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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
------- break, break, break, On thy cold gray stones, ô sea! @HEILUNG
bleues nuits couvent lutte sans fin; char ébène hurle ses feux contre créatures du fond sans voir les aubes. et bellicistes font ventre faim de leur hargne alors qu'ils sont dévorés un par un. mais quand jupiter fait caprice d'ennui, v'là que cieux les renversent contre rochers. dans la hâte du dernier souffle, ainsi mourants font dernier lever de boucliers pour donner aux déités, leur funeste satiété.
___houle sauvage se gorge d'écume comme stigmates sur derme cognée. pavillon s'étire sur son aile, avale trombes à la faveur d'un océan chahuteur. et de son antre béant, se gerbe corps flottants; souillure carmine fait de la grève, vile chair coralline. par delà, chaos gonfle voiles déchirées quand milles guerriers se hurlent ou s'agitent, se gisent ou s'agrippent. l'on trébuche, l'on s'enquit; frêne éclaté éparpille ses échardes sur les milles grains; vagues aux âmes ramènent ainsi babioles de rouille ou carcasses noyées. embrun de fer, trempe ainsi pommettes saillies de rouge; embrun de sel, javellise ceux qu'embrassent désormais sable comme belle épouse.
___et dans ce marasme cantonné par belle cacophonie, bleuets s'entrouvrent pour quérir souffle funeste. l'éveil le fait geindre avant la conscience; car cisaille déchire le flanc en strie de chair. sous cuirasse ébène, géhenne se fait folie furieuse. il est corps mouvant, méninges catalytiques l'en fait corps mourant. rauque retentit en plainte animale, quand la levée chahute plaie béante. l'échine droite, mirettes rouges s'adorent au spectacle en scène; l'arche couché pleure encore sa risée en milles grincements. houle sur terre fait craindre les pertes; bleuets s'agitent ainsi, roulent dans l'orbite à la recherche des frater. alors, guibolles l'en font errant; dunes jonchées de morts, pour ceux dont l'agonie se plait en silence. c'est qu'il en bouscule milles encore sur jambes, rugit invectives dans bourrasques sans air alors qu'il se jette à la gamelle du pauvre. — "bring back the breathing ones on the shore, lets the ocean take the others! we will -- port levé contre l'étendue saphir fait halte aux phonèmes, étrille le palpitant; car créatures grondent en houle. ô viles gargouilles chevauchent les lieues, le putride de leurs gueules souillant galop de leurs vagues.
___et vision d'horreur fragmente pupilles; sur leur sillon, milles marins s'affairent encore. milles frater s'échinent toujours. latence se saisit de quelques secondes, en écho d'un sort morbide. ___quand soudain, poumons exultent en cor funeste. ___— "run! RUN!" astres se soulèvent, se fracassent comme fin d'une ère. puis soudain, délaissant le secouru, carcasse enjambe les flottants, se saisit d'un glaive pour se jeter au devant. car désormais, animal galope jusque dans les flots pour se faire bouclier, ce ô kamikaze guerrier. ___— "RUN OR DIE AS WARRIORS!" monstres affamés, en horde picorent les derniers nés. glaive levé fait parade; ce sont milles éclaboussures, d'ivoire ou de sang. plancher qu'ils ravagent ainsi, de leurs bottes immergées alors qu'océan les entraîne sous son manteau. lame quant à elle chante, belle comme été au lever. faciès se couve ainsi de bile, mêle son ichor au seul océan. alors qu'il sait trépas pendu au menton, animal fait taire fractures et cisailles pour distraire déités au balcon. quand sur les flancs, il reconnaît faciès salvateur, il hurle l'ire sauvage et s'enquit du frère luttant à ses côtés. ils sont pantins furieux, pantins fabuleux.
résumé:
alors que le black veil grince encore d'infortune contre sable chaud, salazar se réveille non sans gémir de douleur. blessé, la conscience l'éveille pour se rendre compte du chaos ambiant. les corps jonchés sont ramenés par l'océan alors que les blessés se ruent sur les agonisants et autres babioles pour les ramener vers la plage; d'autres encore cherchent leur souffle et dernières onces de force après maintes nuits de lutte. et alors qu'il aide un blessé, salazar se rend compte que les sirènes n'en ont pas fini avec eux.. et galopent jusqu'aux hommes encore dans les eaux pour finir leur festin. face à l'état général des troupes, il hurle ainsi la retraite tout en se jetant au devant pour soutenir ceux pour lesquels le karma prend peu de pitié.
(c) code -- vixen ft. black veil
Salazar Howler
Dernière édition par Salazar Howler le Dim 21 Jan 2024 - 23:30, édité 2 fois
climbed down to hell on the devil's tree,
i clutched a branch of soot and flame.
nature : fiel putride de l'animal satané, kraken qui sustente veinules au cruor asséché de la carne bâtarde.
saisons : houles éructent le trente-huitième trépas, quand tant d'autres dépouilles forment amas aux tréfonds.
myocarde : rétines sur la chair des ondines impures; estompent ces noces leurrées.
besogne : l'infant du chaos forgé aux barbares ardeurs. ravages sur vaisseau-terreur, black veil oscille enfin aux paumes des rustres écumeurs; se fait alter du frater.
