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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.6 thème; the marauders // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Asja Karalis
Asja Karalis
N E M E S I S
faceclaim & © : s. farid. ft. self.
„ L’étoile a pleuré rose “

tw/ trouble (sigvidh) Skqe

m o o d b o a r d

nature : ensorceleuse damnée; l'ichor coulant de l'endocarde transpercé se teinte du noir de la trahison; la ( sirène ) en exil tréfond de l'océan se ronge de l'orgueil et de la haine.
saisons : figée dans l'écume d'une ( vingtaine ) égorgée; incandescente est la sylphide ravage. sous son glaive vengeur, les multiples vies ne sont que gouttelettes pernicieuses.
myocarde : amante du néant. l'endocarde pulse cruor noir. l'organe tranché puis dévoré par le leviathan berçant ses songes, alors qu'il n'est que vaurien. ( esseulée. )
besogne : l'ondine perdue en mer redevient ( guérisseuse ), étouffant nature véritable; panse alors les blessures quand les siennes sont purulentes et mortem.
errance : l'exilée erre sur le sol d'( eden's chain ) inconnu; geôle retenant la sauvage alors que le vitriol vengeance se glisse dans sa salive.
# Sam 13 Jan - 0:58

I hear trouble coming
Over and over again
t r o u b l e
impétueux sont ravages des monstrueux; créatures du chaos bercés par les effluves du danger et la pulsation carmin de leurs veines. l'euphorie d'une folie à deux malsaine; sirène nageant dans les eaux purifiées qu'il lui offre; couverte de présents la souillée est impératrice, maitresse du leviathan conquérant s'écroulant à ses pieds quand les spectres de sa psyché reviennent le hanté; léchant de leurs langues rugueuse son amas d'os et de chair, lui imposant mille douleurs qu'elle seule peut apaiser. divinité qu'elle représente, damné qu'elle désire sauver dans un dévouement suprême; remerciement pour la liberté qu'il contait dans ses songes où il s'est invité, malotru autrefois chassé désormais adulé. il est celui pour lequel elle chante et rugit de désir de vie; l'observant et l'admirant faire briller lame trop souvent éclaboussée par le cruor des inconscients s'opposant à eux. mécréants les jalousant; eux vauriens du rien.

car il n'est rien sans elle,
et qu'elle n'est rien sans lui,
facette d'une même pièce,
unis à jamais pour garder la paix de leurs âmes.
   
gronde l'orage de la colère de l'ondine sauvage. inconscient est le compagnon frôlant folie (qui pour le blâmer?) mortelle. peu désireuse d'embrasser sa carcasse transpercée par plombs et lames; l'autrefois paisible grogne et rugit sa haine. quand la nature du leviathan lui fait soulever l'estomac; l'étrangler ou l'enlacer. l'endocarde s'accroche et se décroche; funambule dans sa poitrine faisant frayeur par ses figures fantasmes. fulminante sont les pensées qui la font tressaillir; et si elle le perdait? "I always knew you were dumb but boy, not THAT much." et c'est au détour d'une ruelle que cristalline se fait entendre, non pas pour chanter louanges à l'égard de l'aimé, mais pour le damné d'un panthéon massacré. abandonnés sont les poursuivants dérobés, par chance des deux pillards ou fatigue des lascars. "What makes you think this was a good idea, huh?" maigre est butin; fuite précipitée faisant courir biche frileuse de sectionner les artères quand désir est absent. "Look at me." ne me fuit pas. comme une accalmie avant déchéance, le ciel gronde mais le tonnerre refuse de s'abattre. "You could have bee killed here, do you realise that?"

et que ferait-elle,
sans lui pour la guider?

douceur d'Aphrodite s'envole quand réalité éclate; champs de la mort et putridité s'amènent à son esprit terrifié. le geste est alors vif, vipérine attrape d'une poigne ferme la mâchoire du colosse; gorgone affrontant le regard du guerrier désireux de périr sous ses yeux. "Or maybe it was you first idea? Maybe you want to die, Sigvidh." roule sur sa langue le prénom de l'être monstrueux. accentue son emprise sur sa mâchoire, défiant le molosse. et j'ai eu si peur. sont scellés les mots désespérés; que d'importance quand les mirettes lames révèlent la vérité. peste en silence; relâchant et repoussant l'homme la martyrisant tant. se murmure dans un ultime souffle "By the Gods why are you like this." tournant le dos et reprenant chemin pavé; unique coffre sous le bras comme récompense s'accompagnant de langue de vipère épuisée par la peur et l'étreinte de son corset l'étouffant après course effrénée.

"You piss me off."
@sigvidh dalgaård
[crédit; icon. by. MEMORY CARD VIII]

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nobody's son,
nobody's daughter “
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Sigvidh Dalgaård
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n í ð h ǫ g g r
faceclaim & © : arnas @rage.
nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. s'exerce voleur aux opportunités sans valeur, artisan de péchés, insatiable du solarion clinquant fortune conquérante.
# Mar 16 Jan - 20:16


chimera
—— by ire ever growing, hardening into stone
amidst the cold to hold you in a heated embrace.
Sur le fil souffle survie primale.
En course effrénée, fuit spectre et s'enlise dans brume acolyte.
Onction sur paysage nocturne, et gel colle au derme, quand dans les veines palpite encore délicieuse adrénaline. Liaison d'âme à vide, tonnent les sens contre les tempes. Vagit le torrent d'ichor, le pouls sauvage au creux de la gorge. S'rie, scélérat, des terreurs laissées dans sillage : échos dans le noir, que les appels des disgraciés. Les paluches criminelles ont fait leur œuvre et laissé mille traces derrière, à qui osera s'y aventurer. Imp(r)udent livre destinée au hasard des terres étrangères. Aux allées sombres, qu'on lui tranche la gorge, si aux idoles des coupables du bas-monde, sort le décide. Corps entier et jugulaire exposée, esclave (im)mortel esquisse du bout des doigts, régalienne (dé)faveur digne d'être vécue.
If die we must, let it be glorious.

