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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Deimos Ackerman
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"but i do know i don't want anyone else to have you."

nature : furie
# Lun 4 Déc - 16:50

and just like that, everything went down
you wreck me with only a gaze
you kill me with a single whisper.
f e e l i n g s

31/04/68 - it's a bloody curse. emphasize on bloody. what i saw... what i witnessed... was a monster. my very own cousin, tearing down a man for its blood... he said it was the right thing to do... he said he did it for us. us, humans. how can it be ?
we need a cure.

extrait de ackerman’s last hope

aux effluves d'un crime, s'entiche le malfrat, d'un regard opprime, s'égare de la loi. se joue de la marine, provoque les fracas. un instant s'exprime, puis se fait apostat. provoque sa ruine, ne s'échappera pas. aux couverts des cimes, tente un renouveau, parvient sur cette ile qui scelle son destin.
car les chuchots hurlent.
et les rumeurs s'écrient.
le silence est roi qui perd bien vite sa tête. quand la justice est reine qui gouverne sans peine. alors jamais n'oublient, maitres de ces mers. surtout quand l'affront se fait d'un de leurs rangs. vermine mutinerie, qu'il faut alors punir, il en va de l'honneur, il en va du devoir.
pourtant c'est le sang qui va marquer ce soir.

it's... strong. way stronger than before. as if all the salt of the seas had dried up my mouth, my whole skin, and sparkling water was offered to me, in front of me. how could i resist ? be it blood just makes it hard to accept. just remember. it's a small prize to pay, for the peace we're gonna make.
ajouts de deimos au ackerman’s last hope

des fureurs d'un guerrier, aux secrets inavoués. perdu sur l'île des démons, le véritable s'empare des horizons, se fait homme de principes face aux indigènes hérétiques, à la recherche d'une vérité qui ne tarde pas à tomber. descriptions habiles, de celui qui se volatilise, découvre un autre monde qui deviendra sa tombe, alors que s'égosillent ragots sur une autre qui veut sa proie. deux sur sa piste, offense au roi, opposés dans une quête, qui ne tarde pas à l'attirer dans piège bien mesquin. fut-il tendu et espéré, ou noeud abject du destin, une fois à la cabane du mutin, l'air s'emplit soudain d'une odeur de festin, liquide de vie d'un défunt. et d'un passé lointain qui s'acharne et revient après avoir maintes fois défait le brun.
de la mort, il s'attendait à tout.
mais de la faucheuse, pas à la reconnaitre.
ni à la haïr autant qu'à l'aimer encore.

if only you knew
how the thought of you
destroyed my (in)sanity.

f-fall ?! des amours d'antan, aux trahisons-tourments. une désertion de plus de dix ans, pour trouver femme et ancien prétendant, partageant un moment, comme hors du temps. that... must be the joke of the century... fadaises de la pensée, priant pour le mirage, que s'évade la rage dans laquelle rétines nagent. se peut-il qu'il rêve ? qu'il se noie dans vision ? que nature le trompe, ou que grande faux se joue de lui ? et soudain, révèle entourloupe. question de bon sens, qui danse comme une évidence. rien n'est vrai, ce n'est qu'une projection des rancunières et fallacieuses. like hell she'd be there ! you can't fool me (anymore) ! la garde attrapée, poigne serrée par l'ire de ses faiblesses. show yourself, you damn siren ! et pointe l'acier vers l'image blonde, tandis que crache l'ombre des folies trompeuses.

as if the smells and addictions
weren't bad enough already.
let me be your last mistake,
you who dare to play with my past.
@fallon lindström
[crédit; martyr]

_____________________
-- and it wasn't my choice to love you
but it was mine to leave. --

i don't think the moon ever meant to be a satellite,
kept in loving orbite, locked in hopeless inertia,
destined to repeat the same pattern over and over.
Deimos Ackerman
Fallon Chernobog
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—   s t o r m y   b l a c k   s e a s   —
faceclaim & © : k. winnick; corvidae


P O W E R

when you move
you make my oceans
move too


nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Ven 29 Déc - 13:55


THE SILENCE
-------
At a loss I lost my cool
I denied that I found you ;@song
_________un souvenir avant le pire,
_________sans accueil, pour cent écueils.


