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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Olympia Ackerman
Olympia Ackerman
sealed in fire and blood
faceclaim & © : diane kruger (c) etangsnrs (av), alcara (bann), vixen (code sign)
they should know whom to blame when the sky falls down upon them
( music | moodboard )

nature : noyée par sa mélancholie faisant taire sa furie, humaine gravée dans un marbre effrité au milieu de ruines familiales amoncelées en ravage destitué.
saisons : saisons trépassées depuis (( quarante-cinq )) années, elle les voit ainsi, inlassablement défiler sous son regard assombri d'épreuves accumulées.
myocarde : mari éteint, astreint au silence du défunt que l’océan a englouti dans le secret de sa faute pêcheresse. (( veuve )) aux yeux de la mondanité.
besogne : représentante de l'autorité aux futures générations à l'innocence bafouée; directrice adjointe de l’école de guerre et enseignante de sciences naturelles.
errance : l’île de naissance et de toutes les possibilités, (( lawfort )) comme résidence en éternelle souveraine de ces terres.
# Ven 5 Jan 2024 - 21:42

to elude a storm, you can either sail into it or around it.
but you must never await it's coming.
glorious purpose
Marche militaire, soirée appesantie dans la fournaise de la lune ensevelie de ténèbres engourdis. Les mots de l’amiral résonnant en funèbre litanie dans l’encéphale mille fois submergé de l’Ackerman encapuchonnée sous sa cape grisonnante de tourments refoulés. Mécanisme d’une éducation martiale, la discrétion était à l’ordre de la nuit, infiltration dans le quartier général de la navy qu’elle savait ardemment surveillé par de nombreuses rondes aguerries. Le poids du patronyme serait peut-être suffisant ou non pour se faire une entrée. Portail principal pénétré en s’allégeant de sa bourse au grammage influent d'une promesse de son absence invétérée en ces lieux vénérés. Courtage déposé, démarche aussitôt repris en cadence pressé. Ne pense pas, enclenche mouvement machinal. Chaque seconde faisant retentir l'écho des conseils reçus, rester invisible. Dans le silence, elle redoute chaque recoin oublié, chaque ombre dissimulée. Figure, stature et étiquette qu'elle ne peut dissimuler si elle est prise en flagrant délit de sa présence impromptue en cette veillée insoupçonnée. Les dirigeants de l'école figurant parmi les visages reconnus de la mondanité pavant ce sol marbré.
Souffle inspiré en entamant une longue traversée desservant les bureaux des plus hauts dignitaires de la navy. Silhouette se fait fantôme, glisse entre les murs, pas silencieux entre les fresques aux regards hautain de dédain. Lorsque subitement, cassure se fit en fragment sonore d’une basse tonitruante. « Halt ! » Paralysie indéfectible. Ne sait faire autrement que répondre à l’appel d’un ordre sommaire. Se tourne promptement. N’a jamais vu ces visages patibulaires de ces gardiens des murs de la haute sphère. Retire finalement capuchon proéminent pour laisser faciès éclairé entre leurs regards interloqués. « I'm passing through on behalf of my brother. Styx Ackerman if it rings any bell to your minds. » Mensonge éhonté à l’étonnement réprimé. N'a rien préparé, a seulement aboyé la première, avant qu'elle ne soit outragement accusée d'une calomnie ulcérée. Gardes à l’apparence refrénée, la sœur de la fratrie, une des représentantes de l’école de guerre duquel tous y sont sortis, là où ils ont appris le maniement de l’épée et les préceptes de la navy faisant dorénavant partie intégrante de leur quotidien de soldat affermi. « Madam Ackerman, those quarters are closed at this hour, why are you… » Irritation délétère que l’enseignante laisse exprimer par un soupir exaspéré tout en interrompant promptement cette fin de phrase au goût suspect d’interrogatoire forcée. « Believe me, I'd rather not be here right now than running an errand for my eldest. Now if you’ll excuse me, you make a navy captain very impatient. » Les deux gardes s’affrontent du regard, l’hésitation aux abois comme deux étudiants qu’elle aurait réprimandé d’un affront démesuré. Leur corpulence s’écarte alors, laissant le courant d’air s’échapper d’un pas assuré. Echine d’une droiture implacable, sentant leur regard dérèglée la suivre en ombre ténébreuse de méfiance inappropriée. Premier détour emprunté, l’espace vidé de présence délatrice, respire à s’en éclater les poumons d’adrénaline infusée. N’est pas étrangère aux mensonges à la forme de silence obtempéré. Mais rarement aux forces de l’ordre qu’elle a pourtant juré de servir en citoyenne scrupuleuse de leur sécurité.