émeutes contre flots barbares, tissent linceul des faux braves. car en ces eaux déchainées, s'abat le courroux sur damnés; les houles avalent vaisseau-terreur, pour en punir, ces autres et leur mépris. ainsi horde sauvage n'est plus face aux remous acharnés du démiurge-châtieur.
l'écume recrache ossements contre couche-limon; et l'autre n'est ainsi plus qu'animal ulcéré aux lésions vermeilles, sous le sel qui dévore carne en chair atrophiée, ronge plaies gâteuses jusqu'à balafre suintante qui pare trogne. les traits se contorsionnent doloris, quand siffle maladive la brise-augure aux esgourdes du forban, puisque après leur lutte contre torrents impétueux, les tréfonds se font gueules béantes, et éructent ces naïades voraces en châtiment ultime. trouble-vision, les confrères deviennent silhouettes tourmentées en ce ballet-horreur, et lorsqu'enfin carcasse remue, le gosier gronde la peine lancinante. l'un des corps le heurte, l'un de ces troupiers robustes que marée aura achevé, la poigne saisie alors cuirasse et semble haler malheureux vers rivage. quand soudain, échos hurleurs laissent résonner l'appel du frater. et se désarticule le désossé qui se dresse face aux mers; le rictus âcre qui barre la face, "holy shit.." riposte devant peinture sanglante, océan devenu caveau aux cent cauchemars. et parmi eux, la menace rugissant sous les eaux noires, elle enseveli leurs restes et plus encore; puisque ceux à l'agonie sont désormais festins idéals des chimères monstrueuses. alors, lui lorgne l'alter, et se fait sale preux en cette mêlée folle. et par-dessus l'éclanche, "GUYS, find a way to make a FUCKIN' FIRE. – tonight, it's a mermaids grills." insolence en syllabes gueulardes aux badauds encore debout. lui rêve d'un carnage sans foi, depuis l'espoir devenu trépas. car désormais, belliqueux se dressent là, défiant les faméliques redoutables, ricanent presque devant faucheuse, quand la fin s'hurle orageuse.
l'œillade furète véloce les siens parmi les dépouilles ondoyantes, quand alors, créatures se jettent sur certaines d'elles. et là, flotte carne prise d'assaut non loin, qu'il s'imagine discerner, d'un presque-mirage qui s'étale sous paupières comme étant l'enfant-reflet. aussitôt, sous élans fêlés, écumeur se fait guerrier funeste, quand le fer transperce derme visqueux; empale l'une d'elle qui déclenche cet aboi criard de mille sinistres, la chasse du cadavre, et la face ainsi dévoilée, révèle alors celui qui git là tel pauvre mortel au blase déjà oublié.
[ black veil ]
résumé:
HERE WE GO, il fini échoué et blessé sur la plage comme tant d'autres, puis quand il entend l'appel de sal, se dresse à ses côtés et fini par constater l'horreur qui se dessine là devant eux. ALORS, take action, il demande à ce que quelqu'un trouve le moyen de faire un feu pour au moins tenter d'en tuer certaines. finalement, il check parmi les dépouilles si l'un des siens s'y trouve, crois reconnaitre abel pris d'assaut par la sirène la plus proche, donc l'embroche pour l'éloigner (la sirène, pas abel) (quoique..), puis capte qu'il s'agit juste d'un matelot..
nature : croule sous l'océan l'espèce tonitruante de cruauté malfamée, il est le kraken tentaculaire de férocité.
saisons : fourmille par ses quarante et une année d’apparence frelatée par près de soixante-cinq messes récitées aux spectres des aînés et aux esprits des mers vénérées.
besogne : veilleur rusé, moray eel du black veil, scrutant l'horizon de ces pupilles démesurées. possède aussi le rôle d'augure des malfamés, présageant victoires à emporter ou débâcles à éluder.
Débâcle macabre. Curieuse accalmie dans le silence tonitruant au creux sanglant du gouffre océanique. Bataille noyée en tympan éclaté face à l’adversaire affamé. Souffle en bourrasque relâché, cri muet sous l’eau homogène de la sève des mortels. Vagues renégates dégueulant victimes de l’assaut barbare. Augure apparaît alors, brisant l’eau vermeil, nouveau-mort ressuscité. Convulsion de l’éveil en s’étouffant d’oxygène. Empêtré par la clameur de l’horreur des survivants déchus en hurlements funèbres. Essoufflé pour sa survie, autour de lui, cadavre flottant et compagnons d’infortune affrontant les lourdes vagues pour atteindre rivage salvateur. Douleur tonitruante au corps remué. Puis la prise dans les tréfonds. Strige malsaine voulant entraîner bleusaille estropié. Attrape harpon flottant dégradée qu’il plante au dos du monstre vorace. Horreur s’en retournant vers lui, s’égosillant de folie destructrice. Répond en rage gueulante d’ignominie, lame sortie de sa ceinture noyée dont il fend la gorge en fine lame supplantée, suffisamment pour faire fuir infamie de ses cordes vocales anémiées. Novice qu’il attrape par frêles épaules avachies, pour réalisation de l’âme envolée par ses yeux hagard d’atrocité. « From the sea we came… Encre empêchée dans ce fatras ensanglanté. Souche vermeil en support matériel comme encensoir ardent. Trace runes du passage pour l’autre monde au front des trépassés croisés, rejoins tes ancêtres ô valeureux guerrier. … from the sea we shall return. » laisse carcasse retourner à son dû en invocation silencieuse pour accompagner l’âme éperdue, à en oublier ses propres meurtrissures taisant leur douleur dans son poitrail vrombissant d’amertume.