___ « like hell you’d be there! show yourself, you damn siren! » échine d’acier noir contre tronc fier, malsain défile pataude pour étendre rictus tranchant. ne reconnaît l’ami d’autrefois, celui qui lui portait belle foi. les âges ont déformé les traits du sage; lui qui s’é(mer)veillait tant n’est plus que ravage du temps. lointain se fait putain, à ainsi vouloir la faire payer pour son butin. puis toise la dégainée, lame qui défait les âmes; qui fait les larmes. « what have you done… you fool? » soupire phonèmes en pauvre requiem, que seul le souffle n’est tenté de chanter.  « did you just… defy me? — oh darling, » grince l’acier qui s’extirpe de son fourreau, pour mieux jauger jumelle en belle droiture. « thanks for doing so. » fige l’homme tandis que se déchainent les eaux dans céruléennes mauvaises; tandis que mal se fait tout à son aise. indulgence saignée, baignée dans son essence; talion a porté le coup, devient meurtrier à ainsi strier tendre chair d’une valeur autrefois si chère. alors crève pardon, s’enlèvent la grâce et ses dons de lumière — fait place à l’austère des enfers. elle est assassin de l’agapè, fantassin d’une mauvaise paix; main qui prive d’un meilleur lendemain, qui fait de l’erreur la dernière des heures. hémorragie contenue dans ce corps mis à nu de son blanc pur; c’est bientôt un éclair qui fend l’air, qui traverse le coeur tant chérit par les rires et les sourires. épée pourfend battant sans que paupières ne vibrent; car regard veut jauger le noir dans la mort d’un quidam qui pourtant bientôt, fait résonner son âme.
___visage d’un (tré)passé est morsure de gel sur peau de l’éternel; froid s’empare bientôt du coeur en croix, l’éteint après folle cadence. il ressemble, il lui semble, à ce qu’ils furent avant d’être privé d’un futur. et si elle voudrait réchauffer le grand roi, souverain septentrional se veut pour toujours plus glacial — plus fatal. « deimos? » souffle celle qui le peut, quand l’autre ne peut plus. s’effondrent alors les condamnés, l’un par la faux et l’autre par le jeu du faux. ainsi maintenu entre mains d’un carmin si vif, justicière peine à réaliser d’avoir ainsi fait misère.

___et ciel vagabonde, sur ses chevaux s’échappe d’une allure plus vive qu’elle ne se sent vivre. cliché immortalise scène sans prières au père. car elle le sait sourd à ses plaintes, coupable se veut éteinte. ne dit mot sur ses maux, se contente de bercer celui qui fut trop de fois transpercé.

_________late at night, my fate might come;
_________i’ll hear the blast, the thunder at last,
_________and i’ll embrace the way it has to end.


(c) code -- vixen
@deimos ackerman

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feelings -- fallon 5jtb
in your sword
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Deimos Ackerman
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nature : furie
# Sam 20 Jan - 21:26

and just like that, everything went down
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you kill me with a single whisper.
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13/10/234 - i thought i was finally free. i thought justice had come for me. as i closed my eyes, i was sure of one thing : now that my time had come, i could rest in peace, knowing my work and creed had let me to finally be rewarded. what a fool i was. death itself can’t stop us. the curse has spoken, and i awakened. killing me is foolish, and i will make them pay. shall i never sleep, i will do what i must. as we are and always will be the protectors of this realm. of this world.
extrait de ackerman’s last hope

sous les astres des fureurs, se fait furie en apprentie, face au déluge d’une égérie, qui devient source d’une belle folie, foutue tromperie pour l’endormir. et sommeillent en ses rétines les larmes d’une agonie, de devoir supprimer l’amie, quand bien même n’est pas ici. et phonèmes claquent et craquent l’esprit, justesse équivoque de la part des maudits, sa parole est reine, sa voix souveraine, malgré l’illusion, stupeur d’une hallucination. i have seen the truth, that lies behind your mask. en réponse au souvenir, croise le fer d’une autre lame, et s’apprête à la pourfendre, tant de prétention dans sa maîtrise de l’acier, quand son regard vire bientôt aux vagues d’un drame. mais ce n’est ni de son dû, ni de sa force, ni de sa fougue, ni de ses dons, que magie s’opère, que bataille fait rage, et dans un soupçon de contrefaçon, finit par lâcher partenaire d’acier, quand lacère sa chair, celle qui danse sous opales vicieuses.
et face à l’amour de toujours, qui demeure factice, sirène prend victoire, et justice trépasse.

if only you were real
then maybe i would smile
while my heart shatters
and my soul disappears.

des ombres, vision s’estompe, carde s’effondre, fureur se trompe, et chaos triomphe. palabres masquées d’une déesse en soutien, touché au cœur comme à leur dernière rencontre, n’entend plus rien, s’éteint dans son monde, quand semble revoir les dernières scènes d’espoir, avant de la perdre à jamais dans les bras de son frère. i never told you i loved you. i never let my feelings disturb you. yet i now wish i could have spoken. to the you that i so sincerely adore, even after all this time. even when i am still mad. even when you betrayed everything. and everyone. ode à sublime, quand sombre dans la nuit, démon sans sa force, qui en perd jusqu’à la vie.
et retrouve faucheuse, à qui s’offre son âme.