Reprend sa marche d'un silence assurée. Familiarité des murs jusqu’à apercevoir la porte hurlante de souvenirs comme d’agonie. Tête virevoltante de gauche à droite, s’assurant du vide des couloirs grandiloquents de luxe endormi avant de presque caresser le huis boisé pour éviter d’attirer quelques oreilles tendues aux invisibles redoutés. Regard toujours tendu vers l'horizon tandis que réflexe vindicatif lui fait agripper la poignée. Mouvement bloqué par serrure forcenée, lui faisant quelque peu insister avant de lâcher son projet en plaquant sa paume sur le bois vernis d'excès. « Wernher ? Are you still there ? » Chuchotement indolore proche de l’interstice de la porte massive d’apparence impossible à mystifier. Venue qu’elle a tardé à concrétiser, entre réflexion et choc de la demande impromptue, sa tonalité résonnant encore comme une alarme à l’en faire trembler l’épiderme d’anxiété. Cependant, devant le fait accompli, impatience permise face à ce silence assourdissant. « It’s me, open that goddamn door ! » Déclaration nerveuse entre sa mâchoire serrée d’irritabilité. Il l’attend, peut pressentir sa présence de l’autre côté des murs aigre-doux d’insolence. Empressement accélérée par sa demande inhabituelle après leur dernière altercation dantesque. N'a pas digéré sa rancune atrabilaire d'amertume rancunière. Sait cependant reconnaître une urgence malgré les peines infligées. Etrange cocktail de cette inquiétude entremêlée de ressentiment acerbe. Il n'en restait pas moins l'amiral des contrées qu'elle sert d'une âpre et agressive loyauté.
@Wernher Attila
[crédit; gif (c) queen cess]

_____________________
-- "You know, hope is a mistake. If you can't fix what's broken, you'll go insane."


awards 2024  glorious purpose (wernher) 420102373 :
Olympia Ackerman
Wernher Attila
Wernher Attila
GOD'S LONELY MAN
faceclaim & © : robert de niro (dans la cinquantaine) ((c)self + vixen).
nature : carnassier devenu carnifié. humanité noyée dans les abysses, n'en sort que quand la tempête fait rage.
saisons : les traits bouffés par les tempêtes. les cinquante cinq années tabassent le mortel ambitieux.
myocarde : battant putride, la gangrène affective s'acharne à ronger corps et âme.
besogne : grand prédateur des mers chassait répugnés à bord du meteor mais capitaine est devenu amiral, protecteur de l'azur.
errance : lawfort fief de (sa) toute puissance.
# Jeu 11 Jan 2024 - 11:37

to elude a storm, you can either sail into it or around it.
but you must never await it's coming.
glorious purpose

____au clair de lune git carnifié. la chair arrachée par furiosité vengeresse. il saigne le titan. de celui qui se pense divin se voit ramené au commun des mortels. sa condition humaine le voit faible. la carne est décharnée. il souffre des sévices. conséquences de ses vices. il savait que le jour viendrait où la madame vengeance se pointerait pour punir pénitent. il n’aurait pu se douter du visage. ni même du pourquoi d’sa venue. et pourtant elle a su se faufiler. ramener immortel à sa condition de chair. le tout puissant ne l’est finalement pas. goliath peut saigner. et le rappel est douloureux.

____signal d’alerte envoyé. a laissé détresse paraitre à sauveuse. a gardé les détails pour lui. s’est effondré ensuite. black out. tout est noir. silence mortel. la douleur n’est plus. repos salvateur. douce impression d’apaisement. il pourrait s’abandonner au néant. à ce vide éternel. ça lui semble facile de s’y perdre. mais repos ne dure pas. réalité réveille décharné. violence douloureuse qui se joue d’elle. le maintient éveillé. l’écroule ensuite. la cruauté du tortionnaire continue. furieuse n’est plus là. sûrement déjà loin d’ici. certainement inatteignable à nouveau. pourtant, les sévices torturent encore jugé.

____on frappe contre le bois. on agite la poignée. c’est loin. et pourtant, ça cogne contre la caboche. écho étouffant. amiral grogne. peine à se relever. il ne sait plus qui l’assomme. la douleur. le violent coup sur l’crâne. ou l’écho assourdissant. mais le voilà debout. titan approche vers la résonance. atteint la clé et ouvre. elle se trouve alors devant lui, sauveuse. et lui ne peut s’empêcher d’garder un semblant d’posture. une droiture qui s’obstine à tenir. fierté mal venue quand la chair se veut témoin des tortures. you took your goddamn time. animal blessé qui ne peut s’empêcher d’trouver quelque chose à dire. il continue d’lutter pour garder la face mais les pas le trahissent. il s’accroche à la porte. i told you to come fast. sale bête a encore force à grogner. être meurtri en oublie reconnaissance. savante aurait pu ne pas venir. aurait pu laisser blessé dans sa souffrance. son égo n’est pourtant pas aussi gargantuesque que l’sien. la porte se ferme. il la verrouille. ce qui s’est passé ici restera ici. avec trop d’assurance, amiral lâche porte et s’avance l’air de rien. paluche vient se poser contre blessures torsales. i hope you know how to do stitches. un pas de plus et il ploie genoux. gradé pose main à terre. se refuse à l’effondrement. il grimace. this fucking bitch. souffle rage. s’il avait la force de japper il le ferait. mais il ne lui reste que grognements faiblards. amiral maudit furieuse qui a su rendre faiblesses concrètes. la maudit pour le rappel douloureux de son humanité.

