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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
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Darcy Arledge
Darcy Arledge
( m e r l i n )
faceclaim & © : gauge burek; swan (avatar), alcara (icon & ban)
(( consuming )) Tumblr-7b81942f85e2d0705b6a37b912e49124-fcacb9a4-400
nature : sirène pour toujours, descendant des arledge pourris de rancœur qui caressent le vœu de voir tous les victorieux noyés jusqu’au dernier.
saisons : vingt-trois années sur le visage enchanté, mais quarante-trois ans sanglants à perfectionner l'enchanteur.
myocarde : mâles ou femelles, qu’importe ce qui s’épanouit entre les cuisses tant que cela sert son noir objectif.
besogne : artiste enchanté au chant des sirènes, assassin enchanteur dans les bas-fonds de la cité.
errance : cover island, c'est ici-bas qu'on lui a ordonné d'établir ses quartiers.
# Jeu 21 Déc 2023 - 13:20

will you be the place where I can finally stop performing for?
c o n s u m i n g

‎ ‎ ‎ Mille peaux enfilées sur un corps fatigué s’effacent enfin, rincées par le même son ; celui d’une seule voix qui enfle dans la gorge vibrante pour spiraler dans les airs, enivrante, enveloppant chaque modulation d’une langue aimante – chair frémissante au service d’un peu de poésie, en dépit du sang qui incruste les ongles si souvent que Darcy n’est plus certain de leur couleur, celle d’avant. Perdu dans l’air d’la chanson qu’aspire les plaies encore suintantes d’un autre instant d’égarement, j’me r’lève en géant pour cueillir les applaudissements ; f’sant mine d’pas voir l’poison qui m’tue lentement – bourreau et victime en même temps. Néant accueilli avec soulagement malgré l’adrénaline distillant encore le désir d’être adulé un peu plus longtemps ; un vide temporaire, assourdissant de silence rempli de faces exaltées susurrant les louanges du génie mécanique de cette anatomie hypnotique qu’hésiterait pas à leur faire la nique une fois sorti d’ici. Encore faut-il qu’il en manifeste la moindre envie, de sortir d’ici – de descendre de cette scène incandescente qu’il enflamme par sa simple présence ; un brin féérique, un brin lubrique sous ces lourdes paupières magnifiées de produit éphémère. Il en joue, se mue en créature de rêve nimbé d’illusions enchanteresses nées d’une forme de magie échue aux déesses du cabaret – sirènes vénérées.
‎ ‎ ‎ Lourdes boucles d’obsidienne effleurent une épaule ronde tandis que le cygne déploie ses ailes pour un dernier chant, spectacle achevé en beauté ‎si seulement j’avais pas capté son r’gard, à cette putain d’lâcheuse qui lui a manqué, oh manqué comme on a honte de s’être langui des caresses de celle qui nous a accouchés. Ultime note qui s’étrangle trop haut, ravalée de surprise couronnée d’yeux écarquillés au-dessus d’une lippe indécise ; vexée, aussi, de s’être fait moucher en plein avènement – instant volé au profit d’une histoire qu’il veut oublier aussi brutalement qu’elle lui a été retirée. Contraint d’improviser quelques courbettes pour masquer l’âme déstabilisée qui s’agite sous les replis froissés d’un ego éraflé, l’artiste libère la scène avec une contrariété clairement affichée. Pas b’soin d’faire semblant quand la belle r’vient la rose aux dents comme si ça f’sait pas des mois qu’elle m’écrivait p’u. Colère palpite sous la peau gravée d’souvenirs arides. Ma chair dans sa chair, choc sismique d’désir haletant ; rien qu’du vide, du froid d’puis. Confiance trahie, tragédie du palpitant abandonné sans êt’ prévenu qu’il avait été dérobé ; j’avais pas voulu l’donner, alors j’l’ai r’pris dans l’même silence qu’elle m’a imposé.
‎ ‎ ‎ Éclipsé discrètement en coulisses, volonté de se laisser emporter, de hisser le pavillon de l’indifférence ; laisser Yeri contempler sa rancœur obstinée. Mais… Fuck. Fuck you, Watanabe. Hésitation glisse en provocation, pas légers coulent les hanches ondulantes entre les corps amassés devant la scène désertée bientôt reprise par une camarade zélée. Darcy goûte un bain de foule discret, comme un nageur confirmé pénètre l’eau avec l’assurance de l’apnéiste pressé de retrouver les abysses. Artiste des projecteurs et du son, mais davantage encore des ombres et du silence, l’assassin se meut comme le soupir du vent entre les carcasses ensuquées d’un public mal avisé de ne pas remarquer la présence du rapace en piqué. Bien en peine de s’en empêcher, Arledge se dresse bientôt dans le dos de sa maîtresse traîtresse comme une silhouette projetée, à peine tangible avant que la pointe d’une lame dissimulée dans sa manche ne pique les omoplates de la collecteuse ; jeu pervers trop souvent apprécié en amont de retrouvailles épicées. La sirène exaltée par l’odeur de cette peau convoitée lâche un souffle alourdi, envoûté sur la nuque de sa victime : “You’re alive, then.” Acier se rétracte comme un dard empoisonné, disparaissant entre les plis de ses habits sans un bruit. Du joueur accro, Darcy tente de repousser les assauts pour grincer des reproches d’amant délaissé. “Why, for fuck’s sake?” Murmure las, frustré du mâle abandonné qui a tiré un trait sur l’étreinte passée, non sans un regret pour le plaisir volcanique imprimé dans sa chair rougie de désir. “D’you missed my cock or my power, dear?” Amertume ballottée par les vagues d’une colère mal dissimulée, ego ridicule soudain gonflé d’un refus de se voir piquer sans échanger au moins quelques excuses – rien de trop élaboré, juste de quoi s’enfumer pour oublier sa bêtise et ses faiblesses.
@yeri watanabe
crédit; vixen (code), timus (icon), moodylilac (citation)