there is no way i have the words to describe it. but it’s like a thousands of blades piercing through my whole being, while my blood itself became a restrain. and my flesh burned. and my heart stopped. i died, yet i was not gone, and once sun was up again, i opened my eyes. pain was an old friend by my side. and death was gone after only a night. are we… unkillable ? lovers of the reaper, while no fire drives us deeper into its arms ? if that is real, if that is true, then we truly are the embodiment of justice. and no evil shall ever escape our sight, as we cannot sleep and rest in peace while the world needs us.
ajouts de deimos au ackerman’s last hope

damn it… what the fuck happened ? en tourment face à vérité qui s’échappe et fuit son regard, démon s’éveille après heures incertaines, sans comprendre comment rêve a pu ainsi le descendre. was it really a dream ? vague est la réalité quand la chair brûle encore des danses de l’esprit comme des attaques du soir. et quand retrouve ses sens, sang en masse qui s’amasse, l’odorat qui l’obsède, s’apprête à se lever — du moins à tenter. pour sentir un poids sur poitrine. son bras en pâture à quiconque l’empêche de ne serait-ce que s’asseoir. et quand glissent les iris vers ce qui le retient, découvre crinière d’une lionne qui ne peut être vraie, et pourtant l’image n’aurait aucune véritable emprise sur le corps.
am i fucking dead ?

no, but you were.

bloqué par un songe, se fait une raison. si sublime est réelle, peut être est-ce un vœu. et si masque est tenace, d’une sirène rancunière, alors qu’il en soit ainsi, le temps de récupérer. mais d’un rêve, il ne désire que sa continuité, et si déité des eaux venait à le réveiller, son ire serait sans pareille. fall ? is that really you ? what… happened ? questions à double sens, la mémoire qui grimace, et les visions d’une aimée qu’il n’aura jamais pu choyer. finalement c’est la mort qui lui donne sa chance.

ou la chance qui lui donnera la mort.
@fallon lindström
[crédit; martyr]

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besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
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# Dim 11 Fév - 14:22


THE SILENCE
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___bourreau d’elle-même; privée de celle qu’elle aime, reflet n’est plus que laideur de ses péchés — de justice sans justice. condamnée à se leurrer dans l’errance d’un jeu sans victoire, issue fait miroiter ténèbres en ombre de ses actes funèbres. ainsi dévoilée, carne désossée est immobile bien que rongée par sa bile; et céruléennes se perdent dans celles qui ne ressentent plus de peine, plus de haine, par le vide de la veine.

_________et il lui semble que dans son silence
_________se cache les démons de sa violence,
_________le propre même de son existence.


___par paupières closes, miroirs de papillons raides; s’ébouillantent les envies de finir sa vie. paroxysme atteint, n’offre que cataclysme pour le coeur qui ne bat plus que sous colères exaltées. pourtant dans l’aphone du morts, perséphone de son âme d’hades, réalise l’ampleur de sa faiblesse. horrible désillusion qui teinte nouvel horizon, celui d’un ciel noir sans le soleil de ses espoirs; celui d’un océan ravagé par son influence enragée.
___je suis terreur, je suis dernière heure, première erreur.
___et si je fuis la lumière c’est pour mieux fuir mon ombre.
___« damn it… what the fuck happened? » sursaut de vie accroche son oeil et son sein, alors se fronce regard pour mieux se perdre dans les doutes bruyants, bouillants. « fall ? is that really you? what… happened? » palabre en écho dans caboche fantoche, créature sans réponses à ce qui la ronge. pourtant s’éveille l’impossible, l’infamie partagé de familles saccagées. car furie ne connaît que furie pour raviver le coeur des sans-vie.  « it can’t be… » and yet, it is.
___comme effrayée par son cliché, rutilance reflète sa nuisance. dans l’oeil cerné de vagues, belle divague — s’éreinte sous l’étreinte, qui bientôt s’éteint. car d’un bond sur ses paumes, anti-thémis s’éloigne de l’homme aux pourtours du démon. maladresse frappe l’échine qui se redresse par deux fois, tandis que l’épée retrouve la main encore tâchée de son carmin. « what are you? who are you? » what am i, who am i? — et dans le vacarme de sa conscience, l’arme braquée pour crever son innocence. « don’t tell me what i already know. don’t tell me you are one of them. » one of us — one of the monsters who fight against what they are. « lie to me if you have to. » détresse appelle mensonge, voudrait ne vivre qu’en songes. « for otherwise, i swear i won’t have to kill you more than twice. » faiblesse rocailleuse, promesse périlleuse — furie s’éveille sous un ciel sans merveille, jure contre son sang et son rang. implore les dieux de n’avoir fait qu’elle de si laide. pourvu qu’il n’en soit rien. pourvu qu’il ne soit rien qu’un souvenir sans le pire à venir.