Basse vociférant du Howler au creux de ses tympans ravagés. warriors résonne comme un appel à la mort dans ce chaos sanglant. L'augure flottant, décombre parmi la ruine où d'un regard, navire gisant en monument flétri, déclin du géant sinistre impuissant devant son équipage meurtri. Fureur délirante l'emporte, mâchoire serrée crachotant l'eau cuivrée, s'époumonant le poing serré sur la poignée de sa lame rutilante sous les vagues saignantes. « It’s not the day that I DIE ! » Mugissement possédé, fureur de survivre en ces eaux cauchemardesques de tragédie funeste. Nage jusqu'à un camarade kraken agonisant sur le chemin soulevé en accolant son bras autour de ses épaules remarqués par son poids, mordante de lacération flamboyante. Rivage providentiel apparaissant flamboyant lorsqu’il a enfin pied. Les corps valsent dans une danse macabre, la plage cramoisie en théâtre sanguinolent les accueillant en épilogue de leur combat empourpré de conflits sinistres. Fait échouer compagnon agonisant, tandis qu'il s'époumone à cracher poumons d'eau grenat putride. Constat des lieux ravagé. Pupilles dilatées du champ de bataille encrassé et ensablé des survivants s'affairant autour des mourants. "GUYS, find a way to make a FUCKIN' FIRE. [...]" Attention détournée, si cœur est touché, comprendra menace des êtres terrestres. Mais exploit de la tâche, bois trempé mettra une éternité à flamber. « Fire... How do you make fire when everything is drowned ? » Rôle des canonniers apparaît en révélation spontanée. Géant kraken titubant, jambes lourdes de sa nage fulgurante. S'écroule auprès des agonisants dont il ne peut qu'être le témoin impuissant de leur souffrance dégradante. « We need powder. » Murmure presque pensée chuchotée, moucherons abstrus s'accumulent à sa vision tangible du choc encaissé. Se remémore prédictions de la veille menaçant événement cyclopéen dont il fut incapable de déterminer sa source sibylline. Remords indicible accentuant la douleur de l'agonie.
résumé:
haleth se réveille sous l’eau à moitié noyé, il remonte à la surface pour constater qu’autour de lui ça gueule et ça hurle et c’est la merde. pas loin devant lui y’a un jeune bleu qui se fait bouffer par une sirène, haleth attrape à un bout de harpon qui flotte pas loin, le plante de le dos, la sirène se retourne et change de miam, mais il sort sa lame et lui tranche la gorge, ça la tue pas mais elle pourra pas plus manger today ptdr sauf que la pauvre bleusaille est morte, il lui rend un dernier hommage mais franchement il a les boules. en entendant salazar, ça le réveille un peu, il chope un camarade blessé en chemin, en le soulevant il remarque que mdr il a une épaule tailladée des griffes des sirènes, gé.nial. il atteint le rivage en crachotant du sang. approuve la demande de redd mais wsh tout est mouillé c cho. il s’écroule sur la plage, il est mort (non) (presque).
the black veil [crédit; icon (c) prima luce]
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and so it has come to pass. the future foretold. the dark raven, the eagle, and the wolf have laid bare the bones of corpses.
-------- i am pandora open me up and discover the end
éhonté duvet marin s'éprend des vestiges abandonnés au grès de ses agitations. tandis que grondent, tempétueuses et anarchiques, sommations de corps pétris sous sa calamité perfide. le long des sableuses, carmin s'attache aux mousses, claque contre gosiers haletants. s'embourbe aux panses des laissés pour trépas. et soldat des mers, genoux noyés dans la tripaille, se frotte frénétiquement les poignes pour en faire disparaitre l'air. crache superflus rougeâtre en hymne à la guerre.
distillerie des songes résonne dans l'après chaos quand autour de lui s'épouvantent, de nouveau, flots. alors, reste spectral du maudit d'autrefois perçoit lugubre dans la nocturne. carcasse s'efforce un instant de trop, saisit en retard l'épanchée posthume. et cris rugissent en concordance. déraisonne chair supplique entre crocs, fendue et mastiquée à même l'ossement. les silhouettes se confondent dans la mélasse; celles aux aboies dispensent tombés-victuailles aux ombres informes, affamées et hérétiques, dans l'espoir d'échapper au courroux fébrile. faucheuse s'invite farceuse. et plaintifs font révérence, le bec déformé par la désormais indolence. "GUYS, find a way to make a FUCKIN' FIRE. – " brame voix du semblable parmi les tranchées. et piquée par l'instinct, œillade sévit en surface à reconnaitre ce qu'intempestives ont brimé sur leur sillage. déjà, houle s'étire au loin, permissive et appliquée. généreuse presque lorsque barrique naufragée s'estompe d'un sourire avisé. "fuck me." plonge abdiqué dans la tourmente. autour, gabarits s'affolent à déserter les eaux, blessés sous le coude et armes en poigne, tandis qu'inspiré s'isole dans sa traversée. jusqu'à marche sans fond, grippe l'entraine dans les basfonds. bronches s'insurgent dans la mouvance, cherchent réconfort à la privation. mais poisseuse se complait dans son infinie connivence. perturbe courant contraire pour l'entrainer à ses faims. et fantassin dérive non sans s'insurger. car dans les eaux noires et glacées, cannes battent en cadence et forgent défense aveugle contre l'épris gourmand. puis délivrance a pitié du martyr. et gracieuse bouffée s'expectore grassement, le regard sabordé par l'acide maritime. pressée, pogne tâtonne déjà sur les flots et s'empare du romarin.