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I cannot make you understand. I cannot make anyone understand what is happening inside me. I cannot even explain it to myself. ( Kakfa )
Darcy Arledge
Yeri Watanabe
Yeri Watanabe
the death of peace of mind
faceclaim & © : Jennie Kim @past breathing
nature : La lignée graciée interrompue, la tradition d’équipage suspendue, humaine parmi les sirènes et krakens.
saisons : Les années qui te narguent, t’arnaquent
T’as les saisons désaxées, l’existence défaillante
Ta mortalité à la traîne derrière l’encéphale opaque
Les hivers t'accompagnent jusqu’aux vingt-sept arrogantes
myocarde : Yeri t’aime mal, t’aime anormal. T’avoir c’est te risquer, te perdre c’est se buter.
Tu réclame tout d’eux, t'agrippe tes filets, écorche leurs entrailles.
besogne : T’es l’émissaire de l’avarice
Ambassadrice des cupides
T’es l’envoyée des avides
Des collectionneurs de caprices
Yamaguchi Gumi te baptisent collecteuse.
errance : T’as les racines orphelines, les origines parties en ruines.
Refuge éphémère sur cover island, le nid aux allures de planque perdue dans bordures des dunes blanches.
# Lun 1 Jan 2024 - 19:35

consuming
Hear my sinner's prayer
I am what I am
And I don't wanna break the heart
Of any other man but you
Le cabaret qui t'accueille avec la mélodie familière, tu te mêles à la foule, regard emprisonné par la scène avant que note manquée ponctue les regards qui se croisent. Animal blessé n’a le temps de voir qu’un bref éclat de l’amusement ingrat, trop occupé à quitter l’estrade et détaler en coulisses.

Son orgueil blessé, ton égo infaillible
T’essaie pas de le chasser, l’âme tranquille
T’es l’appât délicieux imprégné de poison
Quelques minutes à peine, et il mord à l’hameçon.

You’re alive, then.
“Hmhm” fredonné, l’insolence aux lèvres.
Pas l’ombre d’un mouvement, t’attend, et t’as même l’indécence de te pencher contre lui lorsqu’il rétracte son arme, comme si tu chassais le tranchant de sa lame.
Why, for fuck’s sake?” Tu te tournes enfin, les yeux indolents, le corps nonchalant. Il y a quelque mois, t’aurais retourné les cieux pour le rendre moins malheureux.

Il y a quelques mois, t’effaçais ses larmes salées,
Mais maintenant, t’as envie de t’en abreuver.
Les réminiscences des premières étreintes intoxiquées
qui te reviennent de plein fouet,
Quand il ressentait trop et toi pas assez.

Tu te souviens alors pourquoi c’était à lui que t’avais choisie de t’attacher. Darcy, il te donne envie de le ravager.

T’es sortie de ta contemplation de sa détresse par question obscène qui trahie l’amère.
D’you missed my cock or my power, dear?

Les lippes s’étirent, douces, presque timides, et on aurait pû te croire adorée si les yeux ne luisaient pas des instincts empoisonnés.
“I missed you too, my love.”
Couperet cruel, la guillotine au bord des lèvres.
“You’re so mad at me, it makes me feel dizzy” ronronné, sa rage injectée dans tes veines en remède à l'apathie qui règne.
“I thought you would be gone from this place with your heart in small pieces.” Les mains qui se lèvent, encadrent le visage avec une tendresse perfide. “You’re not done with the others either, you wouldn’t have that upon your sleeve otherwise.” Tu poursuis avec flegme, la senestre qui quitte la joue pour le cou, l’épaule, le bras, le geste qui coule le long de sa peau en flamme brûlante avant que tes doigts ne glissent contre la lame dissimulée, l’épiderme qui se coupe légèrement, pic vermeil que tu relève entre vous, les yeux qui se perdent sur la trajectoire des fines gouttes échappées le long de ton poignet avant de se river de nouveau à lui.

T’as le corps qui se penche, les bras qui l’enlace
Les mains dans ses cheveux en caresse lasse
Les lèvres au creux de sa nuque, le souffle aérien
Et tu l’imbibes d’un peu plus de venin

“Still haven’t decided what you are ?” l’étreinte qui pourrait passer pour retrouvailles amoureuses aux yeux spectateurs se teinte de noirceur en secret sous les questions condamnations. “A singer, a killer… a victim ?” Tu délies un brin l’étreinte pour l’observer, la tête qui se penche sur le côté, le regard avide qui se délecte de tout ce qu’il te donne. Main tachée de sang trace le contour de ses lèvres lentement. “You’re pathetic.” Assène gueule d’ange et sourire diable. “I’m not in a mood to fuck the misery out of you, so I guess it's just your powers I’m here for.” Tu prétend te plonger dans profonde réflexion “But, you’re mad at me right my love ?” T’as la mane qui retombe mollement, se pose sur son torse, et les orbes qui se détachent vers la foule, scrutent les vendeuses de rêves éparpillés. “Does that mean I’ll need to find another one to soothe my mind ?”
@darcy arledge
[crédit; ...]
Yeri Watanabe
Darcy Arledge
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nature : sirène pour toujours, descendant des arledge pourris de rancœur qui caressent le vœu de voir tous les victorieux noyés jusqu’au dernier.
saisons : vingt-trois années sur le visage enchanté, mais quarante-trois ans sanglants à perfectionner l'enchanteur.
myocarde : mâles ou femelles, qu’importe ce qui s’épanouit entre les cuisses tant que cela sert son noir objectif.
besogne : artiste enchanté au chant des sirènes, assassin enchanteur dans les bas-fonds de la cité.
errance : cover island, c'est ici-bas qu'on lui a ordonné d'établir ses quartiers.
# Jeu 4 Jan 2024 - 13:05

