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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.8 thème; the navy // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
forsaken; ____________(fb Ⅰ) lawfort, spring 999 ____________
_________will i set up my everlasting rest, ______and shake the yoke of inauspicious stars
from this world-wearied flesh. ________
Impératrice lumières, sur toile ponce trône, joyau des îles couronnes. Scintille sur terre, reflet d'un firmament doré ; Lawfort, cité des nobles, astre grandiose où colle quelque poussière grisâtre aux talons. Crasse intruse au cérémonial qui étend aura princière, un drapé altier qui déjà en pesanteur, fait suffoquer les âmes errantes. Ici-bas, pied à terre est nausée ancrée dans les tripes. L'inhabituel (des)équilibre sur filin tranchant, en quelques pas à peine, c'est la mer sauvage qui manque. A l'horizon, brasse bête mystère : y répond, languissante, la faim d'au-delà dans le ventre. Endocarde marin, déjà, agonise sur terreau aride. Éphèbe soupire désinvolture qui fait tâche, et sous l'uniforme calamistré, roulent épaules impuissantes. Seyant des pieds à la tête, esclave marche jusque gibet pompeux, raout flagorneur où il n'sera que spectre languissant d'ailleurs. En ces affres, l'attendent nichées quelques réalités, bonnes à exploser au(x) visage(s), éclabousser de vérités sanglantes les si prestigieux atours dont ils se jouent.
Calamités calfeutrées. Séant dansent incubes, à l'attraction qui les fait briller. Météores en collision. Ne resteront que les débris.
Liqueur magie aux papilles, ne suffit à abreuver la gorge sèche. Restent sur la langue, les arômes d'amertume qui hurlent (dés)amour. Lazzi suinte aux premiers échanges à peine. Une main serrée sur punch délivrée avec le ton vaguement poli. Et les réponses tapent sur l'épaule, aboient en rires gras et volages jamais ne se préoccupent des fonds de pensées. L'on y valse avec prestance (im)pitoyable ; le dos droit s'y coucher, arborer les couleurs clinquantes de Reine Navy et conter mille affabulations sur les longs mois à l'océan. Invoquer les chimères des vagues azurées, pour sentir l'aurifère solarion couler dans les besaces. Au bastion émeraude du Nouveau Monde, les pantins s'y disputent quelques miettes. Seul bien-fondé de ces escales-là, quand dans la poche drape quelques petits-fours, dissident imperceptible, compte les minutes, les heures qui l'séparent de douce liberté. Après plus de deux saisons loin des côtes, des gueules déjà, remuent l'impatience rebelle.
Et aux yeux de tous, disparaître.
Trompe l'ennui comme il le fait si bien, indigne des privilèges étendus là sous les pieds. Pâtures mordorées où résonne princier patronyme Yates. Trémule d'élégance, morgue héritage qu'il crache dans le mousseux qui tourne au fond d'une coupe de cristal, mignardises dont il s'fourre le gosier avec outrecuidance. Un affamé qui s'est nourri aux maigres victuailles des cales d'un navire justicier. S'imbibe d'ivresse courage, agrémente ses apparitions d'flatteries étouffantes. A défaut d'aimer, sait jouer, malgré tout.
Baigne dans familiarité fétide : dans ces échanges-là, se sent quelques années en arrière. Coincé en décades infinies dans cet univers pouacre, il côtoie, proche (trop proche), ceux qui l'ont trop souvent désigné de lie. Mais mirage au coin de l’œil le tourmente dans la foule. Nymphe l'a poursuivi jusque-là. S'est échouée ici-bas, plutôt. Dans le regard vide d'hétaïre, ondulent les mêmes désirs. Par instinct, quand yeux se croisent, hyménée fantomale, fuient aussitôt les céruléennes étrillées. D'une apparition à peine, Muse Tourmente fait battre tempête aux tympans. L'assourdissant glas miséricorde, qui fracasse myocarde contre les côtes. Loin, les regrets, remords, rancunes, sont fardeau duquel il est plus facile de s'enticher. Amante misère, distille au sein aigreur glaçante. Et encore, rogne sur les lippes les mots qui n'ont plus sens. En sacrifices au vide, avait espéré absoudre péché dans le sel des flots. Mais sur le derme, piquent les plaies encore à vif. Adonis maudit ; et déjà, songe à la fuite en avant.