perceptible entre les vagues, monstrueuse guette. fluette parmi les débris, elle accorde ses étreintes et s'apprête à sévir. mais providence s'attarde à l'héroïque plaisir. sortie des enfers, francisque fend la bête. et en hommage à l'ancienne bataille, perdue des nuits de cela, guerrier se saisit du manche et l'assène dans l'orbite de la plaignante. "not this time, you bitch!" ironise pensée obscure, tournée vers d'autres sévices. baril au flanc, hybride s'extirpe de la masse cheminée esclave. respiration troublée par l'effort promulgué. jambe s'érige témoin de l'interlude avec monstruosité, ses desseins gravés dans la chair emoussée.
résumé:
jesse s'empresse de rejoindre le rivage, alors jonché de corps et coloré carmin, quand les sirènes attaquent de plus bel. les rescapés des eaux se pressent à la survie, les uns par la fuite, les autres par le combat. tandis que carcasses des précédents tombés font l'appétit des créatures. il discerne l'instruction de redd dans le brouahah et à l'instinct de regarder les débris encore en mer ; un tonneau de poudre flotte à quelques mètres. il plonge et se fait entrainer sous l'eau par une sirène. par chance (ouais flemme du remake), il arrive à remonter à la surface et se saisit du tonneau. dans sa fuite, la sirène revient à la charge mais est arrêtée par hachette sortie de nulle part (mais lancée par un compagnon on imagine hein). jesse s'en saisit pour trancher à son tour dans le vif. il retourne finalement sur la plage avec son dû, la jambe boiteuse.
[ black veil ] (icon @strangehell)
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i feel it deep within, it's just beneath the skin. i must confess that i feel like a monster.
douleur ou sel dans les sinus, ne sait pas ce qui le réveille en premier; mais l’esprit bien conscient quand aperçoit l’horrible visage déformé par la faim. pas même le temps de comprendre où ils ont atterri qu’il doit défendre sa propre vie. bête immonde l’écrase, sent griffes purulentes dans la chair de ses côtes. maintient la tête à distance quand il tâtonne le sable mouillé. remercie le ciel ou bien les dieux ou bien les putes; remercie tout ça en même temps quand met la main sur bénédiction divine. hache sépare l’animal-rage, assez pour que piranha s’extirpe. l’impression de porter le monde quand se redresse; le corps alourdi par la blessure, sent qu’il n’en est pas sorti indemne. rapide coup d'œil. fuck. sang tâche le tissu détrempé, mais pas le temps de s’en préoccuper. embrasse d’un regard leur arrêt improvisé, plage noyée par les matelots de misère, à la recherche du géniteur disparu. pas le temps de le trouver quand monstre entre dans son périmètre. cette fois ce n’est pas le gamin visé, mais l’oncle préféré en facheuse posture. alors sans attendre, lève l’arme et avec élan, hache atterrit dans la poigne désirée. sirène fait pas long feu, au grand soulagement de l’aîné.
pas difficile de rater la blessure qui déchire la jambe aïeule, relais de la poudre dont il le soulage; la sienne attendra encore un peu. ≪ you’ve done enough, old man ≫ s’attend à la taloche méritée, mais le coeur n’est pas à la réprimande, voit bien que les blessures sont trop importantes ≪ i’m serious, unc. i’ll take care of it ≫ tonneau dans les bras, remonte la crique pour mettre à l’abri leur salut. une fois la distance avec cauchemar assurée, laisse tomber la poudre à ses pieds, respiration hachée d’un effort qu’il n’aurait pas dû assurer. fait glisser le couvercle, s’apprête à prendre une poignée de l’explosif salvateur quand se rend compte de quelque chose; ≪ how— how do i make a fucking fire? ≫
se retourne aussitôt, aide précieuse qui ne vient pas parce qu’ils ont bien mieux à faire que de l’aider à faire un feu; sauver leur vie par exemple. c’est bien le problème, parce qu’il la voit arriver, celle qui lui avait déjà pris un parent. terrible, affamée créature, vient de le voir dressé sur la plage, l'œil ailleurs que sur la menace. faut bien l’avouer, abel ne réfléchit pas. quand balance le tonneau ouvert sur la sirène pour protéger l’pater, y’a rien qui lui traverse l’esprit. but you can’t blame the child, trying to save his last memory
@"black veil"
résumé:
bon quand il se réveille, y'a une sirène qui essaie de le gober, elle est bien accrochée la gargouille et grace à dieu il trouve une hache à côté pour lui trancher la tête. ouf, mais il est blessé enfin ça compte plus quand il voit jesse dans la merde et c'est lui le lanceur mystère de hache. bref il prend la poudre pour aider papi jesse et en ft il sait pas comment allumer un feu avec jsute de la poudre?? sauf qu'au moment de demander de l'aide il voit son daron chéri se faire attaquer par une sirène et...