will you be the place where I can finally stop performing for?
c o n s u m i n g

‎ ‎ ‎ Dard émergé des chairs putrides de sa rancœur ; taquine les vertèbres offertes de la pointe de sa lame avide, colère égotique mal dissimulée qui se répand sur la peau de la damnée traîtresse – elle se contente d’un murmure trop léger pour la peine qu’il a convoyée toutes ces journées égrenées au son d’un sablier brisé, détraqué par l’émotion étranglée, restée coincée dans sa gorge sans qu’il ne puisse l’en empêcher. Corps féminin se coule contre le sien, algue taquine ondulant au gré de la marée de sa haine mâtinée de passion qui palpite trop fort dans sa poitrine et dans ses tempes gonflées d’amère indécision. J’pourrais saigner la salope sans un bruit d’sa trachée ensanglantée, j’pourrais la j’ter en pâture à ma rage incarnate ; j’devrais lui faire r’gretter d’m’être attaché. Mais le dard rétracté sans même y penser laisse libre cours à ses instincts névrosés, son obsession teintée d’sentiments mal digérés – il a envie d’les lui dégueuler jusqu’à c’qu’elle crie pitié. Question lancinante jetée entre eux en étendard-désespoir ; espoir vite déçu de créer distance ingénue entre leurs corps aux angles trop pointus.
‎ ‎ ‎ Elle se tourne, l’infâme beauté, capture immédiatement le regard noir de son amant autrefois adoré pour le retenir entre ses filets dorés – polis d’un sourire de féline mutine aux crocs bien dissimulés, réponse indolente à son obscénité en guise de bouclier éraflé. “I missed you too, my love.” Insolence drapée d’un linceul empoisonné, poissé des vices qu’ils ont partagés. Darcy n’accorde pas un seul cil à son coup d’estoc, prunelles durcies de métal en promesse de coup rendu. “You’re so mad at me, it makes me feel dizzy.” Roucoulade qu’il accueille d’un grondement, prêt à mordre ces lèvres ; œil pour œil, dent pour dent – envie d’lui prendre les côtes pour les écart’ler et bouffer son cœur encore vivant, pulsant d’fiel que j’bois comme du p’tit lait. “I thought you would be gone from this place with your heart in small pieces” assène la belle, mains délicates encageant le visage qui ne se dérobe pas malgré l’hubris arboré ; contact émiettant l’armure dessinée d’un trait trop léger, provoquant une envolée de frissons le long de sa peau brûlée. Tête aux lourdes boucles d’obsidienne qui s’incline dans sa dextre, joue épousant paume sans que les iris ne se quittent. “You have no such power, darling. My heart belongs here. You can rip it off for a while, but in the end, it’s not yours.” Sursaut d’orgueil lâché posément, voix basse de psylle ondulant au rythme du slow mortifère ; décidé à l’hypnotiser pour ne plus la laisser repartir. Chienne peut-être, mais ma chienne.
‎ ‎ ‎ Mais la monstrueuse créature vénéneuse n’en a pas fini avec sa victime trop facilement attirée. “You’re not done with the others either, you wouldn’t have that upon your sleeve otherwise” murmure Yeri, coulant sa paume contre sa peau offerte – ne nie pas, ne se dérobe pas davantage, accro au venin enivrant qui le soude à ses crochets. Doigts courent le long du chemin de chair menant au dard rétracté, s’y piquant pour mieux s’en délecter. La diablesse relève replis écarlates entre leurs carcasses échouées l’une contre l’autre, rivant à nouveau regard suintant dans le sien. Étreinte alanguie qui se perd ; narines dilatées pour mieux humer le parfum familier, bouche entrouverte pour mieux goûter les particules d’un désir latent, il le sait, j’le veux. Souffle sur la nuque tendue délivre encore sa fièvre vicieuse. “Still haven’t decided what you are ? A singer, a killer… a victim?” “Bitch” pour seule réplique, derrière crocs exhibés tandis qu’elle se redresse pour contempler son œuvre palpitante, prête à être dévorée. Insulte ou réponse à sa question, fierté déposée aux pieds de la déesse impitoyable. Cheveux glissent dans un penchement vertigineux, froissement délicat sur l’épaule de la divinité ténébreuse. Main blessée se dresse à nouveau comme un serpent charmé, caresse la lippe pour la marquer de cruor fraîchement prélevé. “You’re pathetic.” Mâle tressaille, mal à la poitrine blessée ; grognement assorti d’une moue qui éloigne les intrus sanglants ; cœur qui bat la chamade, lancé à pleine vitesse après la proie qui le domine par sa propre volonté. “’m not in a mood to fuck the misery out of you, so I guess it's just your powers I’m here for. But, you’re mad at me right my love?” Brûlure sanguine se retire, fait mine de réfléchir ; pupilles parcourent les prétendants d’un air nonchalant, tandis que paume se pose sur poitrine tambourinée de désir et de haine mêlés. “Does that mean I’ll need to find another one to soothe my mind?” Question provocation qui tranche le vif de sa colère pour faire flamber une lueur mauvaise dans ses orbites à nouveau prédateurs.
‎ ‎ ‎ Darcy saisit, brutal, poigne à faire mal, la chair abîmée pour l’immobiliser ; illusions jetées autour de leur couple pour dérober le spectacle aux indiscrets fascinés – de la pointe d’un apex gourmand, lape le sang enroulé le long du poignet jusqu’à la piqûre vermeille qu’il suce pour en aspirer le poison goulûment. “You asked what I am. I answer you: vampire” pour toute réponse, jolies perles du sourire bâfrées de sang. “It’s my power you want. Not theirs. You can’t play with them; I know you. You don’t just want the power; you want to play, to bite, to take. Trust me, you’ll be bored. But feel free to; if you’re seeking for fun, you know where to find me, anyway.” Râle toxique lâché tout contre ses lèvres, dont il mord l’inférieure ; libération violente de son anxiolytique naturel parcourant soudain les veines de la belle, planant désormais sur un nuage chargé de pluies acides, prêtes à grignoter, corroder sa chair et son âme – s’offrant en retour au diable épousé. Relâche la gueule pour en dessiner le contour de sa langue avide, refermant la sienne pour susurrer un dernier assaut. “And don’t pretend you’re not here to play with me. You don’t have your dose, yet. Come and claim it.” Sirène habile se retire, trace la limite ; défi de la franchir dans les yeux furieux.
@yeri watanabe
crédit; vixen (code), timus (icon), moodylilac (citation)