Loue néant, cavalier d'un palpitant frénétique fanatique. Géhenne estampillée sur les ventricules, s'articulent et s'meuvent instincts fauves qui défient les mânes pour quelques poignées d'or.
Un sacrement aurifère, ne blase qu'à peine concupiscence dans les tripes, et en flammes d'appétits, l'âme se consume. Car ici-bas, aux affres calamité des tribulations des damnés, il n'est qu'un autre mauvais sort qui frappe, de sorgue emmitouflé, l'intrus qui habite quelque cauchemar enfiévré. Et carnaire dîne sur les peurs étouffées, déguste l'assentiment qu'il laissera planer derrière lui, des lunes durant. Abandonnée, raison sur la côte ; et bercé aux caprices des mers (in)fortuites, il grave marque sanguinolente dans la cervelle de victimes imbéciles.
Ne s'fait surprendre que quand il le décide, baisse la garde quand déjà l'éther reconnaît au flair, atma qui lui colle aux reins. Exhale sylphe du parfum mille fois humé contre gorge, le piquant d'une ire qui irradie pupilles béryl et à laquelle il confronte rictus sans excuse aucune.
Flamme contre flamme, et spectateurs astres assistent à déchirure de l'hyménée, quand l'orgueil mord avec les crocs et cisèle mots féroces.
« Have ya now become scared of everythin'? » raillerie esquinte les flancs, transperce à même dans le myocarde, et vipérin souffle sur les blessures embrasées quand se détache, véhément, de l'emprise altière de reine succube.
A vif, s'insinue dans l'encéphale et à travers les organes. Logée sous poitrail, empoisonne, dangereuse braise. Et funèbre fièvre, livre secrets sans mot, jusqu'à ce qu'au bord des lèvres, ne reste que piété pitoyable, aucun atour pour sauver la face.
« C'mon, why the long face ? » verbiage se nimbe de quelque pathos joueur, atticisme quand par la taille rattrape l'échappée, fait valser flirt sur quelques pas légers. « If ya want me t'make it up to you... all y'have to do is ask » sculpte rixe sur la bouche. « nicely. » discordance au miel sur la langue, pique pernicieuse vague menace sur la voix. Appuie l'ultime sentence. « Tonight ain't the night I die. »
provoque cieux et terre, mer et l'horizon.

S'marre au vain et s'amarre stérile d'émois désordres. « So how 'bout we enjoy it ? Or y'want to spend some more time, weighing on what coul've happened ? » ivre conquérant d'une victoire à maigre butin, auréolé décoche des bras de l'invective, le coffre de ses méfaits. L'objet de toutes les discordes.
« The things we could do, darlin'. » l'abandonne là, de quelques pas prend l'avance, se livre aux vices endiablés que ces artères ont à offrir.
Sait à l'usure, qu'(in)docile Sirène a faim du monde.

@asja karalis
[crédit; olympia]

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nature : ensorceleuse damnée; l'ichor coulant de l'endocarde transpercé se teinte du noir de la trahison; la ( sirène ) en exil tréfond de l'océan se ronge de l'orgueil et de la haine.
saisons : figée dans l'écume d'une ( vingtaine ) égorgée; incandescente est la sylphide ravage. sous son glaive vengeur, les multiples vies ne sont que gouttelettes pernicieuses.
myocarde : amante du néant. l'endocarde pulse cruor noir. l'organe tranché puis dévoré par le leviathan berçant ses songes, alors qu'il n'est que vaurien. ( esseulée. )
besogne : l'ondine perdue en mer redevient ( guérisseuse ), étouffant nature véritable; panse alors les blessures quand les siennes sont purulentes et mortem.
errance : l'exilée erre sur le sol d'( eden's chain ) inconnu; geôle retenant la sauvage alors que le vitriol vengeance se glisse dans sa salive.
# Mar 16 Jan - 22:35

I hear trouble coming
Over and over again
t r o u b l e
auréolée par lumière de grande ronde; divine enchanteresse apparait telle divinité en soirée viciée par immondices commises de ses mains dorés. brûlant est le cruor dans lequel elle baigne, noyade manquant d'emporter celle qui se voudrait responsable; quand réalité est qu'endocarde palpite de folie, peur éphémère quand la question résonne tel clairon dans psyché soufflée comment pourrait-elle douter du colosse vipérin? déchéance d'une union blâmée; l'étouffée respirant air de liberté dans l'étreinte écrasante du fou allié. et que diraient les Mères, face à ignominie déclarée par sauvages. paralysants sont les murmures des souvenirs qu'elle souhaiterait sectionnés; s'ouvrir crâne pour s'en libérer.