les dés mystères....:
1-2 : rien du tout, la poudre est perdue et redd est attaqué. 3-4 : le baril a détourné l'attention de la sirène qui ne prend plus redd pour cible. le tonneau étant ouvert, la poudre est perdue. 5-6 : miraculeusement, la créature explose au contact de la poudre. redd is sAFE
o t h a n, the seas be ours and by the powers where we will, we'll roam
❝ c'est un violent naufrage que le corps saccage.
capharnaüm d'os et de bois; dernières chroniques en échos d'un chaos de matières, bâtiment n'était plus que planches charriées par les flots, traînées par les affamées. abysses grondent à la pitance, exhortées par les râles funèbres des quidam aux trachées violées où s'immiscent iode et engeances. les corps tombent, les chairs pleuvent —et les nemesis encore s'abreuvent. affreuses fabuleuses s'adonnent festin tandis que crèvent les dévorés que le ressac crache au rivage. alors l'ultime devient substance lorsque s'abattent tentacles au gouvernail pour faire dévorer à la proue la salvation d'un banc de sable.
c a r n a g e
et ce sont hourvaris guerriers qui extirpent l'âme mais ne ramènent exuvie que la sylve avale à demi. bouffé jusqu'à la clavicule, l'autre sain s'ancre aux débris pour tenter arrachis dont ne résonne que la douleur des os brisés. s'essouffle le meurtri pris au piège alors les globes enfin se dérobent à l'appendice perdu pour contempler désolation; ciel et mer se mêlent avec violence dans un tabac de fer si bien que disparaît horizon, et gueulent en bas les bougres de survivance. ne se comptent les échines macchab qui ornent la houle quand lézardent autour leurs bourreaux d'écailles dont la furie ne cesse tant la vie persiste à terre. et seulement parviennent aux naseaux fragrances d'huile puisque timbre frater hurle d'un vacuum lointain que les enfers ne sont plus loin.
sillonnent chasseresses dans un bain de chrême qui semble maintenant châtiment; barbotent pécheresses dans une lie de ciment. le cloué d'échardes lance alors oeillade pressée qui dégringole dans le déluge de cruor et se débat en son centre, « roslow boy! ». colosse réplique et se croisent fatum, estropié se saisit du pandore qu'il envoie côtoyer les embruns alors qu'il hurle « make them burn! ».
résumé:
sade voit l'équipage se faire décimer peu à peu et surtout, perdre l'avantage en pleine mer; il décide donc, dans la précipitation certes, de faire volontairement naufrage pour rejoindre la terre au plus vite et gagner un peu de temps. dans le choc du naufrage, il se retrouve coincé dans les débris du gouvernail et a très probablement un bras broyé. il entend redd hurler de faire un feu et au même moment, il se rend compte que les tonneaux d'huile se répandent dans les flots et que ça ferait un spectacle vachement badass sauf que......... il peut pas bouger. il repère donc baer qui barbote avec les sirènes non loin de là et attire son attention pour lui faire son plus beau lancer de briquet en espérant qu'il capte l'idée (il ne peut que la capter, ils sont du même sang ok). mais du coup, il est toujours coincé, et donc à la merci de n'importe quelle créature avec de mauvaises intentions. well.
monstre au milieu des monstres s’ébat et s’élance. puisqu’il faut périr, noyons les danses ; puisqu’il faut en rire, chantons l’errance. hurlements barbares éructent de la gorge magnifiée par le cruor des frères tombés ; l’enfant meurtrier se bat, ébaubi encore de la couleur de ses morts. heures s’égrènent comme épopées maudites ; violentes et nébuleuses dans leurs quêtes interdites. en valses étrangères, les carnes virevoltent et laissent aux fabuleuses dans leurs révoltes un cadavre à saisir.
clameur, cent peurs, bas heurts,
puisque guerrier sans dignité s’aliène de faiblesse limitée. au loin, les silhouettes s’ébrouent en funambules ridicules alors que pauvre bougre s’est laissé entraîner aux milieux des eaux fourbes. canines se mêlent aux lames ; prunelles en foi infâme pour capturer la monstruosité qui se présente à ses côtes brisées. les forces caressent en un dernier baiser les muscles congestionnés dans l’effort ultime du fou-à-lier, chassant en une pauvre bravade les abysses qui l’espèrent. à quelques mètres luit la fin terrible ; au cœur du vide, la douleur arachnide.
silence, sans chance, s’y lance
mais aboi résonne en mirage alors que mer amère réclame son héritage ; vers le rivage personne n’appelle mais sur le navire, spectre interpelle. « make them burn » en ordre héréditaire, résonne étrangement aux confins des chairs. grognements hydrocutions témoignent de l’effort ultime lorsque poigne vindicative se tend vers dorée toison ; se tend vers miraculeuse guérison ; se tend vers la fin des monstrueuses exhalaisons. au bout des doigts calleux, du cœur envieux, du corps souffreteux e n f i n s’enfante l’exubérante.
et sous l’apocalypse brûlante disparaît l’enfant déshérité joliment embrassé par la flamme et l’eau démentes.
