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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
___bouche empyréenne crache entre les crocs; souffle sur carcasses de lin, de bois et d’os. divinité céleste déchaine courroux sur filles de thémis, frappe sans justice. à la poursuite des bons vents, navire s’immisce dans le cimetière des infernaux; se dérobe de ses voies claires pour rejoindre rochers intestinaux. dans l’antre de la bête océanique, nef rencontre ossature solide; déchire ses ailes et rature sa coque. déchéance touche sans préférence, les impunis comme les démunis.
______c’est la faim du destin, un festin sans fin.______
___ violence brise les sens, chahute la veine; carmin bouillant infuse panique sans verveine. calme est pourtant de mise, mais sérénité est sacrifiée par la puissante déité des eaux — tord un instant les os. « what the hell was that? — call all the hands! » expire rage qui déjà fait saccage, qui dans son ventre vide organes jusqu’au teint diaphane. capitaine abandonne l’amie et se précipite vers poulaine; guette ciel noir et rochers sans espoirs de fuite. oeillade évalue dégâts, jure contre destin renégat qui l’en fait putain oméga; mais furie refuse de céder sous les voeux de l’olympe, rejoint soeurs pour (r)assurer. « the sail is torn away by the wind and the hull damaged and blocked — we’re fucked. » aparté à sa dextre, murmure pour elles avant d’affronter les siennes. regard parcoure foule de rouge et d’ébène, grincent molaires de haine. « i need two volunteers to search for leaks in the hold, two more to check the cannons and if we can fire them on the rocks, finally two last to determine what can be salvaged from the supplies — fast! » s’époumone dragonne qui déjà, bat l’aile en feu avant d’atterrir bottes contre plancher sororal; alpha se mêle aux jumelles quand soudain, flair bute contre une écorchée. carmin dégoulinant de plaies, menace de faire surgir son plus laid; masque se fend et canines grognent sous l’envie soudaine. « who’s hurt? » échine se dresse, céruléennes se pressent; quêtent blessée par delà le bois. « oh lord… like i need any more of this. » comprend malheur, invoque ce qu’il reste des soeurs. « see if someone is out there, probably propelled during the shock. » and bleeding out, really fast. « go, go, go sisters — now! » et d’une face secouée vers la confidente, lui dit tout ce qu’elle tait aux autres. no way she'll survive this.
résumé:
le navire est coincé entre les rochers et la grande voile déchirée, fall check les dégâts après s'être adressée à son bras droit et revient lui faire un constat. elle demande aux filles de se diviser les tâches : deux d'entre elles pour vérifier que les cales ne sont pas inondées ou en voie de l'être, deux pour vérifier si les canons sont en état de tirer et si on a un bon angle pour, et finalement deux autres pour aller voir ce qu'il reste de la nourriture et autres denrées importantes. puis, alors qu'elle les rejoint, elle flaire qu'une (ou plusieurs?) fille.s est.sont blessée.s et réalise qu'elle le.s sent depuis l'extérieur. à voir s'il s'agit d'un.de pnj ou de vous, mais une chose est sûre on part sur une blessure sévère puisque la.les meuf.s aura.ont été propulsée.s contre les rochers durant le choc. elle demande donc qu'on aille vérifier si c'est le cas puisqu'elle va pas se griller davantage en affirmant qu'il y a blessée.s lol. et voilà, c'était le résumé plus long que le rp, merci d'avoir lu! (mdr) -- je précise que vous pouvez faire ce que vous voulez et que le reste sera fait par des pnj
------- in the eye of the storm, and the jaw of the beast
sous les marteaux des infames, rugissent vacarmes des sans-failles, grondent folies de leurs larmes, qui giflent sans mal les belles dames. à chaque coup sur le monde, étincelle d'un éclair, souffle géant d'un cyclone, vague démente d'une tempête. et tâche carmine sur les flots, déroge à la règle des marins, sous les menaces des cauchemars, engage bois contre roc, s'accapare un instant dans cette mascarade ambulante, pour plonger sur rochers, pour flancher dans vallée, digne des plus anciens mythes, le cimetière des naufragés.
in a blink of an eye storm became enemy. no more blades in red hand, as weather is the foe.
watch out ! et d'un choc vient la mort, et d'une frappe vient l'horreur. d'un pont, soeurs vacillent, chaos en téméraire, violente est la poussée qui fracasse la guerrière. sous le geste protecteur, libère le malheur, sirène sans repère, nage sur les escarpés, quand retrouve ses sens, et en perd son sang. colore l'obstacle du rouge tapageur, fait rage de ses maux sur voûte des oubliées, muses assassines prises en chasse par la nuit, et l'hybride qui sommeille sur sol des condamnées.