S'arrime cruelle mélancolie, pince le ventricule mais gueule se grime de la fatuité des nobles. « Mister Ross, Sir. Beautiful garnments you have here. You ought t'give me the name of your tailor! » grandiloquentes flatteries à s'en esquinter les babines, quand doigts même choient le satin riche de la cravate. Paluches grossières tapotent l'épaule vieillissante, il est le dernier à s'en préoccuper. « M'Lady. One look at this radiant smile of yours makes every darn day at sea worth the return. » gentillâtre sublime douairière de quelques mots creux. Et inévitable gravitas, confronte spectres en un clash qui fait silence. Quelques secondes, le temps d'un souffle glacé. « Ms Alighieri. What are you now ? Cap'tain yet or something ? » larde maligne pique, déjà acrimonie caustique grignote le sourire figé. « What is it, they say ? If your eyes are set on it, it's bound to happen. » et au passage, geste leste dérobe une énième flûte ambrée, qu'il lève prestement, entraînant un mouvement du cercle autour. « I'll drink to that. » masque bravado, mais leste sur les cordes vocales, gravitas d'un passé qui ne se laisse jamais mourir. « Here! Here! » s'enflamme l'autour, distille dans les bulles fruitées, un goût amer.
« all my reasons cut like knives
keep replaying in my mind
all the times i’ve had to fight
i'm still here
it's in my blood, it's in my veins
i'm still here »
nature : éclatante existence, dresse créature élitiste et primaire. ( human ) incarne force singulière, d'une conscience éveillée, il érige, façonne, domine.
saisons : tantôt douce, tantôt salée, d'accalmie puis cataclysme. le goût fugace, ( thirty-six ) éparpillées, suivante grignotée.
myocarde : écho triste des je t'aime jadis, bien avant que vestiges arborent paysage. ( lost under the sea foam ) dernière mer chevauchée par l'être tant regretté.
besogne : pourfend marées houleuses et sort vainqueur, digne impératrice ( navy ) . chants marins arborent ( the meteor ).
errance : ( ocean way ) de souveraineté, s'annonce en courroux, loi divine et salvatrice sur le restant.
Je veux plus d'ce monde, là où on s'aime, mais on tourne en rond Pourquoi le mal n'arrête pas d's'étendre?
Débarquement orchestré, comme appel au bercail, pour honorer pareille gloire à la suprématie. Evitement impensable, trouvait réconfort en faible consolation de ces quelques jours sur terre ferme, coeur de sa mère à défaut de l’homonyme mer. Décompte oublié depuis dernier passage, depuis plusieurs années, refuge récurrent dans la houle. Avortée sa fuite. Poser pied, retour à la réalité. Celle confondue dans les tréfonds, complaisance d’y cacher sous le voile les miroirs de son âme punctive.
Aube à la célébration. Peu savait magnifier réception comme l’ordre militaire s’en donnait devoir. Carcan cérémonial, contait la messe d’une occasion, par acte de présence, pour quelques sourires accordées au-dessus des flûtes croisées. « You're not bound by the uniform for once. » signifiait dans le langage de sa préceptrice ô combien lointaine était la dernière fois qu’elle avait abandonné la tenue de rigueur pour son statut. Ainsi, devoir symbolisait de faire entorse le temps d’une soirée. Toutes ces heures écoulées, autant que sueur exsudait. Troqua aise pour bonne figure. Troqua carapace aux couleurs de la Navy pour audace fortuite d’un drapé satiné bleu nuit. Cascade à la fente laissant plonger morceau de chair, épris tout de même de séante discrétion.
