| Yeri Watanabe the death of peace of mind faceclaim & © : Jennie Kim @past breathing
nature : La lignée graciée interrompue, la tradition d’équipage suspendue, humaine parmi les sirènes et krakens.
saisons : Les années qui te narguent, t’arnaquent
T’as les saisons désaxées, l’existence défaillante
Ta mortalité à la traîne derrière l’encéphale opaque
Les hivers t'accompagnent jusqu’aux vingt-sept arrogantes
myocarde : Yeri t’aime mal, t’aime anormal. T’avoir c’est te risquer, te perdre c’est se buter.
Tu réclame tout d’eux, t'agrippe tes filets, écorche leurs entrailles.
besogne : T’es l’émissaire de l’avarice
Ambassadrice des cupides
T’es l’envoyée des avides
Des collectionneurs de caprices
Yamaguchi Gumi te baptisent collecteuse.
errance : T’as les racines orphelines, les origines parties en ruines.
Refuge éphémère sur cover island, le nid aux allures de planque perdue dans bordures des dunes blanches.
no rest for the wicked Devil, Devil Bones of metal, metal Clever Devil, Devil How quickly they do sell their souls For the feast and the promise of gold Un an que rapace Suwan t’ont graciée de quête du graal légendaire. Affiliation kraken des années passées accompagnée par le souffle de comptes furieux, de légendes furies. Un an que tu tournes en rond, que tu cours après chimère, qu’entre offices criminelles tu te gaves aux mythes sempiternelles.
Créature apocalyptique se fait désirer Mais au coeur des folklore et inventions récitées Auprès des fous et calomniés, malédiction s’est dessinée. On te les as clamées disparues, métamorphosées, incarnées.
Tu rôde, ombre traque âme sans nom silencieusement Et au détour de ruelle désertée, griffes agrippe un instant Il t’auras fallu un an pour croiser un regard océan. Il semblerait que vérité sorte de la bouche des déments.
La surprise de courte durée avant que l’animal ne repousse ta poigne. Mais mal est fait. Misère ambitieuse est accrochée. Moue avide adorne regard instigateur, doux sourire borderline dérangé adressé au nouveau jouet.
“You have eyes to die for” asséné avec une familiarité déplacée.
Féline encercle, le pas qui flâne sur le pavé avec le détachement des prédateurs rassasiés.
“Heard so much about them. It’s fascinating how hard it was to track you with how careless you’ve been.” Tu lis la question dans ses yeux avant même qu’il n’ait besoin de la poser. Tu t’approches, pas le moins du monde effarouchée, l’instinct de survie délaissé. “Nobody listen to mad people, but I do.” murmuré avec la douceur d’une confession affectée, bien qu’aucunes pitiés ne luisent dans les prunelles cruelles. “But do not worry your pretty head, I’ve erased your tracks. You are welcome.” Clin d'œil complice gavé de tes délices mortuaires. “Now, I don’t work for free though. Got a few ideas about how you can pay me back. Wanna hear them ?”
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