not alone in the dark yet feels cold on the rocks. hears echoes in the night of sisters of the light.
et dans l'attente d'un soupir, se bat avec véhémence contre symphonie qui irradie l'esprit. celle d'un silence infini, celle d'une femme éternelle, dans l'habit bien plus noir que les plus sombres merveilles. la main gantée d'un velours glacé, et la lame d'une faux pointée vers les opales voilées. please, let me drown in peace, si seulement vagues montaient, couvrant l'ouïe d'une musique sans ses notes. rétablissant l'enveloppe. si seulement les maux pouvaient se faire plus forts encore, qu'elle n'ignore pas sa condition réelle. et se réveille.
en résumé:
du coup du coup du coup. c'est la merde (on le sait), et le navire se retrouve d'un coup coincé, as fall said. sauf que c'est arrivé précipitamment, et le choc a été violent. seira, qui était sur le pont (i mean, on est dans la mouise, elle va pas juste se reposer dans sa couchette), a le réflexe d'avertir une soeur (ça peut être n'importe qui, tina la pnj, ou l'une de vous) pour tenter de la protéger, mais est expulsée contre les rochers, et globalement, est sonnée, perd son sang, ferme les yeux, et lutte pour ne pas s'endormir, car elle a le sentiment que dormir = mourir (c'est un peu ça, d'ailleurs). elle espère qu'on va la repérer et la jeter à l'eau pour trigger son hybridation, tout en redoutant de ne pas être la seule à "nager dans les rochers".
the amazing red hand (c) code -- vixen [crédit; vocivus]
_____________________ you were the one i wanted most to say, but time could not be kept at bay. the more it goes, the more it's gone, the more it takes away.
nature : (Humanité décriée). La mal-née, poisse séculaire l’embrassant à peine les premiers cris soufflés. Fille de l’océan à la carne trop fragile, trop douce.
saisons : Les (vingt-sept années) profilées qui ne marquent pas encore les traits. La jeunesse qui s’étire et nargue l’assemblée, pied de nez remarquable envers l’éphémère.
myocarde : myocarde passé en sourdine, solitude vénérée (love is a curse, don’t you know ? ).
besogne : (Red hands, Blizzard) nouvellement ordonnée, mercenaire chargée des délits ne méritant pas sentence funeste.
Tempête fait rage, les cieux déversent leurs colères sur les flots. Qu’importe les victimes du destin tapageur, n’a que faire des âmes qu’il maltraite et damne toutes celles osant se trouver sur son chemin. L’océan se retournent contre les érinyes, les privent de ses faveurs maintes fois accordées lors des années passées. Mercenaire se démène sur le pont auprès de ses sœurs, vaine tentative de tirer le navire hors de la bouche des enfers. Coque se fracasse pourtant contre quelques-uns de ses crocs dans un craquement sinistre.
Carcasse se fracasse contre le récif, carne déchirée sur les rebords acérés. Humanité poison rappelle la bestiole à l’ordre, la laisse échouée sur les rochers. Hémoglobine s’échappe, macule le basalte d’un grenat rapidement effacé par les vagues. L’écume cajole tendrement l’épiderme endolori de ses baisers glacés, berce l’ancienne enfant des mers et alourdit ses paupières. Wouldn’t it be so much easier to let go ? Qu’elle lui murmure avec douceur. What was once in the ocean, shall always return to its embrace. La promesse de s’oublier, d ‘en effacer le moindre de leurs péchés. Océan salvateur et destructeur, qui donne et reprend souffle de vie. L’inconscience qui menace, à peine chassée par la douleur lancinante qui la cueille à chaque inspiration.
Paupières s’ouvrent difficilement, les mèches ébènes venant obstruer le peu de visibilité. Les phalanges s’agitent, tâtonnent les roches sans parvenir à atteindre son visage, douleur et fatigue pour frein moteur. La caboche, finit par se retourner, pour mieux accueillir vision d’horreur d’une sœur à la silhouette désarticulée. « Tina. » souffle rauque suivi d’une quinte de toux ensanglantée, à croire que la supplique pourrait rappelée l’âme de la suppliciée. « Help ! » qu’la bestiole parvient tout juste à croasser, la voix engloutie par les vagues qui ne cesse de les malmener.