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nature : La lignée graciée interrompue, la tradition d’équipage suspendue, humaine parmi les sirènes et krakens.
saisons : Les années qui te narguent, t’arnaquent
T’as les saisons désaxées, l’existence défaillante
Ta mortalité à la traîne derrière l’encéphale opaque
Les hivers t'accompagnent jusqu’aux vingt-sept arrogantes
myocarde : Yeri t’aime mal, t’aime anormal. T’avoir c’est te risquer, te perdre c’est se buter.
Tu réclame tout d’eux, t'agrippe tes filets, écorche leurs entrailles.
besogne : T’es l’émissaire de l’avarice
Ambassadrice des cupides
T’es l’envoyée des avides
Des collectionneurs de caprices
Yamaguchi Gumi te baptisent collecteuse.
errance : T’as les racines orphelines, les origines parties en ruines.
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# Mar 13 Fév 2024 - 8:22

consuming
Hear my sinner's prayer
I am what I am
And I don't wanna break the heart
Of any other man but you
You have no such power, darling. My heart belongs here. You can rip it off for a while, but in the end, it’s not yours.

“Is that a dare ?” t’as le sourire Cheshire, les papilles qui se délectent du piquant de ses mots, de l’acidité de sa rancœur.

Tu manques pas derrière l’éloquence muraille son corps qui se penche, ses yeux avides qui flanchent, son timbre qui suinte l’appât modelé juste pour toi. T’as le plaisir coupable des muses malades des amants impatients.

L’animal blessé qui te grogne son agonie
Altesse du chaos au cœur des flammes
Le spectre sanglant qui excite l’infâme
Le trône à l’Olympe des acrimonies

Qu’est-ce que ça fait de lui ? Ton esclave ? Ton roi ?
Tu le sent son palpitant
Il déborde dans tes veines
Suave prêtresse païenne
Lui arrache à plein dent
Quand est-ce que tu feras sonner l’heure du prochain crève-cœur ?

Il a les tripes qui se tordent, le masque qui s’érode. La vermine, ça se cogne avec modération et toi, t’as jamais été de ce diapason.
Regarde ta marionnette Yeri, elle t’arrache les fils du bout des doigts, saute sur ton estrade et t’enroule la corde à la gorge. Elle a soif de vengeance, soif de toi, goutte à goutte, la tendresse violente, la haine satinée.

It’s my power you want"

It is.

"I know you"

You do.

"you want to play, to bite, to take"

Keep talking darling.

"you know where to find me, anyway"

Sadly for you.

T’as les griffes qui démangent, la langue mauvaise prête à le dresser. T’as l’arrogance au bord des lèvres lorsqu’il te les mord sans pitié. T’aurais pu t’en moquer si t’avais pas autant envie de t’en camer.

This bitch.

Voile dressé pour mieux tromper, l’épine sous la rose, sous le nez des spectateurs et employés. Dante qui plonge dans tes enfers, le festin les bas instincts. Tu lui donne pas assez, alors il prend.

Always so greedy my Darcy.

"And don’t pretend you’re not here to play with me. You don’t have your dose yet. Come and claim it."

Cerise sur le gâteau
Carnage sous ta peau

"Oh, you wanna play dirty ?"

Lèche les lippes psychotique
Traque reste de saveur toxique

"You're right. So my addiction, my rule of the game."

Tu pioche dans ta poche deux fioles. L’une charbon, l’autre ambré, spécialité d’un Yamaguchi Gumi dévoué.

"Here’s the poison" t’agites première "here’s the antidote" tu déposes entre ses mains seconde. "How about you show me how bad you want to trap me ?" Et aliéné des agonies overdose tu portes l’assassine à tes lèvres et l’engloutie cul sec.

"Catch me if you can." Souffle et frisonne, avant de s’évader dans les entrailles du cabaret.
@darcy arledge
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# Sam 17 Fév 2024 - 12:05