roule des yeux et souffle des naseaux; l'amant damné ne réalisant ce qu'il risquait; salopard mordant l'endocarde et griffant les entrailles, s'immisçant dans une carcasse décharnée pour la mordiller, clébard adoré faisant ses canines sur créature faussement apeurée. car vibrante est la Dame, répondant à l'appel qu'il clame non loin de son âme. extirpe sourire du visage de l'agacée; car elle n'est que femme ensorcelée, créature maudite des sentiments qui ne peuvent être expliqués par langage conté. de ces frissons naissant sous contact du serpent, offre amusement et délectation, l'orage passe un instant alors que saline s'apaise lentement. "ooh you are the one doing something stupid, almost killing yourself in the process, and i'm the one who have to talk nicely?" faciès se rapproche de celui de l'effronté, se laissant emporter par provocation stimulée. "you should beg me to not being angry at you. calling my name in sweet despair. --- effleure les lippes, fruit maudit, dangereux est l'attrait du Mal. you sound nice when you do it." souffle presque comme murmure quand luxure l'enveloppe; tentatrice vile des mots pernicieux, se fait conquérante de celui imprenable, glorieux maître de la forge et de la guerre, pliant face à divine soutenant son être. et elle espère, ne jamais voir périr celui qu'elle se déteste à glorifier. de ses mots chancre résonnent dévotion cruelle, de celle dont on ne se libère, marque de son parfum l'encéphale du vénéneux, dans espoir enfantin qu'il fasse de même; éternelle à ses côtés.

et quand cruauté se glisse entre eux; libérant créatures s'adonnant à étreintes de leurs péchés; elle ne peut que souffler son inconfort. se voilà libre de carcasse de leurs méfaits, insatisfaisant pour sirène avide, se délectant des trésors qu'il dépose à ses pieds; glorieuse est sa figure. "there almost nothing inside this shit, how boring." qu'elle murmure, rattrapant en trottinant géant aux longues jambes avant de grimacer, butin ne satisfaisant faim. hume l'air d'une nuitée étouffante, brumeuse. mysticisme se glisse dans ses pores; souffle de vie.
et peur se fait mettre à genoux, par aphrodite copiant ares.
repasse alors devant colosse; grimace triste laissant place au visage d'une joie tordue des désirs malsains. oui & non, jour & nuit, chaud & froid viennent définir psyché d'une sirène renaissante. pas léger; flottant dans l'air ondine habituée à l'asphalte danse sur un sol putrifié des horreurs. "look sig, look how beautiful the moon is tonight ---- lève pif vers belle adulée, écoutant faussement les secrets qui lui sont confiés. i'm sure she want us to take more from the dumbass living here. all drunks or already asleep." ricanement léger; l'indifférence s'habillant de sa chair, celle se moquant des vivants dérobeuse des belles choses, égoïste opportuniste, poiscaille devenant vipère. "BUT --- tourne son corps, observe l'adoré tandis que pas se faisant à reculons se ralentissent. nothing high risk. easy and funny. like, luring a men outside a bar, with sweet nothings as promises... to finally watching his face turn into terror when reality hit, taking everything from him." hyène ricanante; se jouant des éphèbes aux désirs charnels pour ses courbes. voleuse de leurs arrogances masculines. "all you need to do is relax, drink something, have fun and let me do the job this time, hm?" tirant sur corde de jalousie quand il observera possession jetée dans gueule d'un loup affamé; alors qu'entrée du pays aux effluves amertumes se rapproche; destin vrillé. "or... we can just have a drink. a little bit more boring to be honest.... --- raisonnable embrasse folie. so... what you prefer, love?" roucoule surnom de l'affection; teinté de cet amour porté au dérobé des raisons.

@sigvidh dalgaård
[crédit; icon. by. MEMORY CARD VIII]

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nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. s'exerce voleur aux opportunités sans valeur, artisan de péchés, insatiable du solarion clinquant fortune conquérante.
# Jeu 25 Jan - 1:21


chimera
—— by ire ever growing, hardening into stone
amidst the cold to hold you in a heated embrace.
Létale obsession, créature hantise imprègne les sens d'toxique omniprésence.
Se détache sur l'asphalte glacée, plante vénéneuse, divine tortionnaire aux effluves de stupre. Aux bacchanales, beauté danse dans la brume, succube suspend sorgue sur rideau firmament.
Ô Asja, lacère silphe aux mots de miel, cisèle les crocs de voix caustique.
« You know I ain't the beggin' type. » mas reptile siffle venin fierté ; nargue rictus détracteur, mais doigts caressent sur le visage poupée, quelques esquisses d'affection calfeutrée. « And can ya really be that angry at me, hm ? » fredonne provoc', darde une moue faussement navrée, la comedia d'orgueil. Orchestre sur les cordes vocales fait crisser dissonance d'une guerre sous couvert.
Ennemis sans en être, cramponnés au désespoir l'un à l'autre,
à la soif d'existence ensemble.
Et l'univers vibre avec eux, l'unisson suprême des criminels de la nuit sans fin.
Alive darlin', we're alive. Chant d'une revanche guerrière, bravade en abysse dans les pupilles noiraudes. L'affreux rogne les espoirs et les condamne à l'obscurité. Les démons dans l'myocarde, jamais exorcisés : impérial éther alimente cruor dans les veines, brasse et brasse adrénaline aveuglante. La faim de l'or, quelque gratification vertement arrachée au vide d'une non-vie suspendue.
Blâme lunaison pour humeurs mutines.
Lupins impétueux, scélérats sous l'astre d'argent, demeurent éternels isolés. Tiers d'un monde qui tourne sans eux, et les condamne spectres d'un instant en suspens. Juste le présent, jamais d'à-venir, un goût d'inconnu collé sur la langue. Asja, words of love are just som' noxious taste on the tongue. Reine Dahlia Noir se meut, légère sur les pavés humides. Décor tout autour, est indigne canevas d'une nymphe des ténèbres. Cruelle harpie retourne vivement la situation. Guère subtile, argue le jeu dans sourire mielleux et jusqu'aux iris émeraudes qui livrent l'âme en pâture. Sigvidh l'écorche en retour, s'marre d'un rire tord-boyau, une lame qui tranche la carne sans pitié aucune. « An' what makes ya think t'fucker wou'd be interested ? » larde vulgairement, mots-machette coupent et broient ; martèle l'insidieuse fièvre fureur qui bouillonne lentement sous le derme.