[crédit; ...]
Spoiler:
aloooors baer tombe à l'eau comme une grosse merde et ne peut pas atteindre le rivage parce qu'il s'épuise à rester en vie malgré les attaques des sirènes. il sait qu'il va pas faire long feu, il est au bord de la mort quand il entend l'appel de tonton Sade et attrape le briquet lancé. il fout le feu avant de plonger au fond de l'eau, épuisé et piégé par les flammes. C'EST UNE FIN DE TOURNAGE !!!!
------- break, break, break, On thy cold gray stones, ô sea! @HEILUNG
virent folles, les bêtes d'eau; sang dans la baille, enfante mousse carmine pour saler les chairs. un instant, vile caresse de chronos, l'en fait contempler l'abîme sans cinétique: ainsi, mer gobe et dégueule, quand fléau recrache os et boyaux. belluaires font le salut de fin, en souffles rares; car poumons pataugent. entrailles rincées font taire les hurlées, engloutissent les râles. et les autres crèvent en inconnus. ô arlequins, aux breloques bruyantes! c'est que panthéon fait pleurs de rires quand vaines tentatives deviennent vile ridicule. ainsi, l'ire consume blanches iris, quand soldat [@abel howler] trébuche pour faire périr les dernières âmes.
dans les fonds, corps s'endorment. contre fange, corps se taisent.
glaive s'émousse ainsi, à la faveur d'un souffle haletant. plaie fait bouche béante, javellisée par la bile océane. alors, bête se range contre rive. ô fuyard, fait échine ronde pour regagner grève désertée. mais soudain, folles bleuets s'estompent dans la vague, sans garde montée; car terreur s'enorgueillit soudain, comme comédie de fin. frater broyé [@sade howler] pour fils disparu [@baer roslow], il semble qu'épopée n'en finisse de cracher ses vérités. alors, dans l'élan suicide, le vivant-mort plonge sous chape rubis.
flambent les flots, à faire feuler l'océan. flambent les eaux, pour faire expier les derniers survivants.
dans l'ombre froid, le carnage devient poète. car sans bruits, âmes se débattent et frayeur n'est que masques de cire. col agrippé fait traîne difficile de sa carcasse de plomb. sous le saphir bouillant, ils font une dernière valse. poumons de glace fondent quand paluches s'écorchent contre galets. faisant don de ses dernières prières, bête traîne l'inconscient pour se quérir sur la grève. car v'là qu'enfin, ils surgissent, comme montures poséidoniennes. ruissèlent sur derme fendue, milles larmes; s'égouttent sur derme brûlé, le vile sel. ils s'écrasent ainsi, contre le sable gris. souffles rauques retentissent par dessus les furieuses maudites. palme se colle précipitamment contre flanc ouvert alors qu'il n'a d'yeux que pour le fils échoué. serres s'accolent contre la jugulaire; pompe faible ravit pourtant misérable pater. mirettes inspectent encore l'écorché sans mots parlés; car il geint de ses affres ouverts, d'une ire lamentable. finalement, palme se dresse contre front de fièvre; baptême rouge, il dépose ainsi sacre par le cruor sous les yeux des cieux, gueule arrachée.
charpente tremble, bientôt désuète de vie. finalement, bleuets se relèvent pour quêter la menace défaite; la houle de feu forme l'horizon de sirènes fuyardes. alors, sur rotules, manant cherche l'équilibre; en vain. faciès pourtant lavé, arbore cruor écaillé. — "haleth! help me drag him out of here. we need to --" plainte sourde interrompt le feule de ses phonèmes; car l'animal se fait misérable. sous cuir abîmé, il est cadavre de vie. — "where are they? redd! jesse!" l'apostrophe tonne au milieu des ruées d'hommes quand les mirettes s'accrochent au neveu défait [@abel howler]. — "go find your father and help anyone you can.. -- rauque s'écaille, en sombre rasade. charpente dressée, s'accroche soudain à l'enfant. car l'étreinte étouffe, rude comme fou tenant à la psychose. azurites flanqués dans celle du matelot, palabres sonnent comme ursidé furibond. and try not to kill others in your way down, this time. we'll deal you later." gronde, comme houle orageuse; gronde, comme bête furieuse. l'étreinte se relâche, alors qu'il le chahute pour le mener à l'élan.
un instant, l'œillade foule le carnage; l'éther, poisseux de putride, ronge les derniers poumons secs. chambranle nauséeuse, pourtant fresque merveilleuse: car ils sont âmes sur les rives du styx, souillés de carnations morbides. museau tiré, les babines grogne sans bruits alors que, avachi par les affres, alpha geint au lucide [@haleth myhr] l'ire lasse. — "may the gods will laugh about those who survived with those who died." souffle laissé en confidence acerbe, comme acide assassin au cruel sort.