en résumé:
La tempête fait rage, Raquel, prête main forte sur le pont. Tout va presque bien (non), jusqu'au moment ou le bateau s'échoue, et le choc la fait passer par-dessus bord. L'humanité, malheureusement, fait qu'elle sait toujours pas comment voler, et finit donc par se fracasser contre les rocher plus beau, à côté de tina, dont la vision du cadavre l'accueille. Elle essaie d'appeler à l'aide, mais avec plusieurs côtes cassées, et se vidant gentiment de son sang, elle a du mal à se faire entendre.
the amazing red hand (c) code -- vixen [crédit; vocivus]
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And I was raised by wild wolves In the brutal wilderness And I'll take you for a fool If you help me out of this mess
L’impact si puissant lui vole ses repères, et quand le bateau ne bouge enfin plus, se retrouve écrasée contre le bastingage. Elil se redresse, tête rugit et corps passé entre les dents du léviathan. Repère à l’envers, analyse comme elle peut la situation. Entend capitaine hurler les instructions, mais un réflexe la penche par-dessus le bois miséreux; estomac à l’envers purge traumatisme du corps. Perles gelées glissent le long de sa colonne, mains tremblantes s’accrochent comme si sa vie en dépendait et au fond, c’est sans doute le cas. Ne peut pas évaluer ses dégâts, si elle ne s’en occupe pas alors n’existe pas. Sauf que relève pupilles aussi sèches que la roche où elles ont été projetées, et vision d’horreur accueille son regard. Corps disloqués, tâchés du carmin qui les caractérisent pourtant, les mains rouges. Secondes de trop, et entend l’appel. Rapidement, repère trois sœurs propulsées, accueillies avec haine contre les épines mortelles. D’un bond, sans même chercher à prendre matériel, sans même penser qu’elle ne pourra les aider, enjambe bastingage. Condition kraken soudainement bénie, atteint en premier @seira echolei. Le réflexe est immédiat car ce n’est pas la première fois; soulève la sirène marquée du vermeil assassin et la tire rapidement jusqu’à la mer. ≪ i’ll come back in a minute, i promise ≫
and on the other side two bodies in a grisly dance one is dead and the other is howling
Glisse sur la roche jusqu’à @raquel thatch, tout pour cacher la panique qui lui enserre la gorge. Pas dans ses habitudes de céder à l’affolement mais terrible évènement rafale tout sur son passage. ≪ it’s okay love, i’m here ≫ qu’elle lui murmure, replace mèche trempée avec douceur blasphème. Et puis elle l’a vue, là, tordue dans l’horreur. Tina. L’une de leurs sœurs, arrachée si soudainement, sans que personne ne puisse l’empêcher. Nausée terrible revient lui brûler la gorge, alors attrape celle qui peut encore être sauvée; sur son dos comme elle le peut, ferme l’ouïe aux plaintes brise-cœur. come on ‘lil, save them.
@"red hand"
résumé:
soooo c la merde, elle se réveille projetée contre le bastingage du bateau donc dans la merde elle a eu de la chance. sauf que elle se lève et direct elle TW/vomi. et c en se penchant par dessus bord qu'elle voit seira, raquel et tina. elle saute du bateau (merci les krakens) et elle arrive jusqu'à seira qu'elle met dans l'eau en lui promettant qu'elle va revenir. après elle va voir raquel, essaie de la rassurer mais voit tina toute morte à côté donc hop hop hop choppe la sista et rentre au bercail.
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and we both drew blood but man, those cuts were never equal
Même si l'on ne l'adorait plus depuis des temps immémoriaux, Neptune avait tout de même tenu à rasseoir une fois de plus sa toute puissante royauté sur l'élément océan. Ondine déchaînée qui avait aspiré fier étalon comme misérable barque malmenée par simple vague plus haute que les autres. Le Red Hand vacille, ses Amazones tanguent. Sur le pont, aux abois, la capitaine du navire supplicié époumone sa ire. Tous les doigts de la mains sont appelés. Armée féminine rassemblée sur le bois détrempé voit ordres aboyés. Et alors d'un seul homme d'une seule femme, ouvrières sous les feux dirigeants de la reine mère s'étaient animées. Regards se croisent avec une autre sœur d'infortune. « We'll handle the hull! » Et se mettent en branle dans le même instant. Duo qui course les méfaits de la clepsydre.
À chaque nouvelle goutte qui s'écoule,
C'est un peu plus que les espoirs coulent.
