contact-- pour en connaître davantage sur le staff et savoir qui aborder en cas de doutes ou questions.(( tops-sites )) pour nous soutenir!
;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
____s’embrasent les bougies qui crèvent obscurité. percent le drapé noir. brillent comme l’espoir qu’elles se doivent de donner. elles sont brasier d’une force qui semble être diminuée. elles cachent misère des temps. la lumière éclipse le funeste qui s’est emparé des êtres. néant terrasse les terres. les hommes. leur puissance soudainement plongée dans les abysses nocturnes. sans soleil, ils se voient alors perdus. sans repères, la panique s’empare des peuples. et au milieu de tout ça règne en toute puissance encore navy sainte. flamme d’espérance qui se doit de briller. se doit d’être brasier d’espoir pour ceux qui l’ont perdu. ____alors soldats se dressent dans la foule mondaine. bienfaiteurs de dorés vêtus se voient être organisateurs d’une mascarade. faste charitable organisé pour récolter l’argent qui servira à aider les plus démunis. hypocrisie certaine qui se fond dans la bien pensance bourgeoise. alléger les consciences trop lourdes. entretenir les apparences d’une richesse salvatrice. peu importe tant que les chèques tombent. tant que bourgeois crachent monnaie. et tant que tout ça, entretient l’éclat de l’espérance aux yeux de ceux qu’on invite. aux yeux de la peuplade généreusement invitée. car pour une fois, c’est eux qu’on convient entre les murs historiques. citadelle des lumières comme terre d’accueil de ceux qui ne peuvent que l’admirer. symbole de force en ces temps de troubles. plus que jamais, élite se voit à nouveau prendre rôle bienfaiteur en tendant les bras à ceux que tragédie dévaste. ____incandescence fait briller les dorures d’un amiral que l’inquiétude ne semble pas terrasser. stature inébranlable qui ne fait que renforcer l’image d’une navy intouchable. tête de proue qui ne peut trembler même face à l’adversité. alors il entretient son rôle. devient porte flambeau guidant les apeurés dans cette nuit éternelle. sur l’éther, le discours sonne comme message d’espérance. de force. il cherche à toucher ceux qui auraient besoin de l’entendre. n’oublie pas pour autant ceux qui ramèneront équilibre. la navy toujours au devant des dangers. toujours bouclier des démunis. toujours la main tendue vers ceux qui en ont besoin. aujourd’hui encore elle le prouve. amiral invite finalement convives à festoyer. on applaudit alors. ça résonne dans l’immense pièce. et brouhaha reprend sa place sous les lumières artificielles.
c'est un vrai festin énorme. y'a de la bouffe à gogo, des lumières de partout pour contrebalancer la nuit dehors. tout le monde porte sa meilleure outfit. les bourgeois sont là pour cracher leur sous. le reste de lawfort est invité pour qu'on leur montre que la navy est de leur côté, que tout ira bien et que l'argent récolté reviendra aux plus démunis. bref, un gala de charité comme il se doit. wewe il a fait un p'tit discours dans la première salle, je me dis qu'avant lui y'avait des représentants qui ont pu en faire aussi. mais là, il invite les gens à prendre l'apéro, y'a des p'tits fours et tout. il va certainement serrer des mains et descendre dans la salle. voilà, amusez vous mes p'tits choux
lawfort [crédit; lyrics par dean lewis - waves; icons by me.]
« all my reasons cut like knives
keep replaying in my mind
all the times i’ve had to fight
i'm still here
it's in my blood, it's in my veins
i'm still here »
nature : éclatante existence, dresse créature élitiste et primaire. ( human ) incarne force singulière, d'une conscience éveillée, il érige, façonne, domine.
saisons : tantôt douce, tantôt salée, d'accalmie puis cataclysme. le goût fugace, ( thirty-six ) éparpillées, suivante grignotée.
myocarde : écho triste des je t'aime jadis, bien avant que vestiges arborent paysage. ( lost under the sea foam ) dernière mer chevauchée par l'être tant regretté.
besogne : pourfend marées houleuses et sort vainqueur, digne impératrice ( navy ) . chants marins arborent ( the meteor ).
errance : ( ocean way ) de souveraineté, s'annonce en courroux, loi divine et salvatrice sur le restant.
S’embrasent vertus à hauteur cire chaude des chandelles décoratives. excentrée habituée mondanités sur lit fastueux de son spectacle hérétique. last time you were still here, and i miss your sarcasm. Enfance baignée, adulte passe en écoeurement. Observe objet de toutes ses admirations s’(a)donner aux jeux d’enjeux, paix sociale se joue, et en joue de surveillance : absentes perturbations et mieux se portent loyales richesses sous son halo, ville lumière en jour de fête.
que de fait, sait au-delà de leurs hauts rochers à l’instar de la haute noblesse s’y cache autrement réalité, ravale véracité. Jusqu’à présent décence apprête cérémonielle navy agrémenté dorure d’un nouveau ton. Drapé fige son symbole appartenance d’autant sa grâce suffisante dissimule horeur d’un voyage dont elle retourne. Blessure au cauchemar entâche la belle, et Alighieri fière érige barrière d’un mal nécrose sa faim mais de nulle fin. you were probably right, Doni. Implante à sa peine étouffée sous tenaces convictions. Surtout pas de vagues, amenuise celles qui doivent encore abîmer la coque du meteor. Et attend encore.