@Olympia Ackerman  
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Wernher Attila
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saisons : saisons trépassées depuis (( quarante-cinq )) années, elle les voit ainsi, inlassablement défiler sous son regard assombri d'épreuves accumulées.
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# Dim 14 Jan 2024 - 13:37

to elude a storm, you can either sail into it or around it.
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Impatience infortunée jusqu’à la libération de cette porte boisée laissant apparaître le commanditaire de sa venue presque forcenée. Mirettes s’accrochent à son visage voilé par l’obscurité de la nuit mystérieusement envoûtée. première altercation en guise de salutation accusée en fatalisme familiarité. « Try to be discreet and fast. » S’engouffre dans la mansuétude et ce n’est qu’en le dépassant qu’œillade louche sur sa tenue dépareillée en guenilles ensanglantées. Expiration subitement coupée. Pupilles tournoient, lumière davantage vivifiante que les couloirs embrumés. Visage tuméfié, démarche décalée par des blessures manifestes sur le torse deviné décharnée sous sa chemise désassortie. « Wernher ?... » I told you to come fast, répété en litanie dans le cerveau frénétique de la scientifique exténuée. I told you to come fast, n’avait pas précisé la nature de sa demande coupée court pour gagner du temps dans cette course éternelle du savoir et de la misère. I told you to come fast, mais a retardé l’échéance car l’amertume de son avertissement l’avait suffisamment fait plier l’échine pour son salut incessant. « Wernher, what happened to you ? Wernher ?? » N’a pu retenir un haussement de ton angoissé face à ses blessures manifestes, loin d'avoir imaginé un scénario catastrophe en raison de son appel soupçonneux. Les paumes de l'amiral se posent contre son torse criard de cramoisi malsain. Panique contenue en une inspiration choquée face à sa chute le faisant ployer de mal effroyable. See, even titans can fall. Se baisse en une fraction de seconde alambiquée, appose ses mains sur son bras lui servant d’appui pour ne pas totalement s’effondrer comme soutien à son calvaire dantesque. « Stitches ? Stitches ? Good Lord, Wernher, I’m a scientist not a medic ! » Affolement rocambolesque face à son souhait singulier. Irritation de ses nerfs tiraillés par le constat du mastodonte effondré et elle en témoin impuissant de sa faiblesse affligée. this fucking bitch, lancée en insulte étonnée provoquant curiosité hâtive malgré l’urgence de la situation tragique. « What ? What bitch ? Who are you talking about ? Who did this to you ? » Implore, adjure, supplie. Détestable sensation revenue au triple galop, son impuissance démesurée face à l’horreur des tragédies de ce monde sans pitié. Soupir saccadé, passe ses paumes sur son visage en invisible douche froide pour remettre semblant d’émotions sous un contrôle se voulant inflexible malgré l’incompréhension la poignardant. « Come on, I’ll help you get up. You have to lay down. Don't you dare argue when you can barely stand ! » Prémédite son renfrognement habituel par une prise de décision d’une main de fer. Soulève son bras en le faisant passer sur ses épaules surchargées de fardeau quotidien. Surélévation issue d’une force inconnue dans l'adrénaline du moment alarmant outrepassant toute notion de rationalisme décadent.

