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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
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Sybella Vogelsang
Sybella Vogelsang
~ c u r s e d   l o v e ~
faceclaim & © : monica bellucci (boiteaidees)
once i was running,
from all that h a u n t e d me;
to the dark i was succombing
to what h u r t unbearably.

nature : humaine
# Mer 24 Jan 2024 - 17:58

and in my heart, i cry
and in my mind, i break
and in my life, i scream
but in my family, i stand
d e s p a i r

à l'aube d'un rêve, le cauchemar apparait. un réveil en sursaut, dame se perd dans la vision des flots, alors que domaine donne sur la mer ravageuse, et l'esprit vogue à penser à l'époux comme à la fille, qui se battent peut-être encore contre les créatures du malin. d'une solitude acharnée depuis quelques jours déjà, s'en retourne aux rituels qui l'aident à tenir, quand frayeur est dans l'air, d'une mésaventure qui patiente, se languit de l'espoir, et corrompt l'âme à chaque nuit qu'elle passe sans mari.

just another fear in the air
for the one who is not fighting.

et d'une journée sous l'égide des enseignements, d'une passion, se fait muse pour abandonner enveloppe mortelle, pour ne pas se soumettre aux sentiments qui ravagent, quand pourtant meteor met du temps à revenir au bercail.
une pensée dans l'air. une ambiance qui se répand, une crainte qui gagne du terrain. quelques jours de retard, une habitude morbide, qui ne cesse de venir lui croquer le coeur.

the fate of the one that stays at bay

alors quand sonne l'arrivée du navire souverain, se fait presque soulagement dans le myocarde d'une mondaine, qui fait fuir les malheurs de ses craintes fallacieuses, et sous le vent du soir, finit par rentrer en fredonnant, à l'idée de ne plus être amante de la solitude une fois les portes closes. ne lui reste qu'à savourer les récits d'outre-mer, sous les étoiles merveilleuses dans les yeux de robin, sous les splendeurs des actes héroiques de celui qui réchauffe son âme.

if only that was true.

aux effluves de l'espoir, ne reste que la puanteur-désespoir, quand portes battantes laissent entrevoir, ce que la dame en noir a laissé, et qui elle a pris en ce soir, cruelles moires. d'une gloire face aux monstres, le devoir l'a conduit tout droit à l'abattoir, et pour raconter cette histoire, n'existe qu'une seule personne, nièce et fille, héritière pour toujours, et baume d'un coeur en proie au malheur. en rentrant chez elle, elle sait déjà, mais refuse de le voir, de l'entendre, de le savoir. ce soir, marek ne rentrera pas.

and the tales of heroes
become tainted in darkness.

robin ? elle sait. elle ressent l'absence, elle comprend d'instinct, ce que son enfant va lui dire. et tremble face à la vérité qui n'est pas encore arrivée. please... se jette dans ses bras, se jette à son cou. loin de l'image reine de la mère sans défauts, ne peut qu'exprimer sa joie de la revoir entière par les gestes, tant ses craintes se lisent sur son coeur et son visage. please, don't tell me... ce qui crève la poitrine.
car le bonheur de retrouver le trésor de sa vie, ne peut malheureusement contrebalancer les émotions face au funeste destin qu'elle s'apprête à entendre.
tell me i'm wrong. tell me he's just late... d'un coeur qui se débat dans la cage thoracique, se sent presque mourir quand comprend que ses prières sont vaines.

i can't bear the truth
please, lie for me.
@robin alighieri
[crédit; waldosia (icon)]

_____________________
the choice was once your c h o s i n g,
before losing became my loss.
i was there in your forgetting
until i was f o r g o t.
Sybella Vogelsang
Robin Alighieri
Robin Alighieri
d a (m) w n e d
faceclaim & © : m. vacth (av) nukaven (icn) ethereal.
despair -- robin 319f4cfa7e22f8897da3ddd98a7a3d7a27e2a132 despair -- robin 111af9b103319fd1e53434cb724d950224017ff9 despair -- robin 3612ab559f7848e227199261550cbd76b07f75dc
« all my reasons cut like knives
keep replaying in my mind
all the times i’ve had to fight
i'm still here
it's in my blood, it's in my veins
i'm still here »

nature : éclatante existence, dresse créature élitiste et primaire. ( human ) incarne force singulière, d'une conscience éveillée, il érige, façonne, domine.
saisons : tantôt douce, tantôt salée, d'accalmie puis cataclysme. le goût fugace, ( thirty-six ) éparpillées, suivante grignotée.
myocarde : écho triste des je t'aime jadis, bien avant que vestiges arborent paysage. ( lost under the sea foam ) dernière mer chevauchée par l'être tant regretté.
besogne : pourfend marées houleuses et sort vainqueur, digne impératrice ( navy ) . chants marins arborent ( the meteor ).
errance : ( ocean way ) de souveraineté, s'annonce en courroux, loi divine et salvatrice sur le restant.
# Jeu 25 Jan 2024 - 14:37

d e s p a i r
lawfort, fateful day 994
orchestre macabre.