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‎ ‎ ‎ Crâne ployé face aux caprices de déesse vomie des géhennes ; qu’j’ai app’lée d’tous mes vœux les plus pernicieux – mange-moi, bouffe-moi l’cœur, arrache-moi les tripes pour m’faire oublier mes erreurs. Lippes fallacieuses s’ourlent en gueule affamée pour supplicié abandonné à ses péchés. “Is that a dare?” qu’elle murmure, la saleté accrochée à tes chairs excitées. “It’s always a dare, love.” Il avoue, l’idiot jeté à ses fantasmes fantomatiques, il voudrait juste qu’elle lui fasse la nique comme avant ; qu’elle le déconstruise brique par brique organique avec ses crocs charmants ; qu’elle lui fasse perdre le tempo de la réalité dégueulée derrière les illusions dressées dont il aime s’envelopper – manteau de rien cache sale chien muselé prêt à la dévorer.
‎ ‎ Colère consumée en cri cathartique retenu dans ces entrailles abominables ; pourritures exhalant luxure sans plus d’orgueil pour porter l’ego malmené. Caboche déjà brisée par d’autres utérus couronnés de viscères amères, caboche réclame l’infâme pour s’y vautrer – décomplexée, pour mieux décomplexifier guerre intestine, guerrière utérine qui se réclame de liberté qu’j’aimerais mâchonner, avaler, digérer, intégrer pour tout cramer. Rancœur immolée sur l’bûcher d’ma valeur déglutie sans bruit par une armée d’femelles ; mamelles poissées d’poison. Cadavre de l’identité invoqué comme démon-génie capable de déchaîner chaos sur monde sans mot pour qualifier futur décomposé par cahots du destin assassin. Dépouille du moi crache hypnose savante à la face de sa belle enchantée ; Merlin charmé en miroir – se fait avoir avec joie sauvage. Qu’le jeu commence.
‎ ‎ Yeri jamais punie par pugnacité de son bel amant éconduit ; babines retroussées sur délice délectable des crocs montrés par adorable tête bouclée – emmêlée d’idées-pulsations vertigineuses. “Oh, you wanna play dirty?” Malheureuse adoratrice de leur malheur conjugué au présent le plus absolu lape lippes enivrées du mâle ligoté par ses désirs malsains. Perles d’émail ensanglantées claquent près du joli nez de la maîtresse. “Isn’t dirty your pet name?” ronronne le félin, jadis fauve, aujourd’hui chaton pervers entre les griffes de la prédatrice. Gorge gonflée de triomphe salivé, Darcy savoure jouet retrouvé ; ne veut plus être quitté, délaissé comme carcasse désincarnée sans flamme flamboyante pour attiser désir d’appartenir à cette seule salope.

Reine déité de sa vie
auréolée de folie déclamée
en poésie toquée acclamée
verse venin tiré de son sein
entre crochets rejetant déchets
sans un regard pour les yeux canins
qui se bâfrent du vin coulant en cascade
le long de leurs blessures encore malades.

‎ ‎ Prunelles du clébard tremblent de désir comme vulgaire camé délesté de toute ire ; scintillent, allumées de cette nuit qui s’abat sur esprit affamé. “You’re mad. Utterly mad.” Lâché tout bas sur ton d’adoration pas dissimulé ; vénération de cette divinité appelée de toute sa peau partie en fumée à la seule idée d’être touché au dénouement de cette chasse salace. “Catch me if you can.” Chevelure disparue entre murs de foule qui se ferment sur silhouette vipérine ; température à son faîte ; assassin referme doigts fermes sur fiole-solution-absolution, s’élance entre corps oscillant au gré du chant provenant de la scène habitée. Cible repérée, ailes de faucon déployées par soif de la traque ; poings en matraques impitoyables s’abattent bientôt sur épaules graciles secouées de rire – mad, utterly mad; mine. Darcy chéri entraîne folie dans les coulisses désertées, loge refermée à clé ; corps plaqué contre mur pour coincer serpente ravie. Pouvoir déchaîne poison, berce d’anxiolytique les pulsions mortifères qui entraîne le palpitant en course effrénée. Front ravagé de passion, l’aiglon imprègne sa langue agile de contrepoison pour la fourrer dans la bouche calcinée de mort ; halète, lèche, boit potion pour mieux la lui gerber en baiser dégobillé, déchaîné. “Drink me.” Supplication du sauveur qui veut être précipité dans les abysses pour y rôtir en extase éternelle.
@yeri watanabe
crédit; vixen (code), timus (icon), moodylilac (citation)

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saisons : Les années qui te narguent, t’arnaquent
T’as les saisons désaxées, l’existence défaillante
Ta mortalité à la traîne derrière l’encéphale opaque
Les hivers t'accompagnent jusqu’aux vingt-sept arrogantes
myocarde : Yeri t’aime mal, t’aime anormal. T’avoir c’est te risquer, te perdre c’est se buter.
Tu réclame tout d’eux, t'agrippe tes filets, écorche leurs entrailles.
besogne : T’es l’émissaire de l’avarice
Ambassadrice des cupides
T’es l’envoyée des avides
Des collectionneurs de caprices
Yamaguchi Gumi te baptisent collecteuse.
errance : T’as les racines orphelines, les origines parties en ruines.
Refuge éphémère sur cover island, le nid aux allures de planque perdue dans bordures des dunes blanches.
# Sam 2 Mar 2024 - 13:59

consuming
Hear my sinner's prayer
I am what I am
And I don't wanna break the heart
Of any other man but you
T’as le rire maniaque mélodique, la course à l’échéance dramatique. Bientôt aria fébrile s’étrangle alors que poison commence à t’ankyloser les poumons. T’as la conscience qui part en vrille lorsque poigne t’arraches à ton agonie.
Assassin sur son cheval blanc, embrasse sa belle aux bois déments.
Drink me.
Tu te prends son poison et ton remède de plein fouet, le feu au creux des reins et le palpitant qui explose, ta mort dévorée par overdose.

Halète contre ses lèvres,
Embrasse avide ta fièvre.

“Darcy” supplique bouche contre bouche. Tu t’accroches à lui, le serre un peu plus contre toi, ton esprit qui revient à chaque nouvelle bouffée de vie. T’as le corps qui tremble du contre-choc du roller coaster de gavage aux substances sinistres et chimériques.
Enivrées aux remèdes, t’as le museau qui se réfugie contre sa nuque à lui. Féline fébrile se délecte de son opium, tu deviens panthère docile et ronronne au creux de ses bras, les paupières qui se ferment, les canines qui glissent contre l’épiderme.
Tu baigne dans son étreinte et son venin, t’enivre de son parfum.

“Almost perfect.” tu murmures pas tellement pour lui mais plus pour toi-même. "Too much noise.”
Tu le pousse doucement, t'extirpe de son confinement mais t’attrape dans le même geste sa main dans la tienne et le tire avec toi hors de la pièce “Come on.”