Quelques pas les séparent du sofa levantin. L'œil expert remarque une anormalité dans l’excellence du bureau normalement toujours si raffiné. Petit espace désordonné la faisant froncer les sourcils de perplexité. Espace enfin dissocié jusqu’au divan où elle dépose corpulence de l’Attila en perdition en appuyant sur ses épaules, forçant le geste pour qu’il s’allonge sans protester. « Here, lie down. » S’agenouille à ses côtés, à même le sol semblant se dérober sous ses pieds. Se débarrasse de son long manteau, libérant ainsi ses gestes et sa silhouette pour davantage de commodité. Regard hésitant sur les plaies semblant engloutir l’intégralité du tissu en absorption redoutable par sa rapidité. Réflexe presque maladif, approche sa main de la chemise décharnée avant d'arrêter son geste brusquement, levant les yeux pour croiser pupilles du patient de fortune atténué. « Let me see how bad this is. » Désigne d’un coup de menton le torse rougi d’hémoglobine continuant à s’épaissir, ne lâchant pas ses pupilles en alerte. Iris dilaté par l'impératif, n'est plus amiral, n'est plus Attila, n'est plus que Wernher ; l'homme affligé face à une tragédie insoupçonnée l’ayant émaciée. En oublie conventions sociales et distances des dernières semaines. Mettre de côté la rancœur. Urgence de la priorité, s'occuper de ses blessures à l'origine embrumée.
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# Mer 7 Fév 2024 - 11:20

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____grogne animal. douleur ronge la chair et l’esprit. passe pour fou quand les mots sortent. quand les paroles rage crachées. sauveuse ne peut comprendre. amiral trop vague. trop flou. délirant presque tant la souffrance a eu raison de lui. pourtant, animal meurtri trouve moyen de garder fierté. de ne pas trop montrer douleurs. stature gradée qu’il voudrait pouvoir tenir. ne pas laisser entrevoir vulnérabilité. trop tard pour ça. c’est l’corps qui l’abandonne. l’humanité qui l’met à genoux. il n’est pas de ces hybrides qui se soignent. qui se régénèrent. lui n’est que mortel. être de chair et de sang. et ce soir c’est bien tout ce qu’il est: de chair et de sang.

____cadavre en devenir se laisse porter par sauveuse. elle qu’il arrive encore à grogner. elle qui n’écoute rien. dynamique qui ne semble pas vouloir s’arrêter. même au devant d’la mort. amiral s’écroule alors sur le cuir. la douleur d’la chute le fait geindre. il tente de s’installer. de trouver confort dans cette situation. n’importe quoi pour atténuer blessures. réflexe veut qu’il observe à nouveau la chemise noyée d’carmin. blanc immaculé est maintenant tâché de ses pèchés. pénitent voit ses vices refaire surface dans la douleur.
____sauveuse approche ses mains. se ravise quand l’animal frémit à l’idée de proximité. lui qui ne veut montrer carne décharnée. lui qui se dérobe devant délicatesse féminine. n’a pourtant pas le choix. urgence de la situation oblige. alors amiral use de ses forces pour retirer tissu déchiré. et laisse entrevoir l’état des dégâts. n’en a lui-même pas conscience. vague idée des douleurs qui le rongent. mais tout se mélange. tout s’embrouille. c’est la carcasse toute entière qui morfle. flanc gauche et torse touchés de déchirures. carmin dissimule la chair. peut-être cache-t-il encore des blessures. that’s how bad it is. qu’il laisse échapper les dents serrées. constat amer d’la situation. rage bouillonne contre lady vengeance. et dans sa frustration, il attrape poignet de son ange sauveur. tâche l’immaculée de son sang vicelard. you can’t talk about this to anyone, you understand? amiral retrouve autorité le temps d’un instant. approche blonde comme pour qu’elle comprenne gravité autoritaire. regard noir. tous risquent trop si tout ça se savait. les êtres chers comme premières victimes de vengeresse. lucca. ses frères d'armes. bella. elle. tous ceux qu'il a dans la chair. enfin, il la libère. et revient alors l’être meurtri. douleur électrisent carcasse. now you can find something to stitch me up in the cabinet. de la main il pointe placard non loin d’eux. carnifié laisse alors sauveuse lui venir en aide. attends que ange salvateur vienne repentir pénitent de ses vices.

et de par sa grâce,
la délicate viendra sauver pécheur.

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saisons : saisons trépassées depuis (( quarante-cinq )) années, elle les voit ainsi, inlassablement défiler sous son regard assombri d'épreuves accumulées.
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# Ven 16 Fév 2024 - 20:15

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tw ; description détaillée de blessures physiques et de sang tout partout, aiguille, couture sur chair atrophiée.