Arrivées dans les entrailles du vaisseau malmené, prunelles ne savent plus où se poser. À chaque nouvelle zone explorée, dommages ne font qu'encore et encore se révéler. Coque de toute part par les caprices des flots tumultueux rongée. La ligne de flottaison s'était vue par les rochers acérés fortement mise en danger. Sans oublier ce trou béant qui buvait la tasse à chaque nouvelle soulevée de ce rodéo aquatique improvisé. Les eaux étaient en train d’inlassablement et dangereusement au sein de l'embarcation s'infiltrer. Cuir des chausses qui se verrait d'ailleurs sous peu imbibé par l'invitée indésirable salée. « We are in a crazy deep shit... » Que la Basheer avait lancé en vérifiant derniers désastres que sa vue pourrait croiser. Dommages importants auraient nécessité mise en carène du bel étalon blessé. Mais en haute mer, lorsqu'un navire se couche, c'est pour mieux sombrer. Alors il allait falloir improviser. Et à certains éléments renoncer. Méninges se torturent à vive allure et idée s'impose dans les esprits enfiévrés. Zhera s'adresse à nouveau à son binôme. «Caulk as best you can, I'll be back. I have an idea ! » Pas le temps de s'expliquer plus longuement. Le temps est un luxe. Et elle n'en disposaient pas à l'instant.
Remontant quatre à quatre les marches menant au pont principale, prunelles avaient balayé l'horizon troublé à la recherche de la vision d'une crinière blonde espérée. Trouvée. Se ruant sur celle qui donnait le La même au milieu de ce requiem désorganisé elle avait enchaîné. « As expected, it's a mess. The hull is gnawed like a Swiss cheese. The left flank is the area most affected. If we're to stand any chance of staying afloat, we need to refit quickly and well.But without sails, there's nothing we can do to fill the gaps between the timbers. Can we cut into it? » Question qui se doit d'être posée car seule capitaine même - et SURTOUT - en temps de crise avait son avis souverain à donner. D'un oui ou d'un non sort en serait jeté.
Fébrilement réponse était attendue
Rappel lancé de dés:
1 : échec critique La coque est dans un état critique, elle est criblée de trous béants. Les réparations de fortunes vont être éminemment compliquées à mettre en place. Il va falloir agir et vite. 2 - 3 : échec simple La coque est dans un sale état, il va être compliqué de la réparer. Surtout l'un des trous situé sur le flanc gauche du navire qui est béant. 4 - 5 : réussite simple La coque a été bien endommagée, mais les trous dans cette dernière restent de tailles « raisonnables » et sont aisément réparables. 6 : réussite critique En dépit de la violence du choc, les dommages sont moins importants qu'attendu. Les fuites d'eau restent relativement gérables.
Résumé:
Le Red Hand est en péril. Sous le commandement de Fallon les Amazones se répartissent les tâches. Si certaines se sont vu blessées (cc @Seira Echolei & @Raquel Thatch) - voir pire (rip Tina) - et doivent jouir de l'aide de certaines sœurs bien intentionnées (cc @Elil Hedersett ), Zehra choisi de partir en binôme (si une personne veut accompagner Zehra au lieu que je pnjise son binôme ce serait grave apprécié et plus marrant à jouer ) pour vérifier l'état de la coque. Coque qui s'est bien évidemment fortement vue impactée par le choc contre les rochers acérés de la vallée de la mort. Pour ne pas couler à pique, le navire doit être réparé. Cependant, la Basheer ne peut se lancer dans la découpe des voiles qui permettraient de calfeutrer les bastaings sans l'autorisation du capitaine du navire @"Fallon Lindström" . Alors elle reste suspendue aux lèvres de Fallon, attendant qu'elle lui donne le oui tant attendu.
The Red Hand [crédit; code: vixen ❙❙ icon : unknown ❙❙ quote : William Shakespeare – The Tempest]
Invité
Dernière édition par Zehra Basheer le Lun 8 Avr 2024 - 12:09, édité 3 fois
some blue darkness, farther than hell;
a landscape of absence and root and stone.
nature : hydre aux mille prunelles. créature pénétrante défouraille illusoire sagesse comme elle perçoit, à l'intérieur, bisque noire et marécages infâmes.
saisons : mortes peaux jetées à la mer, les abysses s'arrachent les maux de sa génèse, saignent les stigmates. miroite une cuirasse diaprée, un corps tendre au cor brut.
myocarde : exuvie du coeur. couleuvre ne se sustente qu'en éphémères cavalcades, ces heurts bâtards.
ire marine traînée à son paroxysme altère noblesse triomphale du pourpre, faisant alors ployer l'ébène contre paumes calcaires. étau anathème de la mer cruelle dont courroux valdingue entre les côtes, ignorant gésine sous l'armure. à chairs rompues, et râles égarés. sonorités salutaires à la confluence de précieuses ossatures, chimère hume sans pouvoir soustraire aimées de la fracture.