What are ya living off, Asja?
Sondent yeux absolus ; défient, aguichent, promettent vengeance sans que bouche ne daigne s'tordre des mots indignes. « A'right. Lead t'way. » concède sans le faire véritablement. Une bénédiction qui, avant l'aube deviendra anathème sinistre.
« I'm sure y'll find us... something magnificient. » et sur balance (in)justice, menace maupiteuse cingle tease sur le ton. Make it worth it.

Abdique froidement.
Cède négociations pathétiques quand l'épaule pousse lourde porte.
Narines s'imbibent de l'arôme de stupre dans l'air, l'âcre d'liqueur aux gueules des éméchés qui zonent sans repos. Bête sonde la masse, garde gourmandise aux coins des babines et s'embourbe dans silence épais. Un grognement pour réclamer péché, quelque gnôle pour anesthésier les instincts d'animal.
Et l'esprit monstre compte secondes, minutes. L'infinie (s)cène de c'qui goûte comme la vengeance d'la (re)belle, piteuse contre-offense sur champ d'bataille où tout le monde autour est dommage collatéral. Démange baiser glacé d'une lame danger, l'ordalie des nerfs à vif. « Another. » ordonne en boucle, l'alcaloïde d'écueils amers, damne solarions à pauvreté de l'âme. Asja, you'll doom t'world, thinkin' it's yours.

@asja karalis
[crédit; olympia]

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Sigvidh Dalgaård
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nature : ensorceleuse damnée; l'ichor coulant de l'endocarde transpercé se teinte du noir de la trahison; la ( sirène ) en exil tréfond de l'océan se ronge de l'orgueil et de la haine.
saisons : figée dans l'écume d'une ( vingtaine ) égorgée; incandescente est la sylphide ravage. sous son glaive vengeur, les multiples vies ne sont que gouttelettes pernicieuses.
myocarde : amante du néant. l'endocarde pulse cruor noir. l'organe tranché puis dévoré par le leviathan berçant ses songes, alors qu'il n'est que vaurien. ( esseulée. )
besogne : l'ondine perdue en mer redevient ( guérisseuse ), étouffant nature véritable; panse alors les blessures quand les siennes sont purulentes et mortem.
errance : l'exilée erre sur le sol d'( eden's chain ) inconnu; geôle retenant la sauvage alors que le vitriol vengeance se glisse dans sa salive.
# Ven 26 Jan - 19:50

I hear trouble coming
Over and over again
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I am, You are, You and I,
In this ethereal night.

belladone étouffante; casse les sens et empoisonne, cécité déposée du bout de ses lèvres (im)pures, baiser d'une divinité admirée et craintive. vénéneuse & dangereuse, parias se jettent à ses pieds qu'ils baisent dans l'espoir d'absolution; mais catin s'indiffère; n'offre grâce qu'au ravageur, ô malheurs. plante ses griffes dans sa chair, fausse furie en délectation sur l'âme qu'elle rend sauvage. mirettes se remplacent par celles de chimène lorsque apposées sur colosse vrillant la psyché. tambours de guerre résonnent au rythme de leurs myocardes putrides, amants maudits où conflits se transforment en nécropole dont ils sont maîtres. folie les guette, ô délicieuse dépravation. détesté adulé, il n'est que reflet de son être putride, lié pour une éternité qu'elle ne saurait vouloir voir s'arrêter. bacchante désirée, hétaïre aux services d'un conquérant mal-léché, où, de son domaine, il l'a pourtant couronné; veilleuse de ses secrets, vigie de ses souffrances.

corps chante sous les esquisses de cette affection dissimulée; ô colosse monstrueux, à la tendresse sectionnée n'offrant que prémices avant de tout reprendre, glouton de sa propre existence détestée et pourtant glorifiée. "you are going to be the death of me, sigvidh." scandée dans l'effluve d'un rire teinté d'attachement; divinatrice révélatrice d'un futur macabre, ô si elle savait, serait elle alors en train de sangloter ou d'égorger le bien-aimé?


We are alone, You and I,

"every men on this earth want to have fun with me." you are no different. malédiction de la chair, luxure dégagée des pores d'une candide créature reluquée et mordue par les canidés désireux de calmer ardeurs entre cuisses moites d'une catin des eaux salées. "such a curse, yet, also a gift." tire les fils de sa tapisserie faisandée aux reflets vermeilles, ne garde qu'opportunité afin d'envelopper sa féminité à l'intérieur, arrache de sa tragédie les couleurs du mal; némésis vengeresse de sa propre perdition afflige les lubriques d'un glaive sinistre. instrument de sa fureur, Il est le bourreau de ses affres et détracteurs; protecteur d'une pureté dont il se délecte, route dépravée qu'ils empruntent sans se retourner sur leurs méfaits où seuls astres se font spectateurs des étreintes mystifiées.