Billes azurées marquées éprouvées, recherche âme(s) sauveuse(s) pour que cerveau s’abandonne en d’autres fragrances que celles des douleurs. Entaillent autant loyauté aux camarades laissés sur place, que celui dont elle sent encore les effluves de son sang dans ses narines, que sa droite posture dont le côté gauche étire souffrance juste apaisée par quelques antibiotiques. D’une coupe en supplie le gosier, en seule traite à l’abri des autres regards subjugués par l’amiral qui ouvre bal en aménité pleine d’insanités.
résumé:
robin est revenue blessée quelques jours auparavant de son voyage depuis le meteor échoué sur barter bay jusqu’à lawfort. non sans perte bien sûr mais prise en charge par l'hôpital. (cf. par ici) vient le jour du fameux gala malgré elle et déplore sans le dire cet événement quand elle sait que ses camarades encore sur le navire de la navy qui attendent de l’aide et secours. Ca la rendrait un peu aigrie -en plus de la douleur. Néanmoins elle reste une Alighieri et pour l’occasion porte un tissu recouvrant sa partie gauche pour ne pas laisser voir les bandages. Bah oui, ça pourrait faire tâche au milieu d’une réception pour appeler à la confiance de la force navy, don’t you think ?
BREF, elle s’enquille une coupe pendant que l’amiral invite à prendre l’apéro, sentez-vous libre, quique vous soyez, de venir l’aborder.
Au bûcher des vanités, voilà que brûle ses illusions – rêves pieux engloutis par les flammes de la cité coruscante, consumés par la fournaise réalité. Nul changement ne fait trembler les hauts murs sous l'égide du nouvel amiral ; Lawfort demeure, immuable phryné drapée dans sa superbe, gueule larmoyante sous tous ses clinquants oripeaux. Il faut les voir, les crésus aux mines trempées d’émotion, doigts d'or et bouches tristes. Ô le drame qui frappe leur belle cité ! Voilà leurs égouts crevés à ciel ouvert, et eux forcés de contempler la misère ! C'est dogue déjà hargneux qui grimpe les marches de l’Éternelle, prunelles fermées aux merveilles qui s'offrent en faux soleil, raison mordante ordonnant de ne surtout pas apprécier le moindre éclat de la soirée. Bah – une étoile pourrait venir mourir à ses pieds qu'il l'écraserait sans la guigner.
Accompagné de sa plus belle pléiade, Bradbury flambante, diable ne saurait être plus mal assorti à sa cavalière. Oh, l'exquise créature pendue à son bras, qui exhibe rictus de perles blanches à chaque nouvelle tête, saluant au nom du Supernova les mondains qui viennent s'ébaudir. Terrain de chasse qu'il exècre, mais où l'éclatante ophidienne fait montre de sa plus fine ingéniosité. Si en mer elle n'est que subalterne dernière, ici, au sein des palais et des lumières, elle règne sur ses t e r r e s. Il faut la voir croquer et congratuler chacun, alors que lui peine à gerber quelque politesse. Carcasse tempête alors qu'il lui semble perdre un temps fou ; bacchanale stupide qui noie la ville dans son stupre et pour quoi ? Un impôt levé aurait réglé la question sans toute cette pantomime mais ah – quelle parade aurait-on exhibé, quelle générosité aurait-on congratulé ? Non, assurément, il fallait que la plèbe sache ô combien les privilégiés l'aiment et la couvent.
Pourtant, comme les autres, il y va de son petit discours, expressément rédigé par un obscur service de propagande. Pantin grinçant qui joue son rôle, mascarade éreintant une patience déjà abîmée. Et quand s'achève celui de l'amiral, ses applaudissent résonnent moins fortement que quelques mois auparavant.
Puis l'infernal ballet recommence. Soif vorace saisit soudain son gosier et, s'excusant auprès de sa cavalière, il va leur chercher de quoi l'étancher. Jusqu'à ce qu'il l'aperçoive. Frêle sous les chatoiements, reniflant vicieusement le sang, regard paumé dans le vague. The one who came back. Embryon de malaise qui surgit soudain pour l'autre enseigne du Meteor, qu'il comprime avant que n'éclate le moindre doute. Quoi qu'il soit advenu depuis le départ de l'Alighieri, elle aura su se débrouiller. Alors il harponne le flanc de la rescapée, senestre s'attardant sur une épaule découverte tandis que dextre serre une main offerte en réflexe. « 'Didn't get a chance to congratulate you since your arrival. It was no easy task to come back, and yet. You've managed to defy any opposing tide. » Gueule se pare d'un sourire sincère, puisant dans une empathie devenue ô si rare chez lui. « Well done. Now we just have to hope that the Meteor will find its way back, as you did. » (et, lâchant la pogne fragile, il va pour se détourner, mais, pulsion pique finalement compassion et –) « If I may – perhaps this terrible journey will help you reconsider some of your choices. Is leaving always the answer ? » Regards entendus, alors que pâleur s'étend sur la mine de la donzelle abîmée. « But – forgive my digression, now is not the time. I'll leave you to it ; have a pleasant evening. Enjoy, you deserve it. »
Et s'escamote le pendard pour aller quérir les coupes d'ambre convoitées, qu'il rapporte à sa pléiade sans une autre œillade pour la malheureuse enseigne.