(c) code -- vixen ft. black veil
résumé:
ok, c'est un peu la fin pour beaucoup. la lutte contre les sirènes est évidemment à perte; salazar bat donc retraite tant bien que mal. il comprend qu'abel a foiré le coup mais surtout que baer est en train périr (entre autres). il se jette donc sous l'eau en ultime défi du sort et l'extirpe non sans mal jusqu'à la plage. il vérifie qu'il n'est pas mort en chemin et se soulage de voir que non (jtm, fils). finalement, les sirènes battent en retraite face aux vagues enflammées. mais les premiers instants qui suivent l'attaque sont finalement les pires: éclaté, salazar appelle haleth pour qu'il l'aide à mettre baer à l'abris tandis qu'il ordonne à abel de retrouver son père et d'aider les survivants (notamment ses oncles wllh); il le menace au passage de pas foirer une nouvelle fois et que, s'ils ont survécu malgré les blessures, la survie d'abel n'est pas encore tout à fait certaine... finalement, il jette un œil sur le plus gros carnage de leur histoire et crache son acerbe à haleth face au manque de clémence des dieux.
nature : croule sous l'océan l'espèce tonitruante de cruauté malfamée, il est le kraken tentaculaire de férocité.
saisons : fourmille par ses quarante et une année d’apparence frelatée par près de soixante-cinq messes récitées aux spectres des aînés et aux esprits des mers vénérées.
besogne : veilleur rusé, moray eel du black veil, scrutant l'horizon de ces pupilles démesurées. possède aussi le rôle d'augure des malfamés, présageant victoires à emporter ou débâcles à éluder.
Rechercher la cohérence dans le chaos accablé de leur tribulation mortifère d’impunité. Laisse reposer son crâne aux coups incessants de monstruosité rebondissant en canon de sa respiration haletante d’épuisement cravachée. Jusqu’à ce que la voix du capitaine résonne au creux de ses oreilles encore bouchées de l’horreur et du sel érodé du rivage empourpré. Vision flou inculquée par la douleur cutanée jusqu’à apercevoir le père et le fils trimant pour accoster. L’augure se lève, lui-même titubant, jusqu’à atteindre le prodige inconscient qu’il soulève non sans souffrir d'agonie en songeant à l'incendie l'ayant condamné. « By the flames or by the sea, the abyssal god will not have you today. » Geignard dégoulinant récupéré. Manifestement en vie malgré l’effroi de la pâleur sur son visage dégradé que bout des doigts claquent impunément pour qu’il retrouve un semblant de lucidité. A sa ceinture, lame translucide que l’océan a englouti sans réverbération possible, juste le néant et la mort l'ayant frôlée. « You don’t need this now. » murmuré en la fourrant à sa ceinture vidée dans la confusion et pseudo-coma enchaîné. En se levant, augure perçoit leçon moralisatrice à l'encontre de l’homme-enfant au tressaillement évident. Tandis qu'il se relève, arrête les mouvements de la bleusaille étourdie en agrippant son épaule, l'œillade au loin vers le dernier endroit où a été aperçu son géniteur disparu, là où goélands s’acharnent du spectacle macabre. « It's not too late to redeem yourself. Go. » Lance ingénu vers le sauvetage du père perdu avant de retourner vers le frère d’arme aux paroles légères dont l’amertume rivalisait avec les mers. Moue tordue par les mots aberrants malgré la tragédie qui amoncelle le sable rouillé d’hémoglobine salée. Regard éperdu sur les victimes entremêlées des survivants font croiser œillade vers visage familier. (( @Jesse Howler )), banshee atrophiée par la débandade sépulcrale, qu'il saisit pour son rôle oublié d'oncle trépassé. « Since you’re not dead, -once again-, make yourself useful. Keep an eye on them. » Indique les neveux d’un regard dont les flots ont emporté toute raison. Stratégie lancée, avec acharnement, rejoint capitaine dégradant, se place devant l’horizon rougeoyant en accusateur flamboyant du blasphème indécent. « Watch your words. Don’t blame the gods for what is happening. » Tourne le dos à l’apostat virulent, embrasse une nouvelle fois vagues cramoisies qu’il tranche en obstacle ardu avant de se diriger vers (( @Sade Howler )) l'âme sacrificielle des mers enflammées. Traversée en atroce supplice, geignant son mal à chaque brassée. Pour enfin arriver à l'estropié malfamé entouré d'eau enflammée. « Now wasn’t the best time to get stuck into water, you old trout. » Paradoxe du sarcasme tandis que lui-même disparaît sous la surface pour constater le drame; débris coinçant sa carcasse broyée. Libère alors ce qu’il peut malgré ses propres blessures sanguinolentes en forçant sur ses muscles atrophiés, déliant davantage d’hémoglobine se mêlant à l’océan cataclysmique. Tire ce qu’il peut malgré douleur acerbe, suffisamment pour que le corps puisse s’extirper du piège. Puis lâche brutalement sa prise, oxygène manquant au corps ayant subi mille folies. Air retrouvé en inspiration pour sa survie amoindrie des désastres s’accumulant, sans merci. Douleur se propageant dans l’entièreté de sa chair pourtant habituée aux aiguilles et à l’encre divinisée. Rien en comparaison de l’épreuve impraticable qu'est de rejoindre le rivage s'apparentant davantage à un mirage. « Now Howler, sink or swim. »
résumé:
haleth se réveille de son presque coma en entendant salazar l’appeler. il l’aide à porter baer afin de l’amener sur le rivage. pour s’assurer qu’il s’étouffe pas dans ses poumons plein d’eau il lui claque la face pour tenter de le réveiller (avec affection). une fois assuré qu’il est en vie, il lui chope son arme pour la suite (on sait jamais), se lève, attrape abel pour le “rassurer” en indiquant l’endroit où se trouve son daron (les goélands lui ont dit) (quoi ?) puis demande à jesse de garder un œil sur ses neveux de la mort là. après, il retourne voir salazar parce qu’il a pas aimé son p’tit ton contre les dieux 'azy (tchip) donc pour lui faire fermer son clapet, il va tenter d’aller sauver sade. et il le trouve, le libère des débris, par contre now pour rejoindre le rivage c’est chacun pour sa gueule, et avec les deux à moitié cané (haleth à l’épaule défoncée j’rappelle ptdr), bon courage (au moins y’a plus de sirènes…. n’est-ce-pas ???)