l'ordalie grince entre les mâchoires d'érinye, conjure ravages en tous lieux et soupirs en dérive. l'échine s'hérisse où famine s'immisce en aveux sinistres. et déjà, vipère couve l'a(né)mie, placide martiale — loyauté inaltérable. « i'll go check the cannons alone. one of you just give the healers a hand. » voile d'ombre aussitôt s'abat sur l'intraitable, troussant chemin de poudre dans dédale de bois. mimésis fatale, encore, bourrèle ouailles alcines. maquille les écailles de nouveaux tourments, espoirs accidentés contre la roche.
à la menace des eaux, sous les choeurs du désastre, nitescence flanche au martèlement de sentences colportées. « cannons on the left flank are unusable and those on the right can't be fired without damaging the ship even more. » lucarnes olympiennes percutent azurites sororales, apparaissent récits anciens de batailles éperdues. « we need to get through that rock » verdict grime palabres aseptisées, sagesse caresse vésanie comme langue sonne glas. « i can make a bomb. »
résumé:
nisha décide de partir seule pour vérifier les canons pour libérer de l'aide pour les blessées. en bas, elle remarque que les canons sur le flanc gauche sont inutilisables, ceux sur le flanc droit sont intacts, mais les utiliser ne ferait que détruire la coque davantage. en rejoignant fall sur le pont principal, elle entend le rapport de zehra qu'elle corrobore par le sien. elle propose de faire sauter la roche en créant une bombe, suggérant sans le faire qu'il faut se préparer à l'impact et à d'éventuels dommages supplémentaires...
les dés:
1 à 3 : les canons n'ont pas été atteints. 4 à 5 : les canons d'un seul flanc du navire ont été atteints. 6 : tous les canons sont endommagés.
___ déchéance catin, bois atrophié ne resplendit plus du même rouge; et sépulture en mirage, goule corsaire fait grogner la cage. organe-roi découronné s’emballe à cadence folle, que chamade l’achève en cannonade (impé)tueuse. manie furieuse l’éventre tandis que glace brûle le derme; figure porcelaine ne semble connaître aucun maux, tandis qu’elle reste sans mots.
______for those who live today, there shall be no tomorrow.______
___présages viraux, infectent caboche qui hoche sous messages et promesses de saccages. parure de gel la fait allégorie des pays septentrionaux; elle demeure en silence, se meurt sans croyances. navire en lambeaux fait chavirer le coeur qui réclame justice aux dieux par l’injure et le parjure. peste rage et visage se détourne des soeurs, fourreau de lame serré au poing; « stay put. » silhouette virevolte et ne laisse aucun autre ordre, que mâchoires à tordre pour joues à mordre. ___furie réévalue les cieux; serres attachés au mât. regard se perd dans le noir incertain d’un avenir putain. quand soudain lorgnade se fronce sur pointillés sinistres. prisme océanique dégainé, oeil d’horizon rejoint le sien; et longue-vue s’écourte sitôt danger repéré. vitesse saisit guiboles tannées, bottes se pressent jusqu’aux soeurs que rocher blesse. « EVERYONE INSIDE! » gestuelle s’empresse d’aider lionnes carminées et ignore la mort à leurs côtés. « siren get up, you’ll bathe in the blood of our ennemies instead. » et d’un dernier regard vers mortelle en proie aux promesses de l’éternel, gravité farde le respect de la face. ___ombres rougies embarquent dans le ventre du nef outragé; et au milieu de foule sororale, féline serpente pour former cercle vulgaire. « avast women! pirates are nigh, a strong hundred in various skiffs. they’ll be readying for a boarding, no doubt, and we shan't be letting it pass without a fight… but not at first. » ronde de pas cesse au centre des entrailles de bois. « conceal yourselves and maintain silence. we shall permit them to board the ship, under the illusion of its abandonment. in this confined space, we stand a chance, but if we fight in open sky, we are scuppered, for they’ll come from everywhere. that’s why we’ll lure them here and once they are upon us, unleash the attack! » active de sénestre autoritaire les femmes armées de haches et de coeur; et fierté redore les traits qui effacent la peur. « sisters! today might be the day you die but let it be a demise woven with the threads of legend! — NOW HIDE. » claque serres furieuses et rejoint barils aux flancs pour montrer chemin aux soeurs de main.