résumé:
Ivar est de mauvais poil comme d'hab mdr, il est accompagné de @Margo Bradbury, qui, issue des familles mondaines, joue de temps à autre le rôle de sa cavalière. Il lit un petit discours qu'il n'a pas rédigé et applaudit vite fait celui de l'amiral parce qu'il est soûlé. Puis il va voir @Robin Alighieri , lui dit bravo d'avoir survécu et être revenue, et lui met un petit taquet perso (dsl c'est gratuit) avant d'aller se chercher à boire et retourner voir Margo.
aux parades des choyés, se veut danse de l’opulence. en superbe invaincue, navy aux graines voraces, impose gloire et artifices, face aux privilégiés et autres dandies, pour se faire noyer sous les esquisses de ces chèques aux arts sublimes, affichant plus de zéros que légion ne possède de guerriers. belle lumière sous la nuit éternelle, l’île se pare de merveilles, brille plus fort qu’aucun soleil, pour avertir monde croulant sous les larmes des étoiles : jamais ne flancheront, celles et ceux qui servent l’humanité. et sous ce regard de fierté, la main accrochée au bras de l’époux ayant transcendé la mort, se fait veuve de rien, bien que cœur pleure l’aimé, sous les astres artificiels, s’immole d’une flamme éternelle. femme d’un soldat, fille d’un soldat, mère d’une soldate. et amante d’un roi. est le noyau d’une danse couronnée de sa gloire, tandis que bouge sur échiquier des plus grands de ce monde.
as a lady, fears nothing. yet all she sees is fear itself.
sous clameurs des invités, abandonne bras de l’aimé, souligne de ses atouts, les convenances et les palabres mondaines, aux mots aiguisés comme aux sourires conviés, rien n’est vrai, tout est factice, à part message qui reste dans l’esprit de chacun : lawfort est forte. lawfort tient bon. lawfort sauvera. tant que suivent les poules aux œufs d’or, tant que chacun soutient l’armée. un monde de paix sous l’égide de la guerre, affronte cauchemars pour préserver le rêve. et sous paillettes d’une vie de fortune, mondaine à l’héritage éternel, ne peut qu’invoquer toute puissance de l’île et de ses patriotes. retourne alors compliments sur compliments, se plie aux aléas d’une mondanité qui n’a plus d’emprise sur elle, quand baigne dans ce vice aux pépites harmonieuses depuis déjà un demi siècle. ainsi, se fait spectacle d’une cour au service de la plèbe, face aux torts d’un monde qui s’assombrit partout ailleurs. mais pas à lawfort. jamais à lawfort.
and everyone must admit the show is up to the expectation.
pourtant, quand fille apparaît sous le regard d’une mère inquiète, attire moitié vers l’enfant adopté, la crainte encore présente sur le visage d’une muse, qui a bien cru perdre sa plus belle merveille sous les assauts de la nuit ravageuse. ne peut alors s’en empêcher, quand s’apprête à laisser parler mater en elle rob- mais surprend attaque sournoise, de la part d’un serpent aux formes humanoïdes. — if i may – perhaps this terrible journey will help you reconsider some of your choices. is leaving always the answer ? — et l’ire s’en mêle, quand comprend signification de ces mots cinglants, lames de rasoir dans l’organe de sa descendance. s’approche de l’enfant, ensevelie sous colère, quand aperçoit regard de celle qui s’évertue à ne rien laisser paraître. robin… ne sait comment réagir, pour la première fois de sa vie, face à la détresse de sa fille. et pose dextre sur la joue de sublime, parée aux larmes, quand l’opale se fige sur l’homme qui retourne son cœur et fait bouillir l’ichor. dear husband, please, stay by our daughter. i need to have a few words with someone. and hold my cup. laisse flute de nectar dans les mains du cavalier, quand délaisse famille pour aller parler.
roar the lioness, who can see no more the man in front of her is nothing else than a snake
et claquent les talons de cette furie humaine, pion de choix sur plateau mondain, sauf quand cruor se fait abattre de la sorte. captain volkov ? d’un sourire, attend qu’il se retourne vers son visage, n’affichant que bonté mélodieuse aux mortels qui s’y attardent, pour laisser paume claquer avec rage camouflée sur la joue de celui qui s’amuse avec le cœur de sa plus grande réussite. et sous scandale frappant l’assemblée, d’une salle hypocrite face au dévouement des grandes causes, ne cache en rien cette claque sous ses doigts fins, ni ce rouge vif sur l’épiderme du mesquin. would you like to be the face of the night ? i might be able to give you a good look since you seem to have forgotten your manners. et jamais beau sourire ne désemplit le visage de celle qui se montre flamboyante en tout temps. mais sous rétines ravageuses, ne laisse aucun doute possible à celui qui croise son regard.
nothing can save you from an angry woman.
scandale incoming ~:
sooo, bella arrive à la soirée, avec son époux et cavalier, @marek vogelsang et fait ce qu’elle sait faire depuis toujours, parader, parler, et signer des chèques (ptdr), mais quand le regard se pose sur @robin alighieri, sa fille, elle retrouve ses inquiétudes (braver les mers en solitaires pour prévenir lawfort, bella est inquiète pour elle) sauf qu’en allant la voir, elle surprend les derniers mots de @ivar chernobog (rip bro, dit deimos), et, bien trop en colère face à ses paroles, ne peut plus se contenir, bien que sa raison lui hurle de ne rien faire. elle va donc voir ce dernier, pour lui faire une belle proposition, tout en lui donnant une jolie teinte, avec une jolie gifle. (love you hein). mais ce, tout en gardant un grand sourire, car c’est la fête quand même.