Contresens affolant de la scientifique au regard troublant. Pressent son tiraillement à l’idée de se dévoiler dans l’urgence du chaos atrophié. Son hésitation la laisse étrangement troublée. Pourtant, nécessité absolue d’entraver cette bienséance bien pensante, éviter le pire en s’assurant du concret, aussi mortifère soit-il. « Wernher, it’s ok. » tente-t-elle de rassurer malgré son propre bouleversement au fond de sa voix se voulant pénétrante d'affabilité. Prend conscience de sa position, le laisse retirer le tissu morcelé, comme hypnotisée par ses gestes et ce que renferme la surface horrifiée. Vision sanguinolente de la chair la percute en matraque impériale de violence carnatique. Flanc gauche flanqué d’écorchures cauchemardesques alimentées par un torse estampé de blessures titanesques. « Ok, yes; it is bad. » Inutile furent les civilités, il se savait d'ores et déjà en grand danger. Temps précieux défilant redoutablement lorsque geste vif lui fit suffoquer une inspiration de surprise. Poignet emprisonné entre les phalanges étonnement robuste de l’amiral pourtant moribond de souffrance inextinguible. Regard aux ténèbres jusque-là inédit, plonge dans l’impénétrabilité des secrets enfouis par sa noble autorité. “you can’t talk about this to anyone, you understand ?” Fait inédit de l’enseignante éclairée, elle acquiesce alors, sans rechigner. Sourcils froncés par l’abîme du danger les séparant mais dans son ton, douceâtre compassion et compréhension délicate. « Yes. »

Regard en arrière furtif lorsque cabinet est mentionné comme abritant le nécessaire pour recoudre chair atrophiée. Se lève sans plus attendre. Fouille alors le meuble cité pour rapidement trouver une trousse de soin de première nécessité. « I found it. » déclaré principalement pour elle-même comme une première étape d’achevée. Mais le plus ardu était à venir ; soigner le corps esquinté de l’amiral abîmé. De retour à son chevet, ouvre la trousse et le nécessaire pour désinfecter, nettoyer, puis recoudre les chairs déchirées. « I have to clean you up first. It’s going to sting. » Imbibe serviette de lotion désinfectante dont les effluves titillait narines reniflant les prémisses des pénibles secondes à venir. « Ready ? » N’attend pas sa réponse pour étaler antiseptique à l’effet immédiat par son tranchant sans pitié. Ne lésine pas sur le geste, doit nettoyer la soupape cramoisie avant de ravauder la chair, quitte à piquer en affreuse lame à l'atroce douleur pourtant bénéfique. « I’m sorry. » Tentative de délicatesse vouée à l’échec lorsque les blessures affreusement ouvertes ne font que hurler leur tranchant face au désinfectant flamboyant. Ne peut empêcher de frémir à l'idée de la souffrance endurée par l'amiral à l'admiration tant réhaussée malgré les dernières semaines à s'être éloignée. « It’s gonna be alright. » chuchoté en piètre consolation dont l’inconscient se voulait davantage pour elle que pour lui.

De longues secondes passent où résonnent ses mouvements de va-et-vient sur le corps empourpré qu’elle nettoie en analysant les blessures se faisant de plus en plus nettes à mesure que l'hémoglobine s'imprègne dans les compresses aseptisées. Se retient d’exprimer le choc des découvertes macabres face aux lacérations presque animales. Mais visage trahissant son ébranlement quant à l’ampleur des blessures et leur sauvagerie insoupçonnée. Ose alors un regard vers le patient de fortune une fois le sang épongé. Brimades du passé ensevelies, ne reste que l’incompréhension muée en une demande de vérité supplique dans une grave solennité. “tell me what happened.” que lui hurle orbites translucides. La connaît suffisamment pour comprendre l’aura émanant de ses pupilles audacieuses d’ingéniosité. Cependant, l’étape suivante ne devait pas traîner. Délaisse son regard et la compresse pour fil et aiguille qu’elle n’a jusque-là manié que sur carcasses d’animaux frigides, cobayes pour expériences à l’école auprès d’étudiants fébriles. Lave ses mains en réflexe inflexible en parallèle d’un conseil absurde mais indispensable ; « Try not to move… too much. » avant d'entreprendre la mission d’une périlleuse intensité. Appose une main proche de la première plaie prise à partie de son faible savoir-faire en médecine sur peau vivifiée à même son torse endolori. Contact du corps chaud et humide incommode à peine la femme qui pourrait être ébranlée, geste miroitant son propre poitrail tambourinant de mille émotions entremêlées. « By the way, Mains aux contrôles irréprochables malgré le tumulte de son mental effréné par le carnage. Évite cette fois-ci regard pénétrant car concentration évidente sur sa tâche de médecin-chirurgienne sommaire. Fait prévaloir l’imperturbable et formelle prise de position sur sa tonalité singulière. you will have to explain sooner or later. In my opinion, the sooner the better. » Pointe s'enfonce sur l'épiderme dont le fil s'imprègne de la carnation congestionnée. Précision d'un microcosme édifiant, sur le qui-vive des mouvements du patient en réaction à ses gestes effectués dans un black-out psychanalytique. Car elle ne pense plus. Elle s'exécute. Le sauver de ses blessures. Le sauver de cette calamité. Le sauver de ces mystères qui lui sont impénétrables à son esprit pourtant assoiffé de vérité. but who will save you in the end ? poor doomed ackerman who curses those too close to you.
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# Jeu 7 Mar 2024 - 11:42