the black veil [crédit; icon (c) prima luce]
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and so it has come to pass. the future foretold. the dark raven, the eagle, and the wolf have laid bare the bones of corpses.
nature : échine HYDRÉE, bête (abo)minable native des marrées.
saisons : crache-grains aux contours TRIDENT, quadra cendrée aux pénibles détours.
myocarde : cadavre NON-BATTANT.
besogne : guerrière austère lustre joyaux tranchants, caresse la lame aux mille yeux de mort. cor cristallin gronde sa mission quand se hisse ÉTOFFE NOIRE pour nouvel espoir.
errance : engeance ÉCUMEUSE, fixe l'horizon dansant sous essences fumeuses.
the oars and mast were destroyed. the fishes of the streams they swim adrift from the land of bright meadows who brought the horde to this distant?
F O K I A F A G A L A N D E
_______à crache poumons, bourrin canote dos d’vagues hérétiques; tandis qu’la horde nymphatique frétille sous chairs à mâcher. au loin, échos d’lumières font miroiter gamin aux mains-néants; trou noir à espoir, hachoir à vie des siens. « FUCK MATE! » grogne la bête d’os brisés, peste créature aux rouges et chaudes ratures — quand soudain, laide affamée attaque morceau croquant; cage d’entrecôtes saignantes. fauché plonge avec ondine féroce, rouge sillage laissé pour traine aux abysses tandis que battant s’affole des geôles mortelles. gigot n’cogne pas, inerte par l’élan raide; mais subito contre-attaque frappe, mâchoires requines attrapent triton coriace pour libérer carcasse et pogne saisit squale à nageoire dorsale. dans chaos obscure, noctambule poursuit survie dans l’étoilée — pluie d’météores aux éclats festifs, c’est un abattoir divin, un crash aux beaux flashs. _______odontaspis ferox jaillit soudain des eaux en trainée humaine, gueule serrant proie aux cris d’sauvage. sable accueille boule de chair qui roule salement pour enfin s’élever en monstre d’ivoire et d’rouge. défiguré par la rage, fulmine hybride au flanc percé pour rejoindre acolyte et friture fumante. caudale saisie pour libérer animal, mâle crache gratitude « there you go, friend. » et remet à l’eau sauveur marin. mais paluche devient hache, regard jure mort à l’ursula criante; rustre fonce droit sur fournaise aux odeurs de chairs mauvaises; frappe, hurle, frappe, hurle — casse port écaillé, déchire tête portée par tignasse de fange. bras en croix, torse provoque les cieux et cri hargne aux pertes légion. _______mais quand échine se redresse, billes cramoisies foudroient l’enfant-roi. ((@abel howler)) « what the fuck was that trashy? — wanted to make some mud pie with that powder? you like what, twelve? » s’agace furieux aux babines imbibées de crasse; fiévreux fou aux épaules battantes sous l’air mauvais des pulmonaires injectées d’géhenne. « hell look at this kiddo, i’m now more pierced than your blank colander head! » dévoile morsure d’géant sur flanc ruisselant, rossé jette aux pieds tête velue à bouche béante et brillante. « go buy yourself some fucking brain or next time i’ll gladly condemn myself killing your unworthy ass — heh, son of howler, this feckless useless boy? my, my » crache dédain et secoue caboche flouée par rage renflouée; dégage d’sa vue pour n’pas péter trogne blonde, et grogne géant d’misère pour poser sale derrière sur sable carmin.
résumé:
mads essaie de se sauver de la noyade et voit au loin @abel howler gaspiller la poudre et rater son coup, il peste avant de se faire chopper au flanc par une sirène et trainé au fond de l'océan. il invoque des requins pour faucher la créature, choppe l'un d'eux par la nageoire dorsale, qui lui même porte dans sa mâchoire la sirène avant de le trainer hors de l'eau. le squale saute sur la terre ferme, mads fait un roulé plus loin et revient pour le remettre à l'eau en l'attrapant par la queue (mdr svp). puis il retourne vers la sirène à moitié calcinée et lui tranche la tête après plusieurs coups de hache (et pas mal d'hurlements vous l'aurez compris mdr) il saisit la tête en trophée et gronde aux cieux avant de retourner vers abel pour le menacer (même s'il doit se faire buter derrière, np) et lui jette la tête de sirène au pied avant de s'assoir blasé au sol.