lawfort [crédit; waldosia (icon)]
_____________________ the choice was once your c h o s i n g, before losing became my loss. i was there in your forgetting until i was f o r g o t.
nature : ( humanité ) dissimulant monstruosité par chest candy fierté sur poitrine fêlée.
saisons : père temps s'entiche de mortelle, observe néréide supporter ses ( 40 ) annuités, Damoclès en bourreau car créature fragile est vouée à létalité.
myocarde : ( veuve ) en linceul, l'éplorée sanglotant perte du bien-aimé dérobé.
besogne : courbe échine en incantations de ( navy ) fierté masculin(e) héritage pater, couronnée des lauriers déposé par l'Aîné admiré. ( vega ) caresse âmes pour assouvir suprématie.
errance : terre de fille d'Ève en splendeur, c'est ( lawfort ) qui révèle fausse candeur.
bal des gargantuas, gobeurs de misères, déchireur des cieux. tous clamant grandeur, mondains glorieux se font beautés pour cacher les atrocités s'étant glissées dans le creux de leurs épaules. accrochées tel diablotins, elles sont paires d'ailes invisibles pour les infamies qu'ils sont. fille Knox baignant dans univers sien, glorifiant les adorés et les bienfaiteurs, souriant aux familiers et inconnus, car tous clament amour navy partagés. discutaille avec curieux, ne cède réalité, dissimule secrets. manipulatrice de ce plan, tirant ficelles pour faire rugir l'écho d'une suprématie humaine adulée; d'une supériorité chérie et clamée. trempe lippes dans liquide amer, s'indiffère de l'alcool présent, savoure ce qui ravage ses papilles à défaut de vivacité lassée. observe des iris glace altercation, frémit de dégoût pour s a u v a g e r i e indigne de qui ils sont, de ce qu'ils représentent. eux les couronnés des lys, enveloppés par uniformes et fierté qu'ils ne dissimulent que maigrement. commodore s'élance, virevolte à travers invité, s'excuse de l'indélicat abandon qu'elle offre. car ô misère, les aînés ne sont qu'enfantins dans cette mascarade dorée. " Excuse me... May I remind you what you two represent? Since both of you seems to forget, you are the navy. " grincerait dents si sourire de royauté ne dissimulerait embarras. " This is a charity gala, not an arena. Do not act like some childish gladiators, you are mature enough to be civilized and have goods manners, right? " crache remontage de bretelles pour éviter au roi salissage de mains; celle responsable des chairs à canons, des suppliques et grognements offre fessée politique aux sauvageons. " You're not only embarrassing yourself, you're embarrassing the Admiral. " perd sourire quand affront retentit dans psyché dérangée, paupière d'une iris droite tiquant. " If one of you have anything to say to me, do not hesitate to come to my office later to speak about it. Let's not make another show here, this is not a circus. " zieute tour à tour les deux effrontés avant de jeter regard au loin à un amiral occupé pour retrouver sourire éphémère. " Now please, have some fun. The party has just begins. " et divine s'évapore, invitant madone à faire de même et rejoindre époux. délaisse les malpropres pour rejoindre les adorés, saluant d'un geste lointain de la tête une soldate abîmée; dans un respect silencieux, congratule courageuse de se montrer, car endocarde doit saigner de tragédie à la saveur de l'humiliation.
un peu de sérieux dans ce chaos ,,:
dalia était en train de faire la discussion avec des mondains avant de voir la scène entre @sybella vogelsang et @ivar chernobog, s'excusant auprès de ses invités elle décide de s'inviter dans la confrontation (en ignorant totalement margo d'ailleurs snif) pour rappeler à nos deux loustics que c'est un gala de charité, qu'ils représentent tous deux la navy en plus de faire honte à l'amiral, et qu'ils doivent ainsi se tenir comme il se doit. et si son intervention pose problème, qu'il n'hésite pas à passer la voir dans son bureau à la fin de la soirée au besoin. elle retourne en suite à ses bourgeois adorés, non sans saluer @robin alighieri d'un geste de la tête au loin. espérant en même temps que cette baffe se fasse vite oublier...
lawfort [crédit; icon. by. vocivus.]
_____________________
--- „ all ended with her eyes, Hell, Purgatory, Paradise. “
___ mélusine aux fourchues, pendue au bleu brachial en or trophée; de l’olympe déchue, chérie de minuit est pythie à poudreuse de fée. précieuse fardée de mille joyaux brille comme l’étoilée merveilleuse, insidieuse vipérine aux lèvres carmines — car encre rouge sera versée.
