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Accueilpour nous soutenir! ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà... origine v.1 btt; thème       -- pétrichor ;; ( njáll ) Sibbe Varvik  ( DEATHSTALKER ) faceclaim & © : t. sofie loch næss. ft. (QUEEN) lux. F L É A U “…You will witness true horror…” nature : dégueule humanité et embrase monstruosité; ( kraken ) domptant mère saline. saisons : faucheuse ensanglantée de ( 27 ) trépas. myocarde : derme frissonne sous les slash des lames, ( solitaire ) pour mieux meurtrir. besogne : avaleuse de cadavres, dévoreuse de carotides tranchées, ( chasseuse de primes ) à l'appétit vorace. errance : sans foi ni lois, calque symphonie du vagabondage en errant sur les ( flots ) de l'enragée. # Sam 2 Mar 2024 - 19:33  the god of fire descends to light the forest, to fill you with what hollows. everyone you meet you scorch. ❝ O my enemy, Do I terrify? ❞ luxure en cassure, bavure de Gargantua jamais rassasiée. souille de son être damnés arpentant chemin escarpé de son sillage, ne laisse que brisures sur leurs carnes dévorées. chienne ardente à la cruauté sanguine, loyauté et bon sé(r)vices en échange de souillons solarions épongeant les méfaits d'une affamée ne s'attardant sur ses brutalités. à la gloire d'un kraken ravage elle se fait lame, tranchant et sectionnant; épouvante des songes, elle est chimère des mers, où murmures chantent ses atrocités commises, monstrueuse est mythe. In this light the blood is black. Tell me my name. chante louange à la déchéance, se jette dans crasse l'ayant vu naître. crachée de la putain sans nom, taillée dans l'ichor, modelée par pater acharné, destiné scellée par Frigg terrifiée. monstruosité en armure ensanglantée, ne laissant stries d'une humanité longtemps oubliée et empoisonnée. car ne reste qu'hybridation glorifiée, haine glissée dans les os en mémoire des ancêtres sacrifiés. de ceux humiliés et oubliés elle se fait némésis, vengeresse baronne n'oubliant passé. et si carnassière ne se fait loyale pour parias; ne cesse promesses aux siens glorieux espoir d'un futur conquérants, piétinant mécréants et flagellant canidés les suivant aveuglement. And all of my devotion turns V I O L E N T colosse d'acier, tourmenteur du péché inavoué. psyché vrillée envahie des slash du canonnier s'incarnant farwynd; laisse sur sol suie l'immolée par étreinte aberration. pourfendeur de sa mémoire, n'est en paix que lorsque ichor se voit couler. violence sur poings fracassant dentiers et nez; botter culs à s'en oublier. démolissant et s'encastrant par fessées; car n'est pas éternelle dominante dans confrontations, folie s'emportant en furie. tape entrée dans taverne; s'impose tandis que carmin sur lippes bouffées s'écoule toujours. victorieuse d'une rixe; arborant fierté du combat. assoiffée affamée est la monstruosité jamais rassasié, bouffeuse des entrailles, cannibale se pourrait mangeuse de chairs si âmes n'étaient pas moins délectations pour ses sens. "Hey you -- s'indiffère de l'être, n'appel que chien pour satisfaire besoin. give me something strong to drink, fast." impératrice ordonne, servant s'active. renifle pourriture de taverne malfamée, que tarés pour fréquenter endroits noircis par cruor séchés. avachie sur comptoir dégueulassé, observant des iris océaniques faciès, tsunami qu'elle incarne avalant pauvres noyés s'attardant trop longtemps. "No fuckin' way..." sourire carnassier s'incarne sur faciès sanglant, attrapant chope d'une de ses serres, sale vipère. "Long' time no see, huh?" plante cul sur siège à table solitaire de l'homme vicié, souillon de ses cuisses dans lesquelles il s'était abrité. "Strange to see ya' alone, 'but maybe you were waiting for me." ricane garce; s'enfile gorgée du liquide ambrée, observant l'oublié incarné dans sa chair. affection dissimulée d'une joie languis de son essence, créature n'est que chair et pourriture, ne ressent que tortures et blessures. @njáll farwynd [crédit; gif. by. mojogifs. | quote. by. sylvia plath.] Njáll Farwynd  (( m i s e r y )) faceclaim & © : jordan patrick smith ; (av: lux) sign (vixen) p y r o ‷ our dead drink the sea. ‴ nature : l'encre noire des krakens coule dans son sang-mêlé. hybride enorgueilli par l'héritage séculaire d'une caste qu'il aime louanger. saisons : trente-quatre vagues viennent secouer le navire fou de son existence enténébrée. myocarde : les femmes qu'il aime autant qu'il méprise. amateur d'hétaires jobardes, esclave de sa libido, son cœur lui ne chante pas l'aubade de l'amour. besogne : ((black veils)) piraterie dans l'ichor marin, canonnier pyromane, traqueur allumeur de feu à l'artillerie lourde pour mieux toutes les harponner. # Dim 3 Mar 2024 - 14:09  (( p é t r i c h o r )) seiche desséchée, les tentacules meurtries par les rixes et la gorge assoiffée. gredin jobard par la danse macabre des escrimeurs calanchés dans le rhum frelaté et les poitrines de putains décorsetées. les meurtrières cérulées venaient balayer la taverne miteuse qui empestait de cet agglomérat ordurier, plèbe poubelle, déchetterie d'un humanisme décadent venu dégobiller bile belliqueuse entre deux chopines pour mieux caner sans mémoires — les légendes condamnées pour les badauds monstrueux et désillusionnés. canonnier encaissait