Cauchemar exempt d’éveil. Prison fermée à double tours. La carne en était-elle déjà sortie un jour depuis que les démons faucheurs tenaient leur chasse. Sourde oreille, oeil aveugle, perdu valeureux au cœur, passé par-dessus bord dans même temps. Si loin, si près, conscience obstruée laissait place. D’une pénombre animant son pantin. Face encore souillée des veilles, les mains, elles, lavées, cloches annonçaient bon port. Mais pas pour tous.

Trop tard.
Embrassades familiales, enlaçait son héro l'éprise épouse retrouvant son mari. Sur les quais, n’avait encore jamais eu la gerbe que lors de cette descente aux enfers.
Sans retour.
Fantomale silhouette récupérait bardas sous regards camarades, savaient. Combien de nuits pourvues de croyance que l’étoile pourfenderait les ténèbres de son singulier éclat. En vain.
Umbra, en suite, déchut intégrité maladive et enrobait souffrance au cœur.

Saint fief s’élevait, retrouvait sa gardienne au coin d’un feu. Brûlant autant de pas, perdaient la cadence. Pour unique sentiment, faire demi-tour. Rejoindre l’étendue et ne plus hanter l’esprit de sa prophétie.
Jumelles oculaires s’éteignirent un instant, dans son doute des derniers instants envahissants. Cri du coeur, corps élancé pour joindre l’orchestre macabre des houlées saillantes de la bataille. Force retint, empêcha funeste destin en offrandes deux plutôt qu’un seul à roi océan. Alors peut-être sacrifice aurait échangé les places. Miséricorde de son cynisme épargna cadette d’une part, d’une autre condamnation confiée à l’héritière.

Piquet planté là, larmes ravalées, humait présente juste de l’autre côté de ce gouffre malheureux. Pourtant n’aurait accepté d’aucun autre étranger pareille nouvelle du front à femme languissante des revenus de guerre.
Passé trépassait, plongée en eaux troubles. Faciès criard, les semblant incapables face à mère aux abois. Corde de la guillotine pas encore tranchée, déjà volèrent en éclats les si maigres morceaux demeurant sous sa chair.
Mutisme en dit long. Etreinte qu’elle toucha à peine. Souillure ne pouvait se résoudre de tâcher l’immaculée. Souvenirs ébranlés, cela s’était déjà produit. De la soeur ou de la mère, toutes deux par répétition d’une chute cruelle ne guérissait jamais blessure.

« I’m home, mum’. »
Calciné, idiome angoissait. Trouver force des dextres pour repos sur colonne vertébrale pour éviter qu’elle ne se dérobe. Terrifiait, s’engouffrait, tétanie faisait réagir le derme. Déchirement dans la voix qui berçait autrefois. Ce n’était plus berceuse qui chantonnait. « Come, let’s sit down. » Tic, tac, aiguilles se firent létales. Portrait davantage que ne supportait l’idée de devoir briser rêves. Fauteuil en couchage funéraire, silence abattit son glaive sur moelle.
Petite mort approchait.
Tremblaient les sons irréguliers soufflés au travers de ses lèvres.
« The weather turned stormy and we were on The Meteor. »
Hésitation, existait-il une seule bonne réponse supplication ? Volonté de lui dire ce que chair de sa chair voulait entendre, désir d’un fantasme plus heureux.
« We were attacked by one of these creatures. »
Terminus au refuge d’un mur branlant, stoïcisme armait visage pour s’en protéger. Y avait-il encore assez de perles salées pour irriter pupilles.
« Uncle was… » Bégayait, éprise par nouveau doute, pansement encore trop collé à sa plaie.« I mean… » Se confondirent pensées sentiments, sentiments pensés. « He’s gone… » Trop pour femme-enfant redevenue petite fille d’époque. Décade même pas atteinte, plaie béante, s’étalait dans tout son être.