Tout du long recrachait leçons apprises par cœur, au travers des poignées de mains et autres embrassades de rigueur. Maniement inflexible art de mondanité depuis jeunesse, comme la bicyclette ne se perdait jamais et revenait. Directions du mas gagnait d’assurance, la navigation était maîtrisée, cap sur échanges licencieux, sur pointe d’hypocrisie car tout bon soldat savait combien ces fastes de désinvoltures n’étaient pas commodes pour nombre d’entre eux. Oraisons attribuées soigneusement aux uns, aux autres. Politesse changeait d’arme habituelle. Poisson retrouvait le bassin de sa captivité d’antan, si rare aujourd’hui, prix peu cher payé pour le temps passé sur les sillons des courants maritimes. Satellite en gravitation, tantôt ces uns qui reconnaissaient la descendante Alighieri, tantôt les compassions de quelques camarades, assurément dans le même bateau.
Agitateur se mit à palpiter. Azurés furetaient sans but. Nouveau genre d’ivresse s’y engouffra, ne s’agissait plus du contenu de la coupe qu’elle tenait à la main. Fantasmagorie en croisade, façonnait présente menace. Braver les dangers enrobait le quotidien, mais affronter sa plus grande épopée était kryptonite. Lueur alléchante explorée de bien trop de facettes, palpitant en état de grise. (é)Perdue dans les relents latents. Talons fermement enracinés. Cap inchangé.
Extirpée d’un badinage ignoré, sauver les apparences d’un large sourire lorsque sentence s’abattit. Bouée de sauvetage en courtoisie, tue, commissures des lippes s’éloignèrent l’une de l’autre, laissèrent entrevoir émail. (Sa)dame silencieuse, perçut décadence de la malice qui prenait le nouveau venu. Et à son appel au déclin, répondit. Champagne trouvant chemin, d’un nouveau goût singulier, et l’addendum d’amertume. S’agitaient dorénavant de leurs questionnements les deux autres qui n’avaient d'idées sur ce qui se passait réellement. « Don’t believe it, it’s nothing like that. I couldn't claim to take the seat bequeathed from our admiral. » L’âpre dans l'œillade jetée comme ancre sur fanfaron. Billes s’entrechoquèrent, réminiscences instinctives assiégèrent psyché de leurs effluves illusoires. « I apologise, sir, milady, I realise that mister Yates and I no longer have anything to eat. » Diversion à peine discrète mais elle se savait en honneur de sainteté pour conduite irréprochable et se permettre écart sans que soupçons n’émergent. Le pas ouvrit la marche, le visage détourné avec lenteur pour assurer arrière suivie de près.
Braillarde foule qui les entourait, consentit son instant, la voix scrupuleusement affaiblie sous le restant. « What is it, they say ? No more than one glass at a time. » Cristal porta aux lèvres les dernières bulles de son breuvage avant que celle-ci, regard suggestif sur l’amas de silhouette, ne trouvait pas sa tante dans le périmètre, dextre vivace frôla veston qui seyait aux hommes de la Navy. Coupe neuve tinta sous ses ongles, et prunelles replongèrent dans leurs sœurs.
« The Meteor has been moored for five days. » Diversion pour arme de prédilection, quand communication se compliquait. Ancien temps où ils se disaient tout ou presque. Loin de leurs carnes endurcies. Finalement, valait peut-être mieux garder oeil aux abords de plus grand danger que de laisser s’éloigner ce risque de passer par-dessus bord. Barrière érigée n’avait pas cédé, et l’oubli demeurait dans l’oubli.
@adonis yates [crédit; purple dragon, sombrer dans la folie
Robin Alighieri
Dernière édition par Robin Alighieri le Lun 12 Fév 2024 - 11:23, édité 1 fois
forsaken; ____________(fb Ⅰ) lawfort, spring 999 ____________
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from this world-wearied flesh. ________
Proximité tortionnaire, deux flammes jumelles s'embrasent au silence des indifférences. Et l'oxygène s'amenuise, compresse de vide les poumons embrumés. Contre les côtes, s'échouent émois noyés aux affres de l'océan. Dans c'bassin glaçant, languissent souvenirs et murmures déchirent l'encéphale. Au myocarde, le retour est criblé de douleurs parasites. Et hétaïre mille fois invoquée dans les songes, trimballe l'aura tourmente qui le fait prier à l'abîme. Sur les lippes meurent des mots qui n'ont jamais été. Écorchent reproches, fondent sous la surface des sourires atrophiés. La pesanteur qui fracasse les ventricules, imbibe l'ichor d'maux dirimants. Sur les papilles liqueur est asthénie, doux pansement dont la gorge aride a manqué des jours durant. La boisson courage qui apaise bête dans les entrailles : sous jeu (mal)habile du charme affable, offre doléance à une populace qu'il exècre au plus profond de l'être.