résumé:
bon BON BON MDR au début fallon est un peu vnr des retours qu'elle reçoit donc elle se tait et décide d'aller prendre l'air pour réfléchir (i know mdr) sauf qu'au loin elle croit voir des sortes de "pointillés" et en prenant sa longue-vue elle capte que des barques pirates sont en approche ((j'ai imaginé qu'ils avaient été victimes de la tempête eux aussi et qu'ils ont possiblement besoin du red hand pour rentrer chez eux, bref ils veulent le voler quoi))). de là elle donne l'ordre de rentrer et fait son petit discours en demandant à ce que tlm se cache pour qu'ils abordent et qu'ils tombent dans le piège. elles sont qu'une trentaine donc effectivement si elles fight en extérieur ils ont juste à les encercler mais ici ils ne peuvent pas arriver par centaine (vu que c'est pas super grand) donc NORMALEMENT (au moins au début en pensant que c'est désert) ils vont venir à petite foule ce qui va leur permettre PEUT ÊTRE de pouvoir s'en sortir en fightant au fur et à mesure les arrivées mdrr.
------- in the eye of the storm, and the jaw of the beast
aux agonies des semblables, se fait silence des cent diables se rapprochant de la belle à chaque gorgée d’air. suffoque dans vermeil, affronte la fin, avant d’entendre paroles qu’elle ne peut qu’adorer, dans le creux de l’oreille, le souffle d’une belle amie qui s’empresse de la plonger dans les eaux de merveilles. et si l’épreuve paraît éternelle, traînée dans marée comme tracé vers décès, finit par sentir les bienfaits du liquide, quand enfin se repose dans l’accolade de la mer. plonge alors dans état second qui écoute sans entendre, ne remarque pas encore que ses craintes sont réelles. qu’une autre est face à la mort, qu’une dernière s’est agenouillée après trop de malchance, digne d’une tragédie.
for she can only hear the whispers of the sea telling her to rest until she can finally see.
et tandis que s’échangent sang et eau de la vie, que doucement referme les ouvertures du corps, que blessures disparaissent face au temps qui s’affaire, ne remarque ni les siennes, ni les sœurs, ni les aimées, quand périple menace de se finir en bombardement ou explosion. mais dès lors que voix reine vient frapper la tempête, ne retient plus que l’ordre et la mention de l’ichor, l’œil ouvert face au danger, ne semble pas vouloir émerger. mais force le destin, sur une jambe qui s’écrie, tandis que serre les dents face à la douleur bien présente. le vice qui s’échappe sous flaques de vie, vient mordre la lèvre pour éviter de hurler. car de son manque de vigilance pourrait venir la faucheuse. et dans une tentative de remonter, en appelle à ses sœurs tandis que se retient de lâcher le râle de la souffrance.
for she can promise they will be the ones who will beg for mercy and suffer until death.
et quand le bois toise la jambe qui hurle en silence face aux ouvrages du destin, se fait digne face aux reines, les accompagne dans leur règne, sans jamais s’avouer vaincue face aux tentatives des moires maudites. pourtant sillonne de ses opales l’assemblée de vermeil. wait… was i the only one who… ? mais croise du regard celle qui n’a pas le droit au divin des sirènes, et comprend que faucheuse, si elle l’a ignorée, en a pris une autre. alors rage vient secouer ce corps qui s’affirme, tandis que se cache avec sœurs pour leurrer les pirates.
and they will witness the wrath of the reds.
quand premier groupe d’intrus ose affronter l’inconnu, porte, sous influence des ires, l’acier dans le gosier mâle qui se dévoile. d’une surprise, vient la fin, et d’une fin, le début. d’un carnage. d’une danse. dans cette cale, la furie des écarlates deviendra le tombeau des pirates.
en résumé:
yeaaaaah, on m’a dit que je pouvais lancer l’assaut MUAHAHAHAHAHAH ! hum. donc. seira mal en point lutte pour survivre jusqu’à ce que @elil hedersett la mette dans l’eau. dès lors s’engrange le processus de guérison, et elle n’entend pas ni ne voit ce qui arrive, ne sait donc pas encore que @raquel thatch et tina sont elles aussi tombées. alors qu’elle est dans un état second, elle entend néanmoins le cri de ralliement de @fallon chernobog et se fait violence pour bouger alors qu’elle n’est pas encore totalement guérie, tout en demandant de l’aide à ses sœurs pour la hisser sur le pont. là elle réalise qu’il y a eu une autre blessée et une morte, et la rage lui permet de tenir bon, tandis qu’elle se cache avec tout le monde. puis, quand messieurs les pirates pénètrent dans la cale, elle est la première à frapper. (now, let’s kill them all !)
the amazing red hand (c) code -- vixen [crédit; vocivus]
_____________________ you were the one i wanted most to say, but time could not be kept at bay. the more it goes, the more it's gone, the more it takes away.