I am "You" too — there's no I"

----

bourdonne dans bâtisse le vice; incrusté dans les pierres ayant trop vues, aux teintes ternies par fluides dégueulés des êtres décharnés s'aventurant trop près de cette déchéance tant admirée. vermine se faufile; effleure de son corps rachitique colosse reptilien qu'elle abandonne tel vaurien. illusionniste enchanteresse, charme les ivresses et pousse aux saluts les perdus. ô damnation! cruelle est la sylphide, tortionnaire sous visage des anges, embrassée par les divinités usant de nature pour parfaire les vices. illumination pour poivrots voyant créature d'autre-monde, tamisée sont les lumières encerclant formes de l'être aux pensées sordides. s'invite, s'impose (garce!), se veut glorieuse et admirée, celle noyant les masculins dans effluves satinées d'une aphrodite jetée de son panthéon, arpentant l'asphalte médiocre aux côtés d'une humanité l'embrasant. jetée dans la gueule des clébards en ruts; se voient déjà mâchouiller et bouffer carcasse de l'offrande, ô ignominie, les médiocres gloussent et désirent, honte à la pureté, ode des malfamés envers les excès; salissant leurs traits de laideur, punition divine des Grands honteux de leurs créations. et Ishtar gobe la gloire; dévore les tarés amourachés de son enveloppe fragile, ô divine maîtresse se joue de l'amant observateur, s'hydratant du breuvage de l'irraison devant comédie macabre, car résonne au loin l'hallali du serpent.


voilà qu'elle se place, traitresse!
déposée sur genoux d'un malfamé, désireux d'en faire son dîner,
sans savoir qu'il sera celui dévoré,
ô pauvre dépravé.

père temps s'absente, fige monde des vivants. se délecte de catastrophe approchant. malédiction est-elle, sillage mortem qu'elle laisse dans sa traîne noircie, teintée de l'ichor coagulé de malheureux s'étant trop approchés, malheur, ô malheur. mains du mécréant se baladent, s'aventurent sur carne doré alors qu'il ne devrait. trancher mains et langues; faire taire les mots poisons, offrande aux divins. ondine s'esclaffe, mime amusement. dame chimère s'habille du linceul du divertissement car gronde, gronde l'orage se rapprochant. sectionnera de ses mains mystique les affronts, monstrueuse se baignant dans le cruor. s'immisce dans l'esprit du serpent, bruissement des feuilles dans l'air, échange sens unique, silence imposé entre les deux alliés. « do you see how much he touch me? poor man think he own me. » souffle alors appel luxure dans creux d'oreille du condamné, sirène maudite, phéromones dégagées la feront expulsée de son rang de madone, dame se pensant reine n'est qu'hétaïre, porcelaine de sa pureté brisée depuis tragédie, dérobée ne reste que vestiges.

salopard crevard, possessif de ce qu'il ne possède, ambroisie brûlant ses veines se jetant dans gueule du loup. crache sur proposition de nymphe noire, repousse celle-ci et appelle à la gloire en se redressant, gigantomachie qu'il ne peut gagner. ô vaurien conquérant, clashant sur divin serpent. "what are you starin' at, fuckin' snake?" poisseuse est atmosphère, divinités ricanent. père temps se glisse dans l'air, chaos étouffe alors que tragédie chante. sirène opportuniste, main habile se faufile pour dérober bourse aux pièces dorés, solarions en gloire rapidement dissimulés.
« beat his ass, i want to see him in pain. he deserve it, so fuck it. » expulsé dans psyché de l'affamé adoré, mutine des lèvres qui viennent tremper dans ambroisie amertume, observant de ses iris, gladiateurs attirant attention indésirable.
@sigvidh dalgaård
[crédit; icon. by. MEMORY CARD VIII ;; quote by Vahan Teryan (translated by metamorphesque on tumblr)

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saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. s'exerce voleur aux opportunités sans valeur, artisan de péchés, insatiable du solarion clinquant fortune conquérante.
# Lun 4 Mar - 3:35


chimera
—— by ire ever growing, hardening into stone
amidst the cold to hold you in a heated embrace.
Tornade attraction.
Push and pull.
Âmes des ires, lames bourreaux sur myocardes en rythme fauve.
A laissé empreinte sur le derme, vipérine tortionnaire susurre sur flammes quelques provocations doucereuses. Et l’œil serpent s'ancre au néant, marque à mémoire chaque lézarde du bois sous les paumes. S'use les sens à ignorer fumet de vices qui hypnotise. Vénéneuse Asja, maligne veloutée, caresse l'encéphale à l'agonie. Crashent les ventricules en écho décalé, le tango des chairs débauchées ;
Some day, some where, I'll kill you.
Serment aux ténèbres des méninges, ne s'fait qu'avec lui-même. Bestiole vengeance, gronde dans les boyaux, des airs d'outre-tombe.
Et aux éclats des voix alentours, se force à mordre à pleins crocs le réel si amer. Tympans captent les chants pesanteur : s'ancre, l'épaisse carcasse à sa place. Spectateur des éthers. Inconscients qui marmonnent, inconstants qui refont le monde, s'arrêtent aux frontières acérées des îles déchirées aux flots noirauds. L'on y parle des voiles qui viennent coucher sur ces abords, les plages sculptées par les pas d'hommes esclaves, rumeurs aux lippes commères offrent divertissante distraction. Un vacuum dans l'crâne animal,
microcosme où la voix sorcière se fait chasser sans vergogne.