Guignol pimpant, dans carcan pompeux. Lawfort est foyer qui fait envier la fugue.
Plonge la foi à l'ambré au fond d'un verre. A l'azur qui s'étend sur l'horizon. Et quand s'étendent secondes, minutes d'un face à face aux intentions guerrières, cœur qui bat s'décroche frivole, aux creux d'éther. « One glass at a time has never been enough to stomach any of this. » peste malédiction au paroxyton de cordes vocales qui s'imbibent de quelque fierté affirmée. S'oppose nonchalant à l'embarras dont elle semble déborder, rose aux joues et regards contrits par-dessus l'épaule. Adonis, plaie aux ego esclaves de l'ambition, savoir-faire élevé au rang d'art en guise de première éducation. Vertement, frère s'est opposé à une cadette embourbée à l'hybris maladif.
One glass at a time would never be enough to even stand here.
Leste l'irascible feu sans nom, sans début sans fin. A incendié l'âme Robin, hume le parfum des cendres qui flottent. Et pupilles ne cherchent guère ancre consolation en sa présence. Elle est la carcasse qui brûle parce que trop près. Un râpeux dard collé au palais, durement bourreau dans l'aphasie de retrouvailles qui n'ont plus qu'à envier les saveurs d'antan. Ni distance, ni temps, ni mer ni ciel n'soignent les plaies qu'ils ont laissé s'infecter.
« Five days already, huh ? » — how is it, not to run away ? — « What was so important about this whole parade, that made you lot so eager to come an' wither here ? » ricoche rhétorique, s'entremêlent les arômes d'une satire sévère. Fief, jadis, de l'hyménée sacrée, dilection exaltée avait peint de mille couleurs le décor mornes de tronçons d'existence sans racine. S'est égaré, éphèbe supplicié des mémoires exhumées : le retour infère songes de ce qui a été. Ce qui n'a jamais été. Esquisses fantaisistes qui n'ont jamais qu'hanté l'encéphale. Sacrifiées à réalité, aux choix qui n'en ont pas été. A l'impérieuse marche qui les éloigne.
« Don't bother. My bet is I won't understand no matter how things seem to work for you. » bourreau assène sur ton neutre, ravale fiel mélancolique pour que sourire suffisant vienne sucrer les labres. « Five days, is it enough for you to have buttered up all the posh asses you wanted or do you need more time ? » zigue crisse sur un ricanement hâbleur. Juge leurs indécences comme ils jugent les siennes. Préfère être l'alcoolo d'la fête que le baiseur de pieds. « Really, Miss. I'd argue you have better things to do than bother with t'is drunken fool. » Ire tacite sous ton cérémonial, politesse fouette, froide comme la glace des regards qui se heurtent. « I know I do. »
Don't you hate it, Robin? Standing here, wasting your time. Hate it, hate me. As I hate you me. Cloué les pieds là, supplie sans mot à l'abandon. Qu'elle s'y écorche, s'y saigne. Abdique. Pas un regard en arrière, jusqu'aux ponts défaite, la trêve par indolence. La séparation, peut-être à jamais. « Promise. I won't get sloshed 'til I find real boose. » mime la paix les deux mains levées, quand guérilla est peine éternelle : la fracture fatale des maudits d'(dés)amours. « And you, you are free— to enjoy your evening. » pitrerie révérence, s'étiole dès la première occasion, saisit l'énième verre, ô calice aux péchés écumeux. Blâmera déboires sur la déraison d'une vie perdue au large.
« all my reasons cut like knives
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nature : éclatante existence, dresse créature élitiste et primaire. ( human ) incarne force singulière, d'une conscience éveillée, il érige, façonne, domine.
saisons : tantôt douce, tantôt salée, d'accalmie puis cataclysme. le goût fugace, ( thirty-six ) éparpillées, suivante grignotée.
myocarde : écho triste des je t'aime jadis, bien avant que vestiges arborent paysage. ( lost under the sea foam ) dernière mer chevauchée par l'être tant regretté.
besogne : pourfend marées houleuses et sort vainqueur, digne impératrice ( navy ) . chants marins arborent ( the meteor ).
errance : ( ocean way ) de souveraineté, s'annonce en courroux, loi divine et salvatrice sur le restant.