Tu l’attire à ta traine,
Le tire loin du chant des sirènes.
Hors du cabaret,
jusqu’à plage abandonnée.

“Let’s get in the water before I come back to my senses.”

T’as les nerfs graciés, et l’esprit embrumé
Tu déserte le rivage pour ton océan nécrophage

Probablement que le souvenir de ta noyade devrait t'effrayer, pas t’apaiser,  mais toi la seule chose à laquelle tu penses, c’est le silence.
La vérité c’est que t’as jamais était autant en paix que lorsque t’étais sur le point de crever.
Tu l’as longtemps cherchée ta solution miracle, le remède à ton apathie qui t’obligerais pas à sombrer dans l’anarchie et y perdre ta vie.

Et t’as trouvé Darcy.

“You know, the first time I saw you at the cabaret, I thought you were there to kill me.” T’as le regard qui se rive aux étoiles, la mémoire qui flanche vers les heures noires. “So I waited, all night long, wondering how you’ll do it.” T’avances un peu plus, la taille qui passe sous la surface. “You drugged me, and I was convinced you’ll try to end me then, but instead, you kissed me.”

Tu murmures le récit du premier baiser comme relique affectueuse, mais t’as le portrait détaché, et tu dérives un peu plus profond, les yeux qui accrochent soupirant exalté.
“I keep waiting for the day you’ll get tired of me, but it will never come right my love ? You’ll never let me go.” T’as le sourire mélancolique, et t’accuses volontier l’anxiolytique.
Peut-être que t’es pas si insensible que ça, parce que plus t’avance dans l’eau, plus tu sent de frissons sur ta peau. Tu l’aimes autant que tu le déteste le prix de l’onde qui éteint ton chaos, parce que depuis le naufrage, ta peine elle te ravage.
T’as les rafles émotives figées dans le background qui déferlent soudainement et t’accuses le coup difficilement. T’as la gorge qui se sert, et tu laisses échapper rire dépité.
“I hate you right now.”

T’immerge et le monde s’éteint
Le corps qui flotte, et plus rien
Plus de vue, de touché, d'ouïe
Plus rien, tout s'évanouit
@darcy arledge
[crédit; ...]
Yeri Watanabe
Darcy Arledge
Darcy Arledge
( m e r l i n )
faceclaim & © : gauge burek; swan (avatar), alcara (icon & ban)
(( consuming )) Tumblr-7b81942f85e2d0705b6a37b912e49124-fcacb9a4-400
nature : sirène pour toujours, descendant des arledge pourris de rancœur qui caressent le vœu de voir tous les victorieux noyés jusqu’au dernier.
saisons : vingt-trois années sur le visage enchanté, mais quarante-trois ans sanglants à perfectionner l'enchanteur.
myocarde : mâles ou femelles, qu’importe ce qui s’épanouit entre les cuisses tant que cela sert son noir objectif.
besogne : artiste enchanté au chant des sirènes, assassin enchanteur dans les bas-fonds de la cité.
errance : cover island, c'est ici-bas qu'on lui a ordonné d'établir ses quartiers.
# Sam 2 Mar 2024 - 18:22

will you be the place where I can finally stop performing for?
c o n s u m i n g


Proie pas chagrine d’abandonner peur sur rive
l’étreint sans pitié jusqu’à presser ivre
ses lippes poreuses de poison poissé d’amour toxique
contre peau pâle sans parade
pour préserver son palpitant affolé
du plaisir pathétique tant convoité.


‎ ‎ ‎ Et elle le boit ; au diable les abois, les absences, les amertumes enroulées du bout de doigts avides comme ces mèches d’abysses qui coulent le long de sa peau femelle à mesure que les corps emmêlés s’épousent comme deux promis maudits. Qui est la proie, qui est le chasseur ; costumes abandonnés sur rivage avec air bravache collé sur face fière. Orgueil craché à la gueule du monde – ravalé sitôt entre les griffes ouatées de sa belle immondice, il le lui laisse, il le lui abandonne ; il lui donne
t o u t.