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glorious purpose

____au travers de la glace, il perçoit l’inquiétude. il perçoit la panique. sans trop en connaître la mesure. sans trop savoir ce qu’elle ressent vraiment. mais le regard échangé suffit à ce qu’ils se comprennent. à ce que les êtres de marbres perçoivent l'urgence. et amiral relâche sa sauveuse pour la laisser faire son devoir pour qu’il continue d’faire le sien. caboche retombe contre cuir. douleur alors submerge torturé. il grogne à nouveau. les secondes lui semblent éternité. quand sauveuse revient, c’est pour que calvaire poursuive car le plus difficile reste à faire. i’m not a child. qu’il répond en grand homme qu’il est. comme si la douleur pouvait être plus terrible. et pourtant, elle est terrible la douleur. quand commence supplice, amiral serre les dents. se rappelle des plaies du passé. des fois où capitaine a dû subir raccommodage d’urgence. gradé n’en n’est pas à sa première écorchure mais celles ci blessent plus que les autres. you’re gonna be alright. qu’il laisse sortir d’entre les canines. les mots sont là pour celle derrière la glace. pour calmer l’battant prêt à exploser dans la cage d’os. pour elle qui l’aide malgré la distance des derniers jours. malgré t o u t.

____viens alors le pire. torture de l’aiguille qui approche doucement. malheureux n’a pas fini d’serrer babines. i’ll be as dead as your test subjects. voilà l’humour noir de la situation. palabre supposément rassurante quand mort pourrait bien s’pointer. mais la référence revient à elle. à ce qu’elle fait. blonde travaille sur mortifiés. c’est ceux de l’au delà qu’elle recou. ceux qui n’bougent plus. amiral s’imagine que la tâche n’est pas si différente. et pourtant, sait bien que la chair n’est pas la même. alors il se prête à l’exercice de n’pas bouger. pour elle. pour lui. pour sa vie surtout.
____dans l’silence, elle pose la question entre deux coups d’aiguilles dans la carne. scientifique demande explications. est en droit d’savoir. amiral voit là échappatoire à la torture du racommodage. concentré l’esprit sur la rage. faire appel aux souvenirs. i guess i owe you some explanations, yes. qu’il lâche quand la mâchoire se détache enfin. à cet instant, amiral doit beaucoup. beaucoup trop. il le sait. n’est pas en position pour aller contre elle. pas ce soir. it was chernobog’s daughter who came to take revenge. lady vengeance a sorti les armes pour meurtrir ceux qui l’avait meurtri avant. s’est introduit au milieu des pairs d’un autre temps. il ferme un instant les yeux. se concentré sur les mots. sur les souvenirs. oublier souffrance. she wanted to know where was my predecessor so she could murder him. she would’ve killed me too if i didn’t gave her that orb maledictix. pause dans le récit quand la douleur reprend le dessus. l’esprit n’est plus si fort. le carmin manque. il déglutit. my father told me many time how valuable it was and that it could save me against greater enemies. orb passée de générations en générations. héritage familiale d’une lignée qui ne savait même plus contre quoi se défendre. pater lui même ne savait en dire plus. mais quelque chose rodait. van helsing n’était pas de ces autres. quelque chose lui semblait différent. la trahison des détails. and she wasn’t like those monsters. she has something different. i saw things I'd never seen on any other creature. amiral a fait face au bestiaire. à tous ces êtres hybrides. à ses transformations dénaturées. mais d’aucunes ne lui ressemblait. il en est certain. lady vengeance n’est pas de ces autres. et lui délivre vérité à celle qui sait. à celle qui cache secrets maudits sous la glace. i thought all those rumors about her were just legends for simpleminded but it’s all true. she’s the sort of greater enemy father talk about. et soudain amiral réalise qu’il n’est pas tout puissant. que des choses lui échappent encore. qu’il est bien loin d’être omniscient. que ce monde lui cache encore secrets. now you know. il réouvre les yeux. oeillade vers scientifique toujours à l’oeuvre. you have to keep that to yourself. no one should know or she’ll slaughter us all. i won't have the blood of my loved ones on my hand. les mots ne sortent pas. les garde au tréfond de l’être là où personne ne va. s’autorise sentiments quand la lumière lui semble de plus en plus proche. quand la frontière entre les deux mondes lui semble n’être qu’à un pas.