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Estampille chair oscille autrefois sous luxurieuse rugosité du marin, aujourd’hui âpres babines salines pour crachin venin. Mélasse entrelace ces âmes (dé)lassées. Condamne aux souvenirs à vif, brûle juste assez pour étouffer gosier. Alimente bûcher, phalanges qui l’ont faite chavirer, anime braises des soupirs qui abritaient collier, mèche allumée suit chemin nouveau tracé. Nombre années à s’apprivoiser, s’endiguer, s’enivrer, s’aimer, se malmener, puis s’échouer.
do you regret of those forgotten
Aboie silence aux abois, des émois, torture carne. A l'intérieur écartèle poitrine, tachycarde pour cruel et cuer à l'écume. Rancœurs perce-(les)cœur, pugnaces vocables assènent haine, et cache sûrement toujours d'autres. Insurgé fait offenses, pose pour vertu sédition. Noue son nœud hasardeux, éjecte dard aiguisé sur un plafond de verre teinté. Erronées tentatives arrachent visage en sympathie pour arrogance démontrée et superbe mesurée au nom Alighieri. « It would seem that some were missing a wife and child. » Pieu sanctifié enfonce poitrail prétendument durci par mere caustique. Gifle sa bête retorse et flûte trinque l'émail, milady siffle son breuvage aussi acre que l'attitude de son interlocuteur. Reprend réponse dans sa tranche aiguisée. « Others who don't have this problem are counting the days. Indeed you wouldn't understand. » Provoque ciel à l’orageux, lippes se rétractent et infligent son sort, couteau denté ronge vaisseaux au cruor décharné.
them too, languished for a new way
Simulacre petite mort Cendres audace, calcine a(i)mants envolés telles poussières du souffle mordicus. Grand méchant loup n’a plus que peau sur l’os, souffle et souffle encore sur foyer déjà ruiné. Mais Lawfort est foyer phoenix qui fait plier échine.
Détourne spectateurs, attire proie à l'abri de quelques regards maladifs, maladroits. Affûtés égards qu’elle ne souhaite pas gaver scandale à la chair croustillante. Amuses-gueule insuffisants, n’amuse les gueules vautours en quête de ce festin désordre en polémique. « So, what are you doing here, Yates ? » Jamais n’avait-elle, outre que sur les bancs de l’école de guerre employé si éloignée étiquette attribuée des intimités aussi nombreuses et partagées.
Jeu dangereux, ô regard à la foudre abat sa guillotine. « If I'm here to butter these posh asses, maybe you find something to enjoy ? » Lésée face au teint fade, rose aux joues évanoui, cherche un trait accablé pour hésitation d’un instant retourne à chaleur passé d’une autre teinte. « Stop. You came here. You came to find me. — Just as you've always found me. — You didn't have to. What do you want to hear ? »
Maîtrise les codes de cette mascarade, autant de temps de valse macabre qui donne ses trois temps aux pas qui les éloigne depuis près de trois ans. L’oeil échappe surveillance de ces rapaces et bat sourire à ceux-ci pour mieux revenir à sa perte. « If it's a new kind of game you want to play, Doni, do it right. » Miroir en face, pour face à face, étire sa pince et lâche sa prise. Nul autre toast. Nulle autre coupe qui bat tympans. Lassère encercle des fils rouges qui se croisent, en décroit. Étend azur à l’aurore se fond crépuscule d’une page cornée, conte ses amants calcinés.