Sillon aurifère, appelle chasseur insatiable : en pâture quelques noms lâchés, exuvie en loi des bandits. Abdique raison et grogne vengeresse famine. Cupid(e) retrouve Sa belle, sacrifiée à l'autel luxure des mortels. Feint de n'la voir qu'à peine, quand billes d'ébène s'accrochent à la gueule du bétail pitance.
« What are you starin' at, fuckin' snake? » duel suspendu au silence de la langue empoisonnée, fiel s'orne d'un rictus. Pour quelques secondes, jauge la nourriture choisie par léthifère dulcinée. « Beat his ass, i want to see him in pain. He deserves it, so fuck it. » commande voix suave dans l’indicible. Se mêle, créature à superbe omnipotente, la confond à l'instinct qui remue dans le bide. Prompte joueuse, sur filin dicte les desseins de mâles esclaves à genoux.
Résistance revêche ne s'fait qu'au goût d'ichor, les canines qui mordent à même la langue, et l'esprit qui tourne en quête d'une vendetta douceâtre. Et enfin, à l'enclume des secondes défilées, se penche jusqu'à l'oreille du condamné. Murmure sur tympans quelques mots décisifs, qui, même à l'enchanteresse, échappent. La confession lourde comme du plomb. I'm starin' at a dead man walking.
Sillage schéol qu'il laisse quand il fait demi-tour, pousse la porte et quitte les lieux. Laisse hanter l'abandon sous l'argenté pâle d'une lune chlorotique.

L'ennemi enragé ne tarde à suivre. Lourds pas dans l'dos, gorge déployée d'un beuglement bestial qui ricoche sur l'asphalte. Dans l'artère anémiée, personne ne prête attention : têtes se baissent, les allures s'accélèrent et aux chaos, fantômes s'étiolent aux ténèbres. A la collision, ils sont seuls ou presque.
Et déchaîné s'pête presque les doigts dès le premier coup, renâcle gloriole au goût de sang. Mariole en joue, danse sur filin danger, tease monstrueuse faucheuse, goûte petrichor dans l'air poisseux. Vivant, shooté à l'adrénaline qui file, électrique à travers carcasse inanitée. « Here you are. Took you some time. » il adresse à chienne par-dessus l'épaule de l'autre. Asja, l'ombre sur ses pas. Asja, referme le piège.
Synergie sans mot ni ordre, se dicte jour et nuit aux sens déraison.
Et l'air s'épaissit, et le monde bascule en ces quelques secondes décisives.
S'abat, sauvage contre-attaque, la charge d'la tête qui pète le nez. Assène à la foulée, le poing au creux de l'estomac, vide d'oxygène les poumons d'un supplicié déjà, qui suffoque à genoux dans la boue. La faible tentative de saisir quelque arme à tâtons, se solde d'un craquement lugubre, l'os fracture qui laisse la main retomber comme une enclume. Butor colosse bataille d'impatience, ardent courroux jette le poing qui s'fracasse dans la mâchoire, l'aveugle vengeance qui incendie cruor. Et sur teintes carmins, jointures goûtent quelque paix disgracieuse. « Now, now, darlin' » revanche furibonde, enfin, la désigne, elle. Léviathan mas se traîne jusqu'à Elle. Tourne, tourne, vautour. Nécrophage, réclame satiété. « how 'bout you ask your friend » main leste trouve à la ceinture, l'ordre piété. Leur jeu, mue sirène en supplice. « what we'll find inside t'belly of his ship. » sur scène destin, tend l'aura noire. Et dans douce paume, fustige l'ordre de la lame placée délicatement là. Y'wanted to see him in pain, did ya ? souffle contre souffle, d'yeux à yeux, sonde les affres des pupilles d'émeraude. What's the truth ? interroge à l'insaisissable, la curiosité dévorante.
Always. Never.

Are you a beast too ?
Or d'you just want me on my knees ?


Reine succube, goûte amer courroux.
A trempé les lippes dans un calice, nectar aux reflets rougeâtres.
Do you like this part of the game ? Ancré, regard la sonde à travers le derme, la carne et les os. Jusqu'à l'éther, la damne aux mêmes abysses que lui.
Murmure sans voix, dans sa tête à elle : Asja, ô Asja, you're a monster too.
Sans difficulté, maître pénombre traîne victime jusqu'à elle. Poigne fermement enserrée, au collet enserre l’inextricable sort. « See, word's ya get a heafty price, for all the illegal shit ya keep bringin' down t'is shithole. All on yar own. » au hasard des caprices insensés, Elle avait tissé noir fatum. (In)fortune des (mal)heureux. « An' this lady here, she's got expensive tastes. » mielleux vicieux, dépravé des allées pouilleuses. Décor de cène décisive, le soir choisi n'est que préface,
commencement perpétuel,
vers l'aube vermeil.

@asja karalis
[crédit; olympia]

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s e r p e n t
——————— WRAITH
Sigvidh Dalgaård
Asja Karalis
Asja Karalis
N E M E S I S
faceclaim & © : s. farid. ft. self.
„ L’étoile a pleuré rose “

tw/ trouble (sigvidh) Skqe

m o o d b o a r d

nature : ensorceleuse damnée; l'ichor coulant de l'endocarde transpercé se teinte du noir de la trahison; la ( sirène ) en exil tréfond de l'océan se ronge de l'orgueil et de la haine.
saisons : figée dans l'écume d'une ( vingtaine ) égorgée; incandescente est la sylphide ravage. sous son glaive vengeur, les multiples vies ne sont que gouttelettes pernicieuses.
myocarde : amante du néant. l'endocarde pulse cruor noir. l'organe tranché puis dévoré par le leviathan berçant ses songes, alors qu'il n'est que vaurien. ( esseulée. )
besogne : l'ondine perdue en mer redevient ( guérisseuse ), étouffant nature véritable; panse alors les blessures quand les siennes sont purulentes et mortem.
errance : l'exilée erre sur le sol d'( eden's chain ) inconnu; geôle retenant la sauvage alors que le vitriol vengeance se glisse dans sa salive.
# Lun 4 Mar - 16:16

I hear trouble coming
Over and over again
t r o u b l e

❝    L’étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles,


L’infini roulé blanc de ta nuque à tes reins
La mer a perlé rousse à tes mammes vermeilles