@Olympia Ackerman  
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cause you're a natural,
a beating heart of stone.
Wernher Attila
Olympia Ackerman
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sealed in fire and blood
faceclaim & © : diane kruger (c) etangsnrs (av), alcara (bann), vixen (code sign)
they should know whom to blame when the sky falls down upon them
( music | moodboard )

nature : noyée par sa mélancholie faisant taire sa furie, humaine gravée dans un marbre effrité au milieu de ruines familiales amoncelées en ravage destitué.
saisons : saisons trépassées depuis (( quarante-cinq )) années, elle les voit ainsi, inlassablement défiler sous son regard assombri d'épreuves accumulées.
myocarde : mari éteint, astreint au silence du défunt que l’océan a englouti dans le secret de sa faute pêcheresse. (( veuve )) aux yeux de la mondanité.
besogne : représentante de l'autorité aux futures générations à l'innocence bafouée; directrice adjointe de l’école de guerre et enseignante de sciences naturelles.
errance : l’île de naissance et de toutes les possibilités, (( lawfort )) comme résidence en éternelle souveraine de ces terres.
# Dim 17 Mar 2024 - 20:30

to elude a storm, you can either sail into it or around it.
but you must never await it's coming.
glorious purpose
“i’m not a child” rouspété dans une arrogance ignorée. Le mâle outrecuidant de sa superbe malgré son état atrophié, toujours la tête haute, reflet de sa propre personne à la volonté d’acier. L’homme a grandi, en témoigne les stigmates entraperçues du coin de l'œil sur la corpulence cuirassée marquant l’épiderme d’histoires à raconter. “you’re gonna be alright” que ses oreilles perçoivent en surprise éloquente. Se permet de lever le regard, troublant d’intensité, humanisme appréciée après la distance qu’elle avait elle-même imposée, fierté blessée qui semble s’adoucir à la réalisation de l’horreur imprégnée. « I know. Don’t talk. » Retrouve son esprit impérial pour de nouveau poser toute son attention aux détails des blessures à soigner. Serre les dents par une douleur pressentie piquante à s’en damner, s’excusant de l’étape acérée avant d’élever le niveau pour davantage de mordant à encaisser. “i’ll be as dead as your test subjects.” Fronce sévèrement les sourcils face à son humour noir déplacé, irritée, le fil et l’aiguille entre ses doigts élancés, démarrant l’opération non sans tourment mais aussi dans un contrôle de soi stupéfiant. « Don’t be ridiculous. You’re not dead yet. » Not on my watch. Apprécie l’ironie dans les moments appropriés, considérant l’instant tout sauf seyant au sarcasme débridé.

Figure d’autorité demande alors, curiosité jugée raisonnable face à la situation aliénée. Attend patiemment le récit des taillades cutanées. Lorsque première révélation lui font arrêter son geste pour plonger céruléennes déconfites dans les yeux de l’amiral meurtri. « Fallon ? Revenge about... her ousting from the Supernova ? How resentful... » Soupir vilenie d'une rancœur macérée ayant métamorphosée figure de la superbe en instrument de vengeance irrépressible. La savait proche de ses frères l’entourant, fut un temps. Mais n'a plus entendu ni prononcé ce patronyme depuis semble-t-il des décennies, mondes desquels elles ont évolué les séparant, juxtaposées. Savante continue à l’écouter en procédant à la suite de sa minutieuse chirurgie. Concentration de moins en moins fiable à mesure que la confession se fait intimiste à l’en faire une nouvelle détourner les yeux de ses blessures pour son faciès aux traits tirés par la douleur qu’elle juge utile d’ignorer. « You had an orb ?! » Ne doute pas des dires, doute de ses tympans sûrement chamboulés par la situation d’un rocambolesque titanesque. Aveu s'apparentant au conte, orbes considérés presque comme des légendes par leur rareté mais dont il semblait pourtant bel et bien en être un ancien possesseur jalousé. Soupir las par le début de cette cascade révélée, se remet pourtant à la tâche, cicatrice se devant d’être suturée.

Par un crescendo maîtrisé, ses gestes furent peu à peu ralenti à mesure que le récit se faisait détaillé. greater enemy renforce son froncement de sourcils à l’inquiétude aggravée par ses dévoilements alarmants. "you have to keep that to yourself." Menace de tuerie sans merci lui font relever une nouvelle fois regard brouillé au chevet de l’homme ulcéré. « I won’t tell anyone, Promesse d’une rare honnêteté tandis que son appétence au savoir se fait impossible à contrôler. but I need to know something, Wernher. » Délaisse finalement l’aiguille pour l’épiderme où chaleur de sa paume diffuse sur son avant-bras dévoilé le bouillonnement d’une enquête enflammée. Paradoxe déconcertant de ces céruléennes enflammées détonnant face à la plénitude de sa tonalité. « It may seem… odd to you, but I need an answer. What do you mean by you saw "things” and… creature ? » Nébuleuse description nécessite davantage de précisions. Hésite un instant, lèvre inférieure mordue dans sa frénésie de curiosité assoiffée. « Did she look… human ? What about her eyes ? What did she use to make a wound that deep ? » Retenue prodigieuse, tente de ne pas franchir les limites de certaines hypothèses commençant déjà à se former dans son esprit emporté. Fourmillement de pensées incontrôlées, comme son mouvement de main s’engouffrant entre ses phalanges détrempés d’anxiété. Reste ancrée au creux de ses pupilles perturbées. Cherche les réponses par tous les pores suintants d’une atmosphère vacillante entre le bouillonnement incendiaire et la glaciation profonde. « Please, it’s important. » Oubliant l'amertume, focalisée sur la recherche de la vérité, tenant en équilibre sur le fil des confessions illustres choisissant ses mots pour conter une Histoire altérée.
@Wernher Attila
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-- "You know, hope is a mistake. If you can't fix what's broken, you'll go insane."