‎ ‎ ‎ Féline fauve muée en chatte choyée enfonce pattes – griffes rétractées – dans la chair du maître-bouffon enivré de son ivresse. Dopée à l’ondée apaisée de l’empoisonneur amoureux, Yeri murmure prénom comme on délivre un démon. Darcy joli gémit, halète comme une bête capturée. “Drink my soul, take everything.” Implore à son tour de le prendre sans amour. Racle l’émail blanc de dents faites comme crocs, langue impérieuse contre muqueuses roses de plaisir pervers. Assassin extatique en osmose avec la serpente médusée enroulée autour de son cou offert ; y laisse l’empreinte sans aversion de canines sur chair tendre. Vampire tout-puissant cède rênes du pouvoir pour se glisser dans l’impuissance paroxystique qui conduit doucement vers la voûte anesthésique lorsque maîtresse réclamée reprend contrôle et guide son corps – marionnettiste consentant aux fils-offrandes. Paume à paume et peau à peau peu à peu extirpés du cabaret pour diriger monstres enlacés vers marée capricieuse ; qu’elle les prenne tous les deux, assaut sans délicatesse de leur extase dramatique.
‎ ‎ ‎ Docile Darcy obéit sans piper mot, enfonce silhouette ondulante dans l’onde aqueuse ; soupir aux lèvres humides de sel – larmes et mer mêlées, comme souvent dans sa chienne de vie. Belle succube aux courbes évaporées d’eau et d’ombre lève son miroir globulaire vers le firmament peuplé de mortes étincelantes ; artiste enfoui sous peau d’assassin accompli entrouvre gueule de clebs envoûté pour savourer cette beauté – mystique merveille mélancolique qu’j’voudrais dévorer à pleines dents jusqu’à digérer toute sa folie-furie, puis la r’cracher et en r’demander. I adore you. Pensée pagaille puissante ébranle et fait ployer genoux qui pénètrent l’océan avide de souffrance. “Yeri…Don’t dare to go, this time. Don’t leave me, not again. Murmure caresse s’échoue avec le ressac sans s’élever au-delà du bruit marin.
‎ ‎ ‎ Beauté presque endormie susurre récit charmant d’une rencontre volcanique ; début chaotique d’une liaison faite de violence éprise. “I thought you were there to kill me.” Commissures relevées comme crochets mortels en aveu cruel. “It crossed my mind.” Carcasses ondulent avec vagues léchant désir jamais éteint, bercées d’une avancée guidée par démone enchanteresse. “But instead, you kissed me.” Crochets de chair s’évanouissent en tendresse mal retenue. “It crossed my mind too. And then I thought: why not kissing her before killing her? But I never killed you.And I never will. Rondeur luisante des prunelles se fracasse, se rencontre en choc sismique qui lui secoue l’échine et les vertèbres en délicieux avant-goût de cette seule mort qu’il lui souhaite ; petite mort éclatée entre ses bras délicats, donnée à coups de reins embrasés entre deux suppliques de vénération vénéneuse. “I’ll never let you go. It’s both a promise and a malediction. You’re my ecstasy.” Qui est le drogué, qui est le dealer ; mensonges délaissés sur rive avec air gourmand collé sur face fanatique.
‎ ‎ ‎ Ils s’enfoncent, les démons délicieux dardés de passion poignardée entre les côtes qui valsent avec l’ondée ; ils s’enfoncent jusqu’à couler, nimbés d’un “I hate you right now” qui ne connaît aucune réponse sinon la plongée simultanée des corps entraînés par le fond. Yeri abandonne le monde pour l’ombre des abysses nocturnes et sans un soupir Darcy la rejoint pour chérir celle qui dévore son âme corrompue. Sirène accueille sereine la mère matrie, yeux grands ouverts sur l’envers de l’univers ; maîtresse alanguie entre les bras aimants des courants marins, cheveux étalés en couronne qu’il imagine couverte de carmin – reine terrible des enfers qu’il aimerait conquérir pour elle. Enfant d’eau et de monstre nage, gracieux et inquiétant, jusqu’à étreindre la créature ; étreinte flottante laissée à la dérive du silence d’un océan de nuit. You hate me right now but you love me for eternity.
@yeri watanabe
crédit; vixen (code), timus (icon), moodylilac (citation)

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I cannot make you understand. I cannot make anyone understand what is happening inside me. I cannot even explain it to myself. ( Kakfa )
Darcy Arledge
Yeri Watanabe
Yeri Watanabe
the death of peace of mind
faceclaim & © : Jennie Kim @past breathing
nature : La lignée graciée interrompue, la tradition d’équipage suspendue, humaine parmi les sirènes et krakens.
saisons : Les années qui te narguent, t’arnaquent
T’as les saisons désaxées, l’existence défaillante
Ta mortalité à la traîne derrière l’encéphale opaque
Les hivers t'accompagnent jusqu’aux vingt-sept arrogantes
myocarde : Yeri t’aime mal, t’aime anormal. T’avoir c’est te risquer, te perdre c’est se buter.
Tu réclame tout d’eux, t'agrippe tes filets, écorche leurs entrailles.
besogne : T’es l’émissaire de l’avarice
Ambassadrice des cupides
T’es l’envoyée des avides
Des collectionneurs de caprices
Yamaguchi Gumi te baptisent collecteuse.
errance : T’as les racines orphelines, les origines parties en ruines.
Refuge éphémère sur cover island, le nid aux allures de planque perdue dans bordures des dunes blanches.
# Mar 5 Mar 2024 - 16:55

consuming
Hear my sinner's prayer
I am what I am
And I don't wanna break the heart
Of any other man but you
It crossed my mind too. And then I thought: why not kissing her before killing her? But I never killed you.

Stupid little puppy.

Y’a beaucoup de choses qui fusent dans l’esprit de Darcy lorsqu’il est près de toi, tu le vois dans ses yeux, tu le sent dans ses émois.
Imbécile malheureux a les idées assombries par ta silhouette qui dévore le bon sens pour ne laisser qu’inconscience.

I’ll never let you go. It’s both a promise and a malediction. You’re my ecstasy.

T’as envie de lui cracher à la gueule qu’il te fait pitié
T’as envie de lui arracher la langue qui te susurre ses passions
Mais t’as que la force de soupirer, subir, provoquer
Et t’arrives pas, jamais, à ne pas savourer sa dévotion

Tu te prêche mantra venimeux, t’as le cœur au bord des lèvres et l’ichor nauséeux.
Ton pantin sombre avec toi dans les flots, tu le sent, au sein des nappes glacées, les ondes de chacun de ses gestes qui roulent jusqu’à ta chair et te caressent la peau.
Tu le laisses t’étreindre, le corps inerte, le néant qui t’embrasse le temps que ton chaos reste absent. Créature étrangère à la mer en pâture à ta sirène, les silhouettes qui valsent au gré du courant quelques instants.
Jusqu’à ce que poumons réclament leur air, et la carne devient rigide, les muscles protestent, légers spasmes admonestent.
Infante infernale butée se laisse étouffer, le visage qui se fronce et les griffes qui s’enfoncent. Jusqu’à ce que survie prenne le pas sur volonté.

Tu te hisse à la surface comme tu l’a fais il y a des années
En t’aidant du premier corps à ta portée pour ne pas te noyer
Mais c’est pas une carcasse qui accompagne ta remontée
Lui, il te coule pas, il te porte, jusqu’à ce que tu puisse respirer

T’avale goulument bouffées d’air frais, te délecte de rush oxygéné.

“Fuck.”