Et l’Homme saigné noir à ton flanc souverain    ❞

en attraction du chaos à la noirceur rongeant l'âme d'une guérisseuse mortifère, soufrière du cataclysme à venir. ordre divin d'en finir avec ce malin, supplique se mêle à incantation sur goliath reptilien; celui à la main condamnatrice, vilain à l'avenir vaurien. condamnée est l'ondine, pour l'amour porté à celui qu'il ne faudrait; il est le vitriol de son âme, poison de son cœur, malsain de ses espoirs, maître de ses déboires. ne savent s'aimer sans carmins coulés, ne sont que dégénérés se perdant dans étreintes vouées à désespération suicidaire. elle se désigne alors luxure, pourriture jouant des masculins détestés. ne tolère atrocités que pour scinder psyché de l'aimé, elle est vipère elle est tourment, chimère aux miasmes entachant sa beauté. en souffrirait si n'en obtenait exaltation,

ô sigvidh, suis-je à ton goût,
auréolée de mes ces monstruosités?

car de l'offrande elle s'alimente, fruit impie qu'elle ingère avec délectation d'outre-tombe, insulte serment du clan délaissé; des Sœurs et Mères jalousant elles en ont crée porteuse des chrysanthèmes, semant leurs graines sur asphalte fécond des dégénérés, ceux se prenant dans racines s'effondrant car ô, doux parfum annonce malheurs, l'anathème se dépose sur les carnes et alors, retentit le glas des entrailles infernales. carmin éclabousse divine, délicate jupe au tissus léger se teinte des gouttelettes du condamné, et ô que regard s'attriste. lucidité s'infiltre et regrets semblent se dessiner, et si et si, et si horreurs revenaient la hantée, dans sommeil, pourrait-il l'apaiser? n'est qu'usurpatrice, ô l'âme est douce, se rétractant et se reformant, black hole absorbant tout, elle s'en désole alors. palpitant s'affole et bouche se sèche, malheur malheur, elle en perd ses attraits. en détourne regard, pucelle fuyarde. mais s'heurte au colosse, ô l'impitoyable, maitre du jeu malmenant l'âme. s'en damne et se perd, dans les affres qui s'opèrent. "I got his money, that's enough." se glisse dans sa main, douce lame. bourreau dont elle dérobe les habits, enfilant accoutrement ne lui sciant pourtant pas, stimuli s'affolant. vient se perdre dans les iris du serpent, en parcourt les contrées, se perds dans les couleurs se dessinant à l'intérieur. s'en ressent la chaleur de son âme; d'endocarde palpitant au rythme du sien. noyade d'une ondine dans son océan merveilles, transformées en horrifique vision. dépose main libre sur joue de l'aimé, en caresse affectionnant la chair.

divin est l'animal, toucher électrise les veines.
faiblard observant scène cauchemar, folie à deux faisant dégueuler.

en arrache baiser de ses lèvres, absorbe poison, en dévore l'essence. fait de nouveau sien l'aliéné, en désir d'oublier tragédie à venir; dont elle a elle même tissée tapisserie, nuitée sanglotant, lunaire horrifiée. « you did so well, chante dans esprit, douce symphonie. look at him, look at you, look at us.. » des horreurs s'arrachent royauté, couronné des apparats dérobés, piétinant le mécréant gémissant plaintes d'une souffrance tourment. nymphéa se rassure, apaise son tourment qu'elle seule maîtrise, ô traitrise. se dérobe, créature de nuit.


In thousands of agonies,
I exist.

à la symphonie d'une beauté enlaidie, elle s'agenouille lentement, fait face au démon. "The Gods will laugh at you, your family will dance for your death.." en effleure lame maudite, appel du sang, joue sanglante de l'ichor en pluie sur une carne abimée. reflet de l'âme dérangé, du chien clamant supériorité, suppliant désormais, ô les bourreaux de sa nuit. tranche, sectionne. simple chaine autour d'un cou qu'elle désire étrangler (sorcière!), en récupère émeraude taillée, beauté polie qu'il ne mérite de posséder, damné. rapide est l'iris se levant vers l'aimé; l'adulé en attente du jugement de disciple adorée. soupir s'extirpe alors de ses lippes, repose regard vindicatif sur victime, en esquisse sourire, vision divine. en suppliques, faiblard hurlant pitié, sanglote tel marmot appelant mater crevé. ne possède plus rien, dérobé de ce qu'il possédait, n'est plus que vaurien attendant plantage dans gorge se déployant. "If only you had more to offer... Maybe you could have lived anothed day."

meurtrière aux mains dorés, l'effondré gargarisme en cruor inondant bouche trop bruyante, jugulaire pulsant en gloire au sacrifice accordé, arrosant prêtresse du liquide divin; souffle de vie arraché, macchabé sur sol maudit. chronos s'enrage, martèle temps et fracasse l'ondine réalisant, ô tragédie marquant carne. "Fuck.." s'en affole; perd pieds, sirène aux écailles arrachées essuyant visage souillé. tremblotante est la Main, perdue s'agite, redressée pourtant effondrée, suppliante à son tour. "What have I done... I..." offense à vie glorifiée, impie est l'être désormais teintée d'une petite mort apposée de sa main; masque fracas sur sol engorgé, guérisseuse assassine vient à se maudire, poitrine se fermant et étouffant. terreur s'habillant de ses plus beaux habits, en angoisses viennent achever la sanglante sanglotant, ô horreur, pourquoi? faux réconfort quand iris rencontrent les siennes; n'y voyant que néant de cette folie désemparant l'affolée effarée.