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Olympia Ackerman
Wernher Attila
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GOD'S LONELY MAN
faceclaim & © : robert de niro (dans la cinquantaine) ((c)self + vixen).
nature : carnassier devenu carnifié. humanité noyée dans les abysses, n'en sort que quand la tempête fait rage.
saisons : les traits bouffés par les tempêtes. les cinquante cinq années tabassent le mortel ambitieux.
myocarde : battant putride, la gangrène affective s'acharne à ronger corps et âme.
besogne : grand prédateur des mers chassait répugnés à bord du meteor mais capitaine est devenu amiral, protecteur de l'azur.
errance : lawfort fief de (sa) toute puissance.
# Dim 21 Avr 2024 - 12:05

to elude a storm, you can either sail into it or around it.
but you must never await it's coming.
glorious purpose

____titan s’efforce de raconter tortures quand blonde rafistole les dégâts. dans la douleur, les souvenirs sont restés. chair marquée mais l’esprit aussi. détails figés dans l’encéphale. il a lutté pour ne pas oublier. pour que cervelle n’offre pas ses douleurs aux abysses néant. souffrance ne doit s’effacer. doit rester intacte pour raconter. pour comprendre. car faux titan ignore encore des choses. découvre encore curiosités de ce monde. et il n’est pas de ces hommes qui veut rester dans l’ignorance. il se doit de savoir. c’est là que réside toute puissance.

____blonde s’étonne de l’existence de l’objet héritage. secret transmit par un pater ignorant tout des mystères. un cadeau familial légué en secret et sans en connaître l'utilité. sûrement que vérité s’est perdu au travers des âges. attilas savaient autrefois mais maintenant ne font que donner bien comme fardeau héritage. et fardeau n’est plus. il est entre les mains d’ennemis. prophétie réalisée. destinée enfin rencontrée. faux titan n’en sait encore rien mais destinée s’écrit sous ses yeux. se dessine au travers des mystères. tout autour de lui histoire se trace.

____scientifique ralentit les mouvements. active cervelle. et les questions arrivent. fusent comme attendu d’elle. elle aussi veut savoir. mais semble déjà connaitre trop. attila discerne mystères au milieu des interrogations. se fronce alors les sourcils d’une curiosité qui lui fait relever la caboche vers elle. she was human like you and me. which why i thought i could beat her. and then it was like i was pinned to the ground, unable to move. my whole being was paralysed. titan se souvient des membres bloqués. du corps collé au sol. le poing se sert à la sensation qui semble lui revenir. c’est comme si elle était encore là. comme si ses pouvoirs hantaient encore la pièce. regard furtif dans le noir. comme gamin effrayé d’y voir l’horreur de ses cauchemars dans la réalité. something with her eyes was strange to me but i am not sure of anything anymore. tout se confond. mémoire et douleur tout se mélange. incertitude des songes. n’est plus certain d’la véracité des propos. seule la douleur est vraie. seule les cicatrices resteront. but you seems to know a lot more than me, am i right? il questionne d’une légère amertume. car animal meurtri ressent les mythes qu’on lui cache. et la douleur n’arrange pas, tout devient prétexte à grogner. you better not hide things from me cause you are not the only one who seek the truth. l’autorité faiblarde qui n'impressionnera pas infirmière de fortune. amiral oublie que sa toute puissance s'est écroulé quelques minutes plus tôt. mais derrière mise en garde faiblarde, chef militaire s'inquiète d'un ennemi qu'il ne connait pas. danger contre lequel il ne peut se défendre. contre lequel il ne peut défendre peuplade. secrets pourraient empêcher amiral de faire devoir sacré. ambitieux s'interdit les mystères s'ils le rendent impuissant. s'ils plongent la navy aux tréfonds.  



@Olympia Ackerman  
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