Féline a les babines qui s’étirent en euphorie extatique. Tu capture fervent fanatique, les mains qui aggripent la gueule béante de dévotion, les phallanges qui tracent sillons le long de sa machoire.  Ivresse exulte en baiser passionné, consume, dévore, damné mal-aimé.

“I would have killed you.” Ensorceleuse sortilège peint sur les lèvres chuchote prédiction funeste. “If the situation was reversed, I would have kissed you, fucked you, then killed you.”
T’as l’élocution tremblante d'excitation brûlante.
“I would have kept you awake all night to tire you a little, waited until the morning, cuddled comfortably in your arms, savoring all the scenarios of your last dying breath and those pretty eyes looking at me with savage betrayal.”
Tu caresses les contours des orbes flattées du bout des doigts, les tiennes qui l’observent comme s’il était ta septième merveille.
“I would have probably been frustrated to not be able to make it torturous, your kind heals fast after all. But pain comes in a lot of flavor doesn’t it ?”
Mane quitte les pommettes pour le cou, et trace fine ligne invisible le long de la carotide.
“I would have struck here, planted the knife, waited for you to understand that it was the end to turn it inside your throat, then sliced it all the way around to the other side. There’s so much blood when you do that, I would have drowned in it.”
T’effleure sa pomme d’Adam, puis son torse, le regard qui se pose sur la cage du palpitant dont tu sent sous ta paume les battements.
“Then I would have striked there, slash it open and ripped it out. Hard to heal from that right ?”
T’as les serres qui s'aiguisent, creusent entaille invisibles le long de ses côtes.
“What do you think my love ? Would you have liked that ?”
@darcy arledge
[crédit; ...]
Yeri Watanabe
Darcy Arledge
Darcy Arledge
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nature : sirène pour toujours, descendant des arledge pourris de rancœur qui caressent le vœu de voir tous les victorieux noyés jusqu’au dernier.
saisons : vingt-trois années sur le visage enchanté, mais quarante-trois ans sanglants à perfectionner l'enchanteur.
myocarde : mâles ou femelles, qu’importe ce qui s’épanouit entre les cuisses tant que cela sert son noir objectif.
besogne : artiste enchanté au chant des sirènes, assassin enchanteur dans les bas-fonds de la cité.
errance : cover island, c'est ici-bas qu'on lui a ordonné d'établir ses quartiers.
# Lun 11 Mar 2024 - 14:22

will you be the place where I can finally stop performing for?
c o n s u m i n g

‎ ‎ ‎ Maudite mer, mère amère de tous les maux du mâle en mal de mots doux ; elle roule, elle valse, elle fracasse les carcasses enveloppées d’une même tumeur amoureuse. J’me l’arracherai jamais cette saleté damnée, j’préférerais en crever – carnassier à la carne extatique, craquelée d’un cancer bienheureux. Darcy joli pourri enlace la belle lasse pour la bercer au creux de sa nasse. Silence noir abyssal étourdit les tympans tyrannisés par le sang palpitant aux tempes ; miroir globulaire perçoit seulement chair révérée, vénérée à coups de baisers mouillés dispensés jusque dans le cou qu’il aurait bien envie de croquer.

Vampire vaniteux
en proie à ses vaines paroles pathétiques
pleines de veines pulsant poison
en étendard de déraison propulsé en oraison.

Ressasse comme ressac d’océan les murmures tendres qu’il a tendus en offrande fanatique, avide des prochaines secondes et déçu du temps qui les lui arrache trop vite. Corps femelle délectable tordu par oxygène appelé de poumons torturés s’enfonce dans ses bras immobiles comme nappe de pétrole obscurcissant ciel marin ; voilant surface saline comme prunelles cristallines bandées de soie. Jeu d’eros et thanatos enlacés dans une baise torride et obscène pour baiser le couloir de la mort emprunté par l’ivresse avant de lui cracher à la face.
‎ ‎ ‎ Enfin, vie emporte victoire, crève plafond d’eau pernicieux porté par piété pourrie du fidèle monstre qui cueille son “Fuck” d’un sourire presqu’attendri – presqu’aussitôt disparu sous les babines balbutiantes du plaisir de Yeri. Clébard pas avare de plaisir se laisse dévorer par la petite chatte aux griffes empoisonnées, offrant langues et crocs comme innocente déco de sa gueule béante. Et elle plante les griffes, et elle déchire l’ego, et elle arrache le cerveau ; décapitation verbeuse à laquelle il se prête en victime valsant au gré d’une faste folie. Tambours du désir mettent bide au supplice, chair qui se rétracte et se contracte au contact du corps corrompu traçant les blessures imaginées ; couronnées d’une perversité partagée. L’entendre chuchoter ces atrocités lui hérisse l’échine et dresse l’épine mortelle pressée de s’enfoncer entre les replis putrides de sa passion putassière.
‎ ‎ ‎ Mais ce n’est pas la soumission qui se dresse dans les yeux orgueilleux. Sourire lunaire sur face insolente éclairée par le soleil sauvage qui brûle ses rétines de mille éclats coupants. J’ai les commissures qui saignent et la langue qui baigne dans l’délice d’son délire purulent. Paumes ruisselantes se glissent dans noires cascades de cheveux luisant – “I think you didn’t do that. And I think you never will. Because you don’t like to break your toy; you like to play with it. And so you own me; and I own you” –, avant de refermer poings impérieux pour assener morsure impériale dans creux du cou clair offert à ses crocs. Vive vipère venimeuse se retire aussi vite qu’elle a frappé, sourire sauvage aux lippes folles. Insolence salace danse dans les orbes joueuses ; elles détaillent la salope qui l’asservit de la plus délicieuse des façons. “Now, I would pretty like to fuck you.
@yeri watanabe
crédit; vixen (code), timus (icon), moodylilac (citation)

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