ô sigvidh, es-tu fier,
de cette atrocité?
@sigvidh dalgaård
[crédit; icon. by. MEMORY CARD VIII ;; quote arthur rimbaud

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--- „ You're in the wind, I'm in the water,
nobody's son,
nobody's daughter “
Asja Karalis
Sigvidh Dalgaård
Sigvidh Dalgaård
n í ð h ǫ g g r
faceclaim & © : arnas @rage.
nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. s'exerce voleur aux opportunités sans valeur, artisan de péchés, insatiable du solarion clinquant fortune conquérante.
# Mar 2 Avr - 18:33


chimera
—— by ire ever growing, hardening into stone
amidst the cold to hold you in a heated embrace.
Sur filin hasard, destinée trouvée.
Reine du firmament, sur vent la lune fait planer froide attention. Insatiable créature, palote mort-vivante dans la nuit, réclame son dû d'ichor. Et calice est de glaise, noiraude trace laissée sur la gorge. S'teintent ténèbres de gouttes rubis, quand mortels bénissent, sanctifient. Sacrifient. Sur terre chaos, nourrissent le terreau des damnations, et sous les pieds, gronde l'île affamée.
Et nymphe bourreau y accomplit l’œuvre, quelque instinct bestial qui fait loi. Ploie les doigts imbibés rougeâtres ; carcasses noyées dans l'océan perle de sa brume, hument aux narines le fumet de sang. La solitude d'eux deux, cannibales du monde qui brasse ici-bas.
Asja, have you felt it, ever ?
There's nowhere, never, you'll we'll belong.

Criminelle d'empreintes de velours. Jusque dans les sillons des douces mains, l'effroi fantôme qui coule, visqueux péché d'arrogance. "What have I done... I..." sauvageonne bataille avec l'éther du cœur chaviré, ne trouve écho que dans mutisme du castelier impie. Rouages dans le crâne, tracent l'histoire phantasme d'instincts qui se font la guerre. Belle est dangereuse, quelque lame entre les pattes et la voilà monstrueuse. L'agile parjure, séraphine métamorphosée en félonne des bas-fonds.
C'est ci-bas qu'il l'a traînée, familiarisée avec mythe Déesse (Im)mortelle, (Im)morale.
Dans la pénombre de l'Inconnu, fend rictus toqué.
S'traîne galeux sauveur à l'âme de la Dame. « It's alright » berce d'indolence mortifère. « T's alright, darlin'. » ô doux miel dans la voix, asthénie cotonneuse, un répit dans le néant. Bénédicité dont il est Saint, les serres dans les ténèbres qui la maintiennent debout. Et sur le bout de la langue, venin déguste (in)humanité en rosée sur les lippes. Pulse fauve carotide, pouls fiévreux d'une chute vertigineuse, y offre caresse distraction, l'échappée de quelques secondes hors du temps.
« Shit, tho. » roule dans poitrail un rire au vide. Ricoche contre le macchabée, contre l'architecte de Sa perdition. Coupable encore, enserre l'arme du crime, cadeau du Divin tourmenteur. « I told ya t'get information. Not t'butcher the dude. » s'instille, fustige noirceur aux yeux du serpent. Prescience juge, mais séduit blandine qui coule le long de la gorge, sculpte doux visage. Songe, l'amant-ennemi.
Now what, now what?
Now that you got a taste of it, what ?

Et dans l'immobilisme, suspend son sort.
« Don't get all dramatic on me now. » s'essaye de teinter lassitude de quelque lazzi, chahute l'être en houle mais pupilles décortiquent chaque état d'âme qui trahit Précieuse. We're all goin' to die, one day or another.

Et sous le derme opalin, corps n'sont que viande et os.
Pantins désarticulés, rendus à la poussière.
Caustique est le poison, cynisme qui le mord profondément, celui qui cloue sur place.
Une pesanteur qu'il lui apprend à encaisser. La lâche enfin, vulgaire abandonnée quand pas dans la boue crissent courroux. « So, are ya havin' fun ? » Is this what you wanted ? Charogne tourne autour d'ses restes, « C'moooon... » traîne la voix, hypnose goguenarde, remue les tripes hâbleur Créateur. « What ya did. Y'did on your own, dear. » s'moque, provoque, rauque mugissement qui lèche les murs. Revient jusqu'à elle, vagues d'horreur dans la brume, s'égrainent à l'inconscience, les secondes depuis l'Horreur.
Is it inside ya, a Monster ?
Just needin' a little nudge,
in the ( right ) wrong direction ?

Persifle les songes qui battent dans l'encéphale de la (dis)grâcieuse Sirène.
Si loin de chez elle, si loin des siens. Si loin d'autrefois.
« Ya did, after all, say y'wanted him to suffer. Guess you really meant it. » simple voix blanche, ne pose guère verdict. Reflète simplement, c'qui tourne dans la tempête de son être. « D'you like ? Feeling accomplished ? » miroir, miroir, connaît visage chine fragile. Connaît psyché sondée mille fois déjà. L'organe qui bat contre les côtes, le souffle qui coule à travers tout le système. L'orgueilleuse vie, la Nature profonde, feu dans le ventre. C'qui fait qu'elle est là, qu'elle ne s'en écœure pas.
S'arriment yeux, un face-à-face —  tête-à-tête —  dans l'abysse.
Et puis. Enfin.
« C'mon. » se froisse gueule, quand réalité a ses lois. « Y'know what's next. Y'gotta hear it, somewhere, deep down. » car Barter Bay est impérieux règne sur chaque existence. Esclaves de l'enclave, dans son brouillard, les pions d'immortel(le). La libération des Faibles. At least one of ya gets to leave live tonight.

@asja karalis
[crédit; olympia]

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