___ cancans et beaux chants; sous belles dorures, sales crevures panorama de scandales par coeurs à rancoeur vandale _________________________
___horizons qui les séparent, pourtant d’un même soleil ils se parent; chaleur glace l’échine au toucher du saphir — il est magnétisme chaos, cieux électriques contre sa chair de soleil fragile. mondanités s’évanouissent un instant pour lui; mais soudain éclats ravivent céruléennes cristallines de femme satine. « oh husband, do you sense it? it’s palpable — a celestial strike is coming. » rengaine l’homme et dégaine clapet à lentille allumée; joue fardée de fines phalanges immortalisée pour plaisir électrisé. « gotcha. » face grimée de jouvence, appuie chaque phonème à outrance pénible. ___défaite de l’époux, rabat renferme cliché d’or pour rejoindre pochette sous creux d’aile et laisser aux serres de quartz l’occasion d’applaudir spectacle. iris alentours se font phares au milieu de la houle, attention rivée sur noblesse faiblesse. « marvellous; really a t o n i s h i n g — sybella my darling have you ever thought to be an actress? » bouche en sourire sans coeur, néréide au poitrail vide se poudre d’une fantasque adoration. « such power and beauty in your emotions, i swear it shows on screen — you could make fortune of that face. » if not already. fusille dans silence reine de douces violences, alors que coudée exagère l’apostrophe à l’amie d’argile. « robin, please come-come! if you have every reasons to feel alone tonight, you have none to really be alone; standing there by yourself like a lost puppy …it’s more than i can take. » charité cruelle, odieuse est pourtant si merveilleuse de visage et de voix sage. « remember, we are ALL h e r e for YOU… » instead of for them, apparently. chahutent implicites au venin serpentin, aux scrupules de surface sur porcelaine de glace. mais nymphe fléau poursuit l’odyssée comme à l’aise dans ces eaux écarlates. « and dalia, sunshine — it’s been a while. » or crochets rejoignent la hanche et se lient en rosace de chair. regards se croisent et se toisent, sondent et se confondent. « and yet, you a l m o s t look the same. » découpe syllabes aux couteaux osseux de ses canines vipérines. i’m gonna take you down one day, you cannot hide from me.
résumé:
bon velvet fait du grand melrose, elle débarque au bras de @maxwell melrose et flair le scandale. sort son téléphone à clapet (à l'ancienne on aime) et guette le moment pour finalement le prendre en photo. elle s'approche d'eux et sauce faussement @sybella vogelsang pour lui faire comprendre qu'elle l'a prise en photo, puis elle appelle @robin alighieri en essayant de l'entrainer d'un geste de bras faussement sympathique... les paroles parlent ensuite d'elles mêmes MDR; puis elle s'attarde enfin sur @dalia knox en ne la laissant pas en reste. ofc petite pique pour lui rappeler qu'elle est sur son dos. tandis qu'elle pose un peu comme une star (oui elle touche pas dalia mais elle-même je précise au cas où c’était confus mdr)
@lawfort
_____________________
WIDE AWAKE
does my existence make yours worth less? does my presence make you restless?
Some say that we are players Some say that we are pawns
a i n ' t  n o  s u n s h i n e
Vanité des vanités, tout n'était que vanité. Sa loyauté lui interdisait tout cynisme, mais à voir cet excès de faste et de luxe, il ne pouvait que se demander qui était assez sot pour croire à ce jeu de dupe. Tel attroupement, tel apanage, telle débauche de moyens et de richesses avait tout d'un chant du cygne. Mais - gardons nous de tout cynisme ; au coeur de la Citadelle des Lumières, tout ce qui brille est d'or.
Frac noir d'encre relevé de volutes et branches brodées d'or, le mari faisait la paire au bras de sa femme ; l'un parfait complément de l'autre. A l'image de ce bal fastueux, là aussi tout était dans les apparences. Il avait beau pester, lui-même faisait partie de cette grande mascarade qu'il le veuille ou non. Lui qui avait vaincu la mort par deux fois, il avait été fait ode, symbole de cette Navy victorieuse face à tout et à tous. Il ne s'appartenait plus. Et sa fille, tout juste rescapée de sa propre épopée, suivait vaille que vaille les pas de son père. Face au danger, il constatait plein de fierté et d'amertume qu'elle se faisait plus Vogelsang qu'Alighieri. A son grand damne.
Fort de ses résolutions où la sobriété était le maître mot, Marek était au régime sec. De fait, bien que le spectacle de sa femme ainsi vêtue était un ravissement de chaque instant ; il s'ennuyait ferme. Sans remontant, ces sorties mondaines étaient aussi stimulantes que ces interminables heures de quart un soir de brume. Ses horizons et perspectives ne s'animèrent que lorsque sa lionne de femme lui confia sa coupe, le feu d'une mission animant ses yeux fardés.
La claque résonna dans l'air chargé de rumeurs, mais très vite son œil fut attiré par un scintillement aurifère. Là, à sa droite, on avait capturé l'instant. Il détailla la coupable du regard et reconnu la rédactrice en chef d'un torchon sinistre. C'était une sorte de grande fleur au charme vénérien, malgré la distance il en imaginait le parfum capiteux. C'était là le genre de fleur qui ne proliféraient que sous ces climats mondains où les ragots étaient l'unique monnaie de valeur. Au moins, elle lui épargna le fait de se déplacer à elle, puisqu'elle eut ensuite le culot de se rapprocher de sa Bella. Par jeu, il se permit une gorgée avant d'emboiter le pas au groupe qui se formait.
Trad dialogue en hover. Marek se fait pavaner comme le trophy husband qu'il est et ne se réveille vraiment qu'en voyant @Velvet Melrose prendre une photo sa meilleure moitié dans un mauvais moment. Il lui intime alors de la façon la plus urbaine qui soit d'effacer la photo en question.
Invité
Dernière édition par Marek Vogelsang le Jeu 22 Fév 2024 - 19:07, édité 1 fois
they should know whom to blame when the sky falls down upon them
( music | moodboard )
nature : noyée par sa mélancholie faisant taire sa furie, humaine gravée dans un marbre effrité au milieu de ruines familiales amoncelées en ravage destitué.
saisons : saisons trépassées depuis (( quarante-cinq )) années, elle les voit ainsi, inlassablement défiler sous son regard assombri d'épreuves accumulées.
myocarde : mari éteint, astreint au silence du défunt que l’océan a englouti dans le secret de sa faute pêcheresse. (( veuve )) aux yeux de la mondanité.
besogne : représentante de l'autorité aux futures générations à l'innocence bafouée; directrice adjointe de l’école de guerre et enseignante de sciences naturelles.
errance : l’île de naissance et de toutes les possibilités, (( lawfort )) comme résidence en éternelle souveraine de ces terres.