Mauvaises nouvelles sont dégueulées comme eau mauvaise sur les flancs ébranlés du navire. Salves juxtaposées de la Jaswhinder et de la Basheer recevant silence pincée d'une capitaine éreintée avant qu'elle ne cloue sur place de deux mots claqués comme poing sur la face Silence perdure. Que rien ne bouge. Interdite, les prunelles mordorées de Zehra se tournent vers la Seconde. Paroles de celle qui est reine est faite loi. Même lorsque navire voit entrailles se déverser dans la mer démontée. Et pourtant, incompréhension se lit aisément sur les traits de la sirène qui doit lutter contre furieuse envie de rappeler cruelle évidence.
W e' r e s i n k i n g
Mais lippes mordues ne s'ouvrent pas et grande gueule reste fermée. Et là, voit la lionne à la crinière soleil s'agiter et s’époumoner à faire se presser doigts de la main dans les méandres du navire. Mais il manque âmes à l'appel. Et ce n'est qu'en cet instant cacophonie que réalisation se fait et cœur se serre à la vision de la pauvre mortelle ayant vu espérance de vie être réduite à néant. Était-elle la seule ? Elle l'espérait. Et puis l'instant présent reprend ses droits, balayant d'un revers chanceux pensées funestes des esprits de l'hybride. Si elle aurait aimé la voir en meilleur état, poids sur le cœur se voit retiré lorsque traits familiers s'esquissent dans les horizons troublés. Assassine ploie pour pêcher par dessus bord la sirène blessée. « Got you. » qui ne cache pas joie et inquiétude qui se disputent l'avantage au sein des tripes nouées de la Basheer. « Lean on me. » Ne cherchait réponse, juste action répondant à la demande -presque ordre- qu'elle avait faite. Seira était blessée et jambes encore ensanglantée ne demandait qu'à être soulagée avant nouvel assaut à charger.
Profondeurs désormais humides de l'étalon mal en point rejointes, hallali nouveau se voit sonné. Malheur n'arrivant jamais seul, pirates égarés dans même tempête avaient vu Red Hand comme marin verrait terre promise. Malheur des uns faisant le bonheur des autres. Et si dans d'autres circonstances pourrait simplement dire c'est la vie, aucune des Amazones ici présentes ne comptait lâcher butin sans avoir montré une dernière fois les crocs. Plan est annoncé alors que discours galvanisant vient à s'achever. Ne restait plus qu'à obéir et à se mettre en place pour les têtes ployées. Dissimulées à la faveur des barils au bois gonflé, souffles se retiennent lorsque voient s'avancer dans la pénombre premières âmes imprudentes jusque dans la gueule béante des louves courroucées.
Echolei fait couler premier sang.
En faisant un de moins sur les cent.
Dos se cale contre celui de l'autre pour offrir appui salvateur. Avantage du maître qui a apprit par cœur imperfections de la lame qu'il a formé, suit sans trop de mal curieuse danse imposée. Faites étrange créature aux échines collées, duo de vengeresses s'est improvisé. Rapière fend l'air et cueille de son plat estoc qui était destiné au flanc tendre de la blessée. « Don't dare to touch her, filthy pig. » Que gronde la Basheer tandis que pointe s'enfonce dans la poitrine exposée de celui sous l'égide d'une mauvaise planète était né. Carmin fleurit sur l'étole au blanc passé et voilà que silhouette exsangue s'étale avec la première à leurs pieds. Mais victoire n'a pas sonné, deux batailles avaient été seulement remportées. Deux sur combien d'autres ? Ça elles ne le sauraient qu'après en avoir terminé ou après avoir trépassé. Et si dernier jour avait effectivement sonné, restait encore suspens de savoir qui serait à le signer...
