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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
wall of glory

jack
rising star

BTM
nouvelle ère

sigvidh
most valuable player

news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
— won't you come save me, from these red hands and black deeds —
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Fallon Chernobog
Fallon Chernobog
—   s t o r m y   b l a c k   s e a s   —
faceclaim & © : k. winnick; corvidae


P O W E R

when you move
you make my oceans
move too


nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Ven 2 Fév 2024 - 13:56


YOU LOST ME EVERYDAY
EVERY NIGHT ONE BY ONE
-------
We both chose To stay blind
Swallow lies But now it's done;;@song
___coeur putride, chancre mauvais crève l’organe de vide; le parsème de rien, lui vole sanité jusqu’aux je t’aime. souvenirs ne sont plus que soupirs en écho livrés au chaos; verbiage s’évapore avec les éclats de rire, les beaux sourires — horizon efface son soleil et laisse triompher la glace. alors chambranle des enfers paraît lumière bienfaisante quand dracula se lasse; quand humanité rattrape le corps sans cor. vaincue encore, elle ère sans air; ne respire plus que poussières des vestiges de son nom.

______ ô mes parents, à travers torrents,
______ mes désirs-tyrans, mon coeur errant,


dans la noirceur de mes songes;______
pèse le poids de vos mensonges.______

___ flanc touché, tâché du carmin que n’arrête jamais la main; tragédienne diluvienne avance sans sens. elle porte la couleur des siennes et la couleur de ses peines, le rouge de ses torts et celui de sa mort. coeur aux peines de géants, aux peurs d’enfant; elle rode, s’érode, rase, puis s’écrase. peinture recouvre le sol; sable se teinte de la nuance de sa crainte. regard se pose sur belle orbe aux appels incessants, qui réclame la volonté des océans; furie s’excite, mais humaine résiste. et dans l’intense querelle, bataille l’entaille au souffle; fille de rien s’essouffle. échine pèse sur l’ossature qui croule sous l’usure; chair s’effondre, gronde souffrance sur grains de sable qui semblent rappeler chronos et ses voeux de rien, ses aveux de tout. fatalité démange autant qu’éternité — choisir pour mal vivre ou bien périr.   

to live as a monster or to die without honor?
should i care about my life or the blood on my knife?

___et dans la partance; visages apparaissent, condamnent à l’éternelle errance. fille et fils en sacrifice, père et frère à la faveur des enfers; l’amant aussi, son dernier testament. et enfin — « mother? » en eaux troubles, vision qui floue l’horizon; céruléennes se perdent dans le tableau de sa haine. l’incarnation possible de son imagination. alors rire sonne le glas d’une vie qu’elle voue déjà au trépas, folie pour appât. « my head must be pretty damn hurt to decide to manifest you above anyone else. » glacent palabres, quand carcasse se redresse à l’aide du sabre. souffrance exhalée, essence étalée; fille n’est qu’averse de javelines vermeilles, à mesure qu’elle se relève vers l’ève sans pareille. « see what you’ve done? » rictus amère affronte la mère, chérubine effrontée fait face à belle trombine. « see what you’ve created? » vitalité de fer s’épuise, létalité resserre la prise. mais toujours, subsiste la haine d’avoir vu le jour. you should have never give me life for you condemned me to take mine or others. « see your mistake, the truth behind your pitiful lies : the one you used to call daughter, the one that they now call monster. » acier jeté aux pieds d’esprit ou de chair, regard sombre dans celui de l’être cher. poitrine inspire tandis que bras s’écarte en croix; s’offrent au destin roi.
(c) code -- vixen
@eivør chernobog

_____________________
-- one by one (( eivør )) 5jtb
in your sword
still beats a heart
Fallon Chernobog
Eivør Chernobog
Eivør Chernobog
a b s o l u t i o n
faceclaim & © : nicole / viniferas.
# Ven 12 Avr 2024 - 18:08


YOU LOST ME EVERYDAY
EVERY NIGHT ONE BY ONE
-------
Keep silent, words won't fix a thing,
don't you know they never did.;;@song
___scène orchestrée d'un esthétisme signature, nymphe grandiose écume le sable de ses errances usuelles... pas épris de langueur, coupe pleine pour continuité de l'être; qu'importe l'heure tant que de son glas elle sonne l'ivresse ! perles parcourent les ébats des flots, préfèrent cette mouvance à celle que l'on vient de quitter, là où les affaires à traiter s'entassent davantage que les liasses. cabaret ébranlé, trône jonché sur les restes d'un champ de bataille. pointe se fait damoclès dans les esclandres de la belle outrancière, dramaturgie déclamée à qui veut bien s'apitoyer — offrir calice, épaule ou soutien.

______ les maques s'enfilent sans peine; s'enchaînent
______et l'arlequin (( sans âge )) semble avoir perdu son visage.


de rien en destin, d'hasard en fatalité; malgré les jours sans soleil parvient à naître l'éclipse. tâche sur son rivage, le presque cadavre s'impose à sa vision. la démarche n'en est pas troublée, il n'est pas question d'accourir ni d'éviter — dolorisme l'attire, l'anime et l'effraie. fantôme qu'elle aime autant qu'elle hait. secrets qui s'usent mais qu'elle tait... à s'approcher, c'est dans la spéculation qu'elle se complait. souffle haletant, douleur muette, plaie béante. confrontation avec l'évidente dualité; fallon aux années figées a perdu de ce qu'elle était. l'a t-elle seulement reconnu ? de souvenirs en réalité, eivør se perd un instant dans ses reflets.

______ mother ?

regards se croisent à défaut des cœurs. les éclats sarcastiques attisent les feux d'antan, l'égo est mauvais et morcèle cette tendresse bien vite annihilée. — « well. you look... ghastly. »

______ d a u g h  t e r
______ you're not the ghost I was hoping to summon either.


lampée salvatrice pour ravaler l'acide. impulsions provocatrices comme pour diluer ses propres vices. cruelle alterne bourreau et victime, de sa vie elle altère les sévices. et sans flancher, là voilà qui contemple son œuvre. défiante, mère se fait bien droite devant la lionne qui peine à rester debout. — « oh dear, you must admit you've created yourself more than I ever did. » piètre mimétisme, pas dans la posture; galvanisée d'imposture. c'est à son tour de gifler d'un rire. — « and i'm the theatrical one uh ? » pourtant, à voir la bête dépourvue d'un peu de son grandiose, élans aussi maternels que meurtris crèvent un peu le palpitant. qu'est t-il advenu de mon enfant ? la moue fière se craquèle et le lippes tordent le rictus. les yeux cessent de combattre le regard perçant pour s'abaisser à la blessure carmine... l'excuse est parfaite, splendide ! car la tendresse n'est pas seule maitresse de son désarroi; l'accusation met à mal ses propres illusions, de celles qui ne s'admettent pas.

______pourquoi nos monstres se toisent
______ et toujours s'enlaidissent ?


« tha-... first, first let's get you fixed up, so you can go on and on about how I'm the worst mother ever. » mais chez les chernobog, même les drapeaux blancs sont souillés par le sang.

(c) code -- vixen
@fallon chernobog

_____________________
Over the water, running near; the mermaid's voices tinkles her ear... her reflection stays unclear.
Eivør Chernobog
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