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@deimos ackerman

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nature : furie
# Sam 17 Fév - 23:17

and just like that, everything went down
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d’un rêve qui s’estompe, d’un cauchemar qui s’agace, ne restent alors que sentiments fugaces d’une encapuchonnée face à son âme vivace. incapable de percer le voile des défunts, incapable de revenir du côté des vivants, une tâche dans l’horizon, un fardeau dans la paume d’une faucheuse qui retient son souffle sous ses assauts téméraires, et façonne à nouveau le fil de son destin, qu’un démon ne perdra pas face à pareille la(r)mes, salées face à la vérité en damnée mal avisée. et l’esprit se tord sous les querelles de sentiments qui s’affairent à dérégler le héros, terreur de ses propres péchés.

01/02/31 - it appears that whatever we are, we are unique. for have i never witnessed another bloodline with our… special handmade curse. nor have i ever seen another being with our abilities. yet, we must never forget. as we keep this a secret, we can’t possibly know if we are truly the only ones bearing that burden, but we must make sure no one ever discover the truth about it. this secret can never be known by the people of the lands and seas we are trying to protect, and shall another one of these furies be seen outside our family, it would be our duty to take it down, and preserve our peace.
extrait de ackerman’s last hope

myriade de merveilles dans un océan de dégoût, gloire au démon qui détourne la mort, se fait monstre éponyme dans les yeux de la muse dont le chant hante encore les songes du maudit. le conte de toute une vie, la nuit qui ne parvient à garder les amants séparés, bien qu’amour n’ait jamais été que le fruit d’une passion solitaire et camouflée. la fin au bout d’un acier cramoisi, et le réveil en sursaut d’un homme immortel. calm down, it’s me. deimos. soupire palabres face à celle qui, déjà, a abandonné son torse pour le confort de sa lame. et mains en évidence, à terre face à la douleur, tente de ne point effrayer celle qui vient d’apercevoir ce que nul ne devrait savoir, que faucheuse n’est autre qu’une passion dans les yeux de ce qu’il est désormais. sans comprendre à quel point sa renaissance est viciée pour celle qui sait déjà tout, et craint de tout savoir.

have you ever made this dream
where everything falls down
under your watch ?
i have. right now.

tremble la terre. tremble le cœur, incapable d’oublier, incapable de hurler, quand se retrouve monstrueux dans les yeux de celle qu’il aime, alors même que sa jeunesse effarante, ou ses palabres délabrées, ne parviennent à réveiller le guerrier qui tente de se relever, sentant encore la chair se tendre et le découper face à la furie d’une femme qu’il ignore encore furie. don’t worry. it’s not what you think.it’s better.

at the very beginning, it was about the salvation of this world, way before our misguided attempt let the flaws of humanity be drowned in the sea. a long lost story in our bloodline, a shared secret within our ancestors, and the doom of the god who sang a curse and changed us forever. be it a dramatic and blooded metamorphosis, or a low-blow from destiny itself, let’s never forget its true meaning. salvation.
we are harbingers of justice, able to forget about meaningless fears, to set a new dawn for humanity. we are the only ones who can ! the chosen ones.

ajouts de deimos au ackerman’s last hope

i am nothing like them, i promise.nothing like the monsters in the legends. confond les paroles de celle dont il ne sait plus rien, quand demeure l’illusion de son aimée d’antan, quand le masque de la belle pourfend aussi bien la chair que le temps et les âges, sous sa beauté de verre. et sa fougue de guerrière. look, i’m still me, okay ? a bit better at surviving a sword in the heart, yeah. a bit stronger as well. but you don’t need to worry, i am still deimos. et sous le regard, vagues s’enchaînent, tandis qu’il ose s’avancer, main sur la lame de celle dont il ne veut perdre l’affection, quitte à y laisser la vie. it’s all for the better. en héraut de justice, héros justicier, démon s’aventure dans les eaux des damnés, tandis que crève encore le cœur de l’avoir vue sans vie, le jour où le sang est devenu amant de minuit.

for the will is stronger
than the fear of the curse.

now, care to explain what you are doing here ? et éveille tant colère qu’autres sentiments, face au chaos de son âme qui hurle à l’agonie depuis déjà tant d’années. after everything, i was… am… convinced you were not real. s’approche main d’un visage, revoit l’âme d’avant, moments d’un passé qu’il ne peut oublier you look the fucking same… and what you did to me… réalise soudain, soldat sous l’influence des érèbes et l’imprégnation éphémère de ses sentiments encore aveuglants, que s’il n’est plus le même, il en va de même pour la lionne qu’il aimerait encore et toujours sienne. are you sure you were talking to me earlier ? n’est-ce pourtant pas impossible ? cette étrange impression qui le gagne enfin. cela ne se peut, un simple rêve qui s’entremêle avec sa réalité.

it’s impossible…
right ?

@fallon chernobog
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