K i l l o r b e k i l l e d
Résumé:
Comme un malheur n'arrive jamais seul, des pirates décident de venir se joindre à la fête après tout plus on est de fous plus on rit. Idée se fait dans l'esprit de notre cher capitaine @Fallon Chernobog qui ordonne aux Reds de rejoindre les entrailles du navire. C'est à ce moment là que Zehra voit @Seira Echolei et lui porte assistance pour remonter à bord. La voyant blessée, elle lui propose de s'appuyer contre elle pour rejoindre les autres Reds. Là nouveaux ordres sont donnés aux filles. Si les pirates sont en surnombre par rapport aux Reds (après on est sur du 2.9 pirates par Red si on retire Tina, ça vaaaaa les calculs ne nous accablent pas autant que les dés mdrr), l'effet de surprise pourrait bien les aider à prendre l'avantage et survivre. Dissimulées derrière les barils, elles attendent leur heure et voilà que le premier sale pirate entré qu'il se fait poignarder à la gorge par mise Echolei. Zehra suit, et il ne manquera plus que les autres en fasse de même.
The Red Hand [crédit; code: vixen ❙❙ icon : unknown ❙❙ quote : William Shakespeare – The Tempest]
Invité
Dernière édition par Zehra Basheer le Lun 8 Avr 2024 - 12:43, édité 1 fois
nature : (Humanité décriée). La mal-née, poisse séculaire l’embrassant à peine les premiers cris soufflés. Fille de l’océan à la carne trop fragile, trop douce.
saisons : Les (vingt-sept années) profilées qui ne marquent pas encore les traits. La jeunesse qui s’étire et nargue l’assemblée, pied de nez remarquable envers l’éphémère.
myocarde : myocarde passé en sourdine, solitude vénérée (love is a curse, don’t you know ? ).
besogne : (Red hands, Blizzard) nouvellement ordonnée, mercenaire chargée des délits ne méritant pas sentence funeste.
Visage se crispe sous la douleur alors que sa carcasse est haussée sur le dos de sa sauveuse (@elil hedersett ). « Thanks Elil. » qu’elle a tout juste la force de souffler. Canines s’enfoncent dans ses joues pour étouffer la plainte sourde qui menace de s’échapper au moindre mouvement trop brusque. Simple humaine, que lui rappelle sa cervelle. La peau trop tendre, l’incapacité de guérir aussi vite que certaines de ses soeurs. Poisse séculaire de la mortelle qui se montre plus collante et vindicative qu’une amante obsessionnelle éconduite. Et Malchance donne et redonne, encore et toujours, de cette générosité frôlant le morbide. Les force à se cacher sous un assaut imminent, pirates aussi stupides que cupides commençant déjà l’abordage. « Everyone knows our colors, are they that stupid to think that we would give up our ship without fighting ? » Question rhétorique, pas besoin de réponse quand la cupidité passait avant l’utilisation de la cervelle de certains. Inconscience délétère dont ils ne tarderaient pas à éprouver la sévérité. Les géhennes surveillent l’entrée, silhouette cachée dans un recoin sombre. Dextres se referment sur les manches de ses lames, sait qu’elle ne pourra malheureusement pas se lancer dans la mêlée, les blessures trop contraignantes pour qu’elle ne puisse pencher la balance en leur faveur. Bestiole reste tapie dans l’ombre, laisse la rage réchauffer ses entrailles et prendre le pas sur la souffrance.
Les sœurs écarlates commencent la danse mortelle et la Thatch attend, immobile. Silencieuse. Jusqu’au faux pas d’un nouvel ennemi qui se dévoile. Première lame prend son envol et s’enfonce dans la chaire tendre, transperce la carotide pour mieux se heurter contre les cervicales. Lippes découvrent les crocs en un sourire perfide. Instinct de violence éveillé chez la mercenaire enragée. Si elle devait tomber au combat, elle emmènerait l’âme de quelques ennemis dans son sillage. Une promesse et offrande. Un dernier doigt d’honneur adressé au destin, pour peu qu’il la force à tirer sa révérence. La brune pourtant, n’attend pas de se faire repérer, se faufile à nouveau dans les ombres pour trouver une autre proie à prendre en revers, avançant avec une lenteur calculée pour ne pas trop bousculer ses cotes fracturées.
en résumé:
Raq remercie Elil alors qu'elle se fait hisser sur le pont, et peste intérieurement contre sa poisse qui semble vouloir la suivre jusqu'au bout du monde. Elle ne peut s'empêcher de traiter les pirates d'abrutis pour les aborder de manière aussi cavalière avant de se cacher avec les autres. Evidemment, avec ses blessures, elle se retrouve incapable de foncer tête baisser dans la bataille. Sa solution consiste en des attaques ciblées, au lancer de couteau, et en restant dans l'ombre le plus possible et en essayant de contourner les ennemis pour pouvoir en prendre quelques uns à revers.
the amazing red hand (c) code -- vixen [crédit; vocivus]
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And I was raised by wild wolves In the brutal wilderness And I'll take you for a fool If you help me out of this mess