Simulacre de bienséance sous couvert de charité dont les invités se pavanent sous leur masque rehaussé de sourires aux traits immaculés. Arrivée au bras du frère aimé qu’elle délaisse pour les salutations proverbiales lorsque les premiers visages sont rencontrés. Sur la table des tutélaires de bourses prolifiques, l’Ackerman providentielle reste aux aguets lors des discours guindés des représentants de la navy fortifiée lorsque les coulisses étaient en réalité secrètement endommagées. Cérémonie tartuffienne aux relents fallacieux, signe son premier aumône pourtant d’une probité décevante face à l’atmosphère électrique d’hostilité. Un son affriolant lui fait alors détourner le regard vers une tragi-comédie insoupçonnée. Une seconde suffit à lui faire comprendre la tournure de la scène où reconnaissance immédiate de sa collègue envers l’ancien camarade à l’affection gâchée semblant être victime de la véhémence de la représentante des étudiants statufiée. « Dear lord… » Champagne attrapé au vol sur le plateau d’un serveur passant devant son chemin qu’elle détourne lorsque l'œillade capture vega accentuant la théâtralité du fiel macéré.
« The navy in all its glory. » Ingurgite longue gorgée tout en s'immisçant dans le chaos des tromperies et de la bienséance mal-pensante. Croise la commodore en l’abordant d’une courtoisie amicale en proie à la hyène s'esclaffant du troupeau agglutiné. Profitant du moment où le confrère la prend pour cible, l’enseignante s’octroie promiscuité pour détacher la vega du tumulte, murmurant discrètement opinion de son intervention digne des plus haut pédagogues avérés. « Hopefully you were nearby. But too late to prevent gossip from spreading. » Désigne du nez serpent ruisselant entre les drames provoquées des dignitaires ainsi réunis. Un rapace au milieu des loups mordant leur animosité à en oublier que les volatiles rôdent sans pitié pour se nourrir de leur carcasse faisandée. Quitte compagnie salutaire pour se diriger vers sa collègue tandis que le mari continuait à brandir bouclier d’acier. Silhouette s’échappe du scandale tout en posant un regard de glace sur le capitaine jadis allié contre vents et marées. Bourrasque ayant changé de cap, sororité dominante à l’encontre de la rancune macérée au détriment de l'affection enterrée par les années. Détache Vogelsang à la main empourprée pour une nouvelle confession à voix marmonnée. « Between you and me, he surely deserves it. But next time, be smarter; wait for a lesser crowd. » Mirettes valsent sur l’enseignante jusqu’à déambuler sur l’horizon de marée humaine dont les regards les plus proches s’amusaient encore de la rixe improvisée de la madone à la grâce détériorée par aveuglante colère malsaine. Comportement houleux lui fait rappeler fraternité qu’elle a délaissé au détriment des drames s’accumulant à l’encontre des volontés encadrées. Cherche ses frères disséminées non sans inquiétude pointée, les traits tirés en analyse des silhouettes s’entremêlant de l’ambiance enflammée.
résumé:
pia arrive au bras de son frère @deimos ackerman , écoute les discours, puis commence à signer ses premiers chèques c’est bien pour ça qu’elle est là mdr elle est loin de la scène de la gifle, mais elle l’entend bien, elle se retourne, voit que sa collègue est impliquée, met pas longtemps à comprendre que ivar s’en est pris une, pia en mode blasée parce que ça concerne fatalement l’école du coup, elle voit @dalia knox leur faire la morale et ça lui plaît un peu mdr (l’autorité i mean) (c pas un kink laissez la quoique) elle s'approche pour remercier dalia puis arrive pile quand @marek vogelsang fait la morale à velvet, et vu que pia la connait pas elle la juge F.O.R.T. (mais en silence) puis détache dalia du tumulte pour bitcher un peu. ensuite, elle va voir @sybella vogelsang pour tenter de la rassurer et en parlant de drama, son instinct de sœur lui fait penser à ses frères. voilà, elle sert à R, mais elle a une jolie robe, bisous.
@lawfort [crédit; icon (c) renegade]
_____________________
-- "You know, hope is a mistake. If you can't fix what's broken, you'll go insane."
chaque nuit, les lambeaux d’son esprit errant retranscrivent ses maux et transforment ses silences en murmures.
nature : armure (in)humaine fragile & passionnée pour mieux faire face au règne des créatures qu'elle abhorre.
saisons : encre déroulée sur trente-cinq feuilles qui flirtent avec les sommets
myocarde : (é)prise de celui qui ne lui appartiendra jamais. parfois s'(a)donne en offrande à des corps en demande. compense les frustrations comme elle peut.
besogne : ombre de l'amiral de la navy, elle anticipe, assiste, persiste et signe à chaque demande. la tête dans les papiers, les retranscriptions, les livres et les archives pour mieux servir l'avenir.