@adonis yates [crédit; purple dragon, sombrer dans la folie
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Ennemis charognes s'émiettent sous joute verbale. L'assassine loi des myocardes sans vergogne ; sur terre ne trouve guère escale. Et les âmes s'habillent de désolation. Téméraires pantins naufragés sur rivage d'asphalte, éclatés mortels à même le sol : dans les veines les sangs bouillent, et à l'autel d'os craquelés, cœurs s'fracturent en écho de houles amères. La mer les a crachés ici-bas, répudiés sur terre ferme à suffoquer des mascarades soûlantes qui rythment vie des autres. Mugissent les abysses dans la tête et l'poitrail. Indicible, magistrale reine abîme aux cantates hypnotiques. Raison est restée là-bas, vide spectre à fixer l'azuréen horizon qui comble l'éther à l'agonie. Regrets hantent ces pavés, ces murs, cet air. Soufflent le nom de muse des malheurs, et ont volé son visage de silphe. Pour aujourd'hui elle n'est pas phantasme invoqué de jadis sur le voile de ses paupières : tangible poupée faite d'une porcelaine glaciale, d'un toucher pourrait l'amarrer à ce réel pitoyable. Quelque mirage pour l'accompagner sur des jours, semaines, mois. Une mélancolie pour l'arrimer. Cruelle Célimène en ce décor calfeutré, lui ferait regretter d's'attarder. Distille en quelques mots l'austérité qui colle à sa voix, souffle vents fielleux qui lui arrachent un frisson malaise. Rappelle, tortionnaire sans vergogne, les miettes d'un autrefois qui perd saveurs avec le temps, l'âge, l'expérience. Les gouttes d'ichor perdues de plaies suintantes qui ne peuvent être guéries. « You're right. I wouldn't. » rétorque bile d'une aigreur qui se tord, serpent dans le ventre. Et traits candides se creusent, portent dans leurs crevasses les fragments de ce qui avait été. Et n'aura jamais été. Confronte sa faillite à l'assurance sans-émoi d'une créature carnivore. Logée sous les côtes, vipérine vient d'planter des crocs acérés à même les ventricules. Un poison vieux déjà, qui brûle dans le corps tout entier. Caustique toxique ronge les os, étiole l'arrogance et fait abdiquer le regard. Sometimes, never coming back seems like the better choice. The only choice.
Confessions aucune, faiblesse n'se trahit que quand incisives lui bouffent sa propre chair. La langue qui goûte le sang avant quelque mot imp(r)udent, la vengeance qui réclame son dû. « What d'you want me to say, Robin ? I'm a loyal dog. » Lamentable s'rit de lui-même. L'âcre moquerie jaune qui rogne le gosier. And some people, when they see a dog. They beat the dog. And they beat the dog. And again. And again. And every time the dog comes back. Fustigent pupilles éclair. Bêtement loyal aux siens. Bêtement loyal à des illusions qui l'ont fait rester trop longtemps. Seul repère dans le néant, la silhouette d'un capitaine, figure de proue d'une spectrale liberté, quelques voiles et un pont jurés à l'éternité d'un horizon rédempteur. « Trust this, Ms Alighieri. There's no game, here. » rigide prestation, de celles qu'elle aime, de celles auxquelles elle s'fond. S'y est perdue, âme et substance. Dans ces affres, Lawfort lui a bouffé le palpitant. Chérie Robin, humaine faillible après tout. « I wish you to get... everything you've ever wanted. Worked for, so so vigorously. » whatever meaning you may find, doing this. Being this. « Soon enough, the seas will take their due. » à l'oubli, au néant. Tracée destinée droit devant. Do you forget about us when we're apart ? About all of it ? blasphème question, jamais n'a franchi, jamais ne franchira les lippes. Frôle tortueuse les parcelles de l'esprit. Imbibe l'être le temps d'un battement. Avant d'être mieux avalée, digérée. Habite à même la carne, l'éternel rien du tout. « A wise person would advise you to not bother yourself with liabilities. Your time is precious. » et sur sourire miel, babines assènent jugement aiguillon. Idiot, parie sur l'fait qu'il y ait, dans cette carcasse encore quelque sentiment qui fasse loi. Exhume mémoires qu'elle a elle-même enterrés. Les espoirs perdus, songes d'une existence en cendres. L'eux deux, commémoré au jamais (plus), à tout ce qu'elle n'a jamais voulu. « Shall I see you off, Ms ? » misère se drape de l'orgueil d'être le premier à dire au revoir.