« The ocean took him away. »
Coup sec, volages larmes qui coulèrent, outrepassant alors voeu des forts que faiblesse rattrapait.
@sybella vogelsang
[crédit; vacthdaily, bellucci-daily
Robin Alighieri
Sybella Vogelsang
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nature : humaine
# Ven 8 Mar 2024 - 20:42

and in my heart, i cry
and in my mind, i break
and in my life, i scream
but in my family, i stand
d e s p a i r

aux cris du coeur, résonne souffle mortel de cette faucheuse en affront à la plus belle des créations. l'émoi au visage, et la peur au ventre, face à son enfant, nièce et fille en parfait trésor, qu'elle serre dans ses bras comme si malheur allait arriver, comme si c'était à venir, quand l'horreur est déjà là, car l'absence est vue, ressentie, entendue, dans le fredonnement de sa voix, comme l'absence de réjouissances. aux larmes qui s'amassent, fait prière silencieuse de ne faire partie que d'un mauvais rêve, tandis que les mains de sa chair viennent chercher son dos pour la maintenir en vie, ne serait-ce que le temps de débattre des actions fallacieuses de la dame en noir. et sous l'entrain de quelques syllabes, comprend que son cher désir est noyé dans les flots, tandis que spasmes viennent secouer fébrilement cette mondaine qui s'interdit de pleurer, malgré cascades qui se préparent, opales traitres face aux sentiments et émotions qui ravagent le corps, qui ravagent le coeur.

is there any other way to remember him ?
than to let him rest within the waves ?

aux affres de chaque parole, laisse héritière l'installer, l'aider à combattre déboires qui l'assaillent, quand myocarde se fait si lourd qu'elle ne tient presque plus debout. dans un océan de colère, dans une mer de chagrin, dans une tempête d'émotions, se battaillent ses pensées, tandis que l'entend que les mots de sa nièce pour la guider dans le chaos, alors que sous ses pieds se fracassent les rêves pour l'avenir. le destin maladif d'une tornade dans la poitrine, alors qu'apparait la scène sous ses yeux enchantés par parole désastreuse de celle qui représente le futur de la maison. ô unique trésor qui vient conter les aventures de feu-mari, se fait violence pour ne pas sombrer, tandis qu'entend le fracas des vagues et l'apparition de ce monstre, cette guerre qui fait rage, ce ravage qui saccage tous les espoirs de le revoir. -- he's gone, the ocean took him away --. et face au déluge des mots armés, finit par entrouvrir ses lèvres pour s'essayer à retrouver mots, quand rien ne sort si ce n'est un souffle portant sa tristesse et laissant expier les émotions en pleine querelle.

he's gone, and will never come home.
with his flaws away, she only dream to face them again.


he-... mais ne peut les contenir, ces larmes qui la transpercent de toutes parts, alors que le corps se cambre sous l'implosion de ce chagrin dévastateur. face au monde qui se fissure, ne peut-il y avoir de place pour un peu de bonheur ? face aux mers qui déferlent, ne peut-il pas y avoir de rêves pour les repousser ? et face aux larmes d'une femme, existe-t-il remède pour la fille désemparée ?
d'une malédiction à l'encontre de celle qui prend tout, vient serrer celle qui vit désormais en unique gemme dans cette maison bien trop grande, et lâche les épouvantes, ces sanglots qui trahissent son humanité, quand le monde voulait la forger pour en faire perfection à l'échelle des dieux.

but i'm only human.

et demeure incapable de s'exprimer autrement que sous les ravages de ses yeux, et les hurlements de son âme. mais face à la survie de sa précieuse, se doit tout de même d'agir en mère, et bien que gorge se noue sous les ravages de la nouvelle, laisse murmure s'emparer de l'oreille de son oiseau délicat. i'm sorry... i'm... i'm glad you are here... he... he would be proud. i am. -- proud of you, proud of your bravery, proud of your strenght to go and tell me all of that --. et sans la lâcher, sans être capable de la laisser partir de cette embrassade qui démontre toute sa tendresse, devient mère éplorée qui lui demande did he... did he manage to... was his sacrifice... -- did he save you and the meteor ? -- mais traumatisme en cascade, ne fait qu'accentuer le désespoir, tandis que s'effondre à nouveau, la tête logée sur l'épaule de celle qui la soutient, tandis qu'à jamais ne se pense capable de relever la tête.

please, help me. i beg you.
for i have only you, now.

@robin alighieri
[crédit; waldosia (icon)]

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