Dans l’ombre du plus grand des hommes réunis ici, les nerfs se détendent légèrement quand les applaudissement retentissent enfin pour honorer discours si bien préparé. Et c’est dans l’organisation millimétrée dont elle s’est faite maîtresse qu’elle guette le moindre faux pas, dans le ballet des serveurs, au milieu des tables délicieusement achalandées : elle scrute parades, tout en restant renarde à sa suite, à l’écoute et disponible au moindre désir de l’amiral. Quelques mots à son oreille quand elle détecte doute sur identité de quelques convives à saluer. Et elle aussi, sourit, chaque mot divinement placé, gracile geste de tête quand elle retrouve mondain·es familières. Cirque qu’elle ne connaît que trop bien, biberonnée aux festivités obligatoirement dorées, admirant sans cesse les uniformes militaires embrasés par les médailles épinglées. De quoi impressionner badauds de l’île lumineuse. Mais la mission de séduction se voit vite entachée d’un premier désordre. Rien de trop surprenant finalement quand cela vient d’un cul-terreux. Et quoiqu’il ait dit, il attire foudre et gifle. Mais l’attention reste accrochée à sa stature, en appelle durement aux souvenirs récents annonçant aux Yates la disparition d’Adonis. "This man should not be in the Navy…", murmure glacé à elle-même serpente hors de ses lèvres. Elle se ferait volontiers juge et avocate pour le condamner. Coupable d’avoir perdu marin en mer, coupable de ternir l’emblème de capitaine, coupable d’être lui et bouseux à ses yeux.
Autour d’eux, regards voyeuristes et messes basses se propagent en traînée de poudre parmi les plus proches spectateurs de l’esclandre. Le jeu des egos froissés et fiertés bousculées s’empare des supposés dignitaires. Flammes lumineuses qui vacillent et rappellent que rien ne reste brillant bien longtemps dans ce monde. Même l’or s’écaille. Surtout en ces temps incertains où rassurer devrait être priorité, c’est des hommes et femmes divisés qui se révèlent malgré les remontrances de Knox et le flegme piquant du mari Vogelsang. Oeillade sur son amiral. "Sir, should we intervene or are we letting the children play?" Distractions des sens, appel aux besoins primaires : elle prend tout de même l’initiative de signaler discrètement aux musiciens de reprendre leur partition, aux serveurs de disposer les premiers plats, diffuser plus d’amuse-bouches... "Would you like a moment with Miss Melrose? Perhaps we could offer an exclusive interview?" Dompter serpent en lui susurrant directement un chant s’annonce impératif. Heureusement, représentante noble famille Ackerman participe à l’éclatement de l’attroupement avec un naturel qui s’impose en douceur. Sourire qui file. Comme un rappel qu’il y a des lignées sur lesquelles on peut compter, et qu’un vrai capitaine doit encore se montrer pour enjoindre Navy à afficher plus de dignité.
« all my reasons cut like knives
keep replaying in my mind
all the times i’ve had to fight
i'm still here
it's in my blood, it's in my veins
i'm still here »
nature : éclatante existence, dresse créature élitiste et primaire. ( human ) incarne force singulière, d'une conscience éveillée, il érige, façonne, domine.
saisons : tantôt douce, tantôt salée, d'accalmie puis cataclysme. le goût fugace, ( thirty-six ) éparpillées, suivante grignotée.
myocarde : écho triste des je t'aime jadis, bien avant que vestiges arborent paysage. ( lost under the sea foam ) dernière mer chevauchée par l'être tant regretté.
besogne : pourfend marées houleuses et sort vainqueur, digne impératrice ( navy ) . chants marins arborent ( the meteor ).
errance : ( ocean way ) de souveraineté, s'annonce en courroux, loi divine et salvatrice sur le restant.
Qui de coupables ou victimes étaient-ils ? S’ils ne sont plus que loups ou moutons. Blessure vive, lésion éclate encéphale et bourdonne ouïe d’un lointain souvenir.
Abat la tranche, coup en plein cœur ramène mer(e) de sa violente aux ressentiments. Céruléenne noie sa peine. Lui pour trouver cible aux balles traverses. Audace permet son interdit d’une bouffée qui rassis. He, who led you to your ruin, could give no other meaning to our downfall.
Phalanges marternent, arrachée torpeur esprit à la brèche sous habile bile ravalée. Sous temps latent dépasse trépas, d’un genou ployé jamais du deuxième. Consterne assemblée manière talochée sur capitaine, et nom immédiatement entaché, tel jouet de mondanité que pouvoir sur leurs pairs d’un semblant et d’un rien tout faire s’effondrer. Rumeurs accélèrent, et fille accuse sa suite, d’autant résonance que le coup devait ré(ai)sonner faciès évincé. Dynasties branlent au plafond de verre pour que tombent les masques. Petite chaleur encourage, cœur en rage, dame loyale, d’autant que chaque insomnie qu’elles se sont accompagnées. Chair à chair, de ces entrailles qui ne sont partagées mais d’un même myocarde elles battent.
you are blood you are pain aegis protects sword cuts down
Agite les billes sur les visages abaissés pour ce qu’ils savent faire de mieux. Attire attention sur anthropomorphe vautour, externe beauté scintille, malhabile interne en écoeure et acère le bec. Appel en ordre, glisse la chandelle et feu déployé, cherche étouffement difficile pour quelques essoufflements supplémentaires sur oxygène attise sa braise. D’un regard penché sur vega, emboite oncle pour père, silence persiste mais talons frappent au chant de sirène dégoulinant poison mortel. Enracine arène au cor d’une guerre profile, bannière plantée qu’il faut écourter. Crocs assènent, mâchoires referment sa hargne, qui du mari ou du père. « Uncle, i think Madam Melrose had a professional failing. A boldness that she may not yet know how to control. » D’un autre sourire au respect immerge dans ce bain aseptisé, pare charme soldate revenue d’entre terreurs pour une autre. « But I have no doubt that she has no intention of harming anyone. Not to a fleet captain, or to the generous benefactress who’s mother. » Prend suite serres Vogelsang dans le velours Alighieri, ronge frein de quelque émail accordée à la femme du juge. « But I thought you were here as a guest, Madam, and I had no idea that you were so keen on... What did you call it ? — Oh, your livelihood. » Courtoisie à l’appréciation des uns des autres. Pommade applique sa pâte pour montrer patte. « I want you to know, Madam Melrose, that I am touched by your care — It’s more than i can accept. » D’une autre maîtresse vocable impitoyable d’un mot après l’autre, d’épines à la rose, sur laquelle poser le doigt. « Please take this opportunity to pass on a piece of it to Lawfort, which also had to weather this storm like no other. That's what we're here for. » Pommade applique sa pâte, et finalement coup d’une grâce. « ‘see, I can't feel alone because I have the honour of wearing the uniform of the navy and the first values of the city of light. Rather than wearing just a name, however glorious it may be. — By the way, it's a pleasure to see you after all this time Sir. » Dévolu regard, résolue épaule de compagnie et nostalgie, en direction de son plus vieil ami. Assure arrières que trop fragiles en cet instant. Pour autant face regagne place, celle à la loyale fierté apprise par père d’une, aussi grand-père d’autre, ancêtre illustre en allégeance, partagée par encensée descendance.
you were definitely right, Doni.
Silhouette de son élégance à la parure immaculée porter courant d’un nouveau genre et souffle vent sur instigateur porteur de fière allure mais à la disgracieuse trace écarlate agrémente son costume. Qui du prédateur ou du gibier. « Mother, there's no harm done. It would be tempting to blame the few ignorant people who are incapable of understanding realities that aren’t their own. » Intention d’adoucir la non-génitrice, ô combien plus importante encore, tante qui l’avait élevée. Une pression légèreté à l’épaule du bras valide et accorde aux lippes ô douceur à l'orgueil d’être son héritière. En quelques sortes.
Retourne dès lors lueur finement rougeoyante, de nouvelle ardeur au fond mer(e) déshydratée, de larmes qui n’arrivent plus à couler depuis cette fois-là, dernière où ce même homme a sonné le glas d’un deuil qu’elle ne parvient à pardonner. « As high as I hold you in esteem, Captain Volkov. Maybe you'll learn that some leaving save lives rather than kill them. » De respect attribué ne cache qu’à peine sa peine, désuète insolence dont on ne l’aurait pas estimée. Avait-il fini par éveiller un nouveau genre qu’elle n’aurait pas soupçonné ? Comme d’un fait exprès, l'œil balade en arrière pour y trouver visage à presque inconnue, pourvu de cette lueur qui manque au paysage. Miss Yates. Aux côtés amiral mâchoire qui claque canines, qu’enfin apaise d’un semblant souffle meurtri et se résigne. Réajuste sa dorure encapée et fuit regard de son éminence, dérange au fond de la gorge avant d’entreprendre nouvel assaut et réfugie au moins pour abreuvage plutôt qu’amère soif, sur la trace de sa tante, de laquelle fera plutôt épée ou bouclier.
résumé:
c’est un carnage. voilà c’est tout. plus sérieusement, elle commence par acquiescer l’attaque sournoise et ô combien petite dans son état émotionnel et physique faite par Ivar. Elle se laisse dépasser par une mère prenant les devant sans vraiment se rendre compte jusqu’à… cette fameuse claque. Elle commence à se rendre compte et observe les réactions. Elle ne loupe pas l’oeil accordé à Dalia Knox. Elle finit par emboiter le pas de @Marek Vogelsang à qui elle adresse un mot à propos de la vipère qui a pris la photo avant de finalement s’adresser enfin en direct à @Velvet Melrose. Décidément prise d’hypocrisie bien comme il faut et semble même jouer rôle du “gentil flic” (on grossit le trait) contrairement à papa marek. Elle finit même, d’un aplomb qui lui sied si bien par adresser une salutation pas piquée des hannetons à @Maxwell Melrose jusqu’à ce qu’elle finisse par détourner le regard croisant la magnifique Olympia Ackerman mais sans rebondir sur le soutien à demi mot puisqu’elle ne l’entend pas à sa mère. Vient enfin une attention toute particulière donnée à @Sybella Vogelsang qu’elle regrette être dans cette situation mais inévitable : il ne faut pas perdre la face alors elle se permet une audace toute trouvée destinée à cette belle arène où se reconnaitront certains visés par ses mots hum velvet et ivar. C’est en fin de compte qu’elle attrape courage et l’insolence adresse à destination de @Ivar Chernobog pour finalement laisser son regard trainer jusqu’à Mackenzie Yates, son deuil -pas fait- la remuant encore bichette mais surtout sur l’amiral, l’obligeant à tenter de ravaler une certaine rancoeur pour cette fête organisée… Qui tourne décidément au désastre.
@"lawfort" [crédit; ethereal]
Robin Alighieri
Dernière édition par Robin Alighieri le Jeu 22 Fév 2024 - 18:57, édité 1 fois