sans broncher le feu des poings acharnés sur son faciès tatoué, attrapant le responsable par la nuque afin de lui faire embrasser le plancher dégueulassé pour mieux le faire goûter aux affres de sa rancune empourprée. le kraken au nez éclaté laissait finalement tomber lourdement son cul damné sur le banc des victorieux, géant d'acier admirant marin agonisant dans le cloaque carmin répugnant de cette vie esthétisée par le sang, la merde et la violence fangeuse louangée. un peu de sel sur les plaies, le sourire conquérant noyé dans la bière en laissant les vagues obsidiennes déferler dans ses méandres bellicistes pour enfin retrouver quiétude éthylique dans les ténèbres de son esprit ravagé sans savoir où jeter cette putain d'ancre rouillée — apanage des écumeurs fous enténébrés. belles-de-nuit insulaires, hétaïres aux lippes trop peinturlurées laissaient le golem placide sous leurs baisers misères. prêt à vider ses bourses mais pas celles qui contenaient ses maigres solarions. après la guerre la libido chantait les envies pernicieuses et éphémères. cœur de mouscailles, njáll se contentait de décocher quelques œillades sur les dames gouailleuses dénuées d'écailles, ignorant les mirettes enjôleuses pour retrouver le calme de l'horizon par la lucarne encrassée. affranchi de l'ennui par sombre chasseresse valkyrie, remembrances échaudées venaient flotter dans les songe-creux du bâtard impie. babines dégoulinantes d'un fiel d'alacrité, zieutant sans gêne les courbes féminines de la méduse aliénée. belle dans sa folie, presque surpris de la savoir encore existante dans cette foutue tribulation nommée vie. le géant étendait ses longues jambes, grattant sa barbe fournie tout en soutenant le regard de la joliesse magnifiée par les lumières tamisées. « damn. are you a fuckin' ghost or somethin'? glad you're still alive beautiful. » impossible de refuser une telle compagnie tandis qu'il faisait signe à la serveuse d'apporter une bouteille pour fêter les retrouvailles bancales. « maybe yah. you left me with some great memories. even if i can't remember who fucked the other one that night. » franchise dépourvue de poésie, rictus noyé dans le godet, le kraken à la gueule ensanglantée venait mollarder un crachat carminé dans un coin de la pièce, ignorant les bonnes manières à force de coexister avec un équipage dépourvu de féminité. « so ? who will die tonight? or you are here to drown your loneliness like the rest of us. » aux paroles s'ajoutait les actes en vidant son verre sans dévisager la dame de fer qui refaisait naître les cendres de cette nuit qui continuait de brûler dans son esprit — l'âme incendie et le myocarde crasseux alangui.
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Sibbe Varvik ( DEATHSTALKER ) faceclaim & © : t. sofie loch næss. ft. (QUEEN) lux. F L É A U “…You will witness true horror…” nature : dégueule humanité et embrase monstruosité; ( kraken ) domptant mère saline. saisons : faucheuse ensanglantée de ( 27 ) trépas. myocarde : derme frissonne sous les slash des lames, ( solitaire ) pour mieux meurtrir. besogne : avaleuse de cadavres, dévoreuse de carotides tranchées, ( chasseuse de primes ) à l'appétit vorace. errance : sans foi ni lois, calque symphonie du vagabondage en errant sur les ( flots ) de l'enragée. # Dim 3 Mar 2024 - 23:08 the god of fire descends to light the forest, to fill you with what hollows. everyone you meet you scorch. bloody, raw, nerves hanging out all over the place, stupre nauséabond enveloppe naseaux sanglants de baronne faucheuse, grimacerait si chienne nierait en être engeance. spectrum ondulant au milieu d'un chaos ambiant, règne déchéance adorée et lorgnée. en adoration sur l'état dépravé d'un monde clamé, souveraine cruelle scindant et sectionnant de ses canines, s'incarne divine condamnatrice. ardent est le sillon laissé derrière elle, de la Femme elle ne laisse que terreurs mystiques, apparat de chair simulant ce que chasseresse traque éternellement, désincarnée crevant en festin de sang pour réincarnation. s'esclafferait si l'âme ne criait pas néant; ne répond qu'aux chiens par aboiements et couinements. "Death can't let me die, 'work to hard for her." ricane la hyène, flâne arrogance, danse sur trépas. fiancée avariée des méfaits élevés en boussole vrillé; ne sont que remplaçant pour palpitant absent. "Tought you were a ghost too. But ghosts can't bleed.." en approche griffe du visage qu'elle pourrait dévorer au petit matin, satisfaire faim gémit dans éphémère lointain comme dans l'autrefois d'un temps obsédé. résigne subitement toucher; fronce sourcils et imite indignation, poupée d'acier aux émotions limitées. "Oh boy... We both know who fucked who that night..." du faciès penché sur côté d'un endocarde décroché, lorgne et dévore le masculin émasculé par ingrate se glorifiant en Freya. en esquisse maigre sourire sur lippes se rougissant de l'étirement, à l'ichor s'écoulant, fracture d'un temps. drag my teeth across your chest to taste your beating heart pourlèche l'ichor, à sa gloire ne pourrait en perdre gouttes. détourne vivacité de l'iris sur serveuse au regard lascif s'attardant sur goliath; s'en amuserait d'indifférence si grognement dans poitrine ne résonnant. d'une grimace chasse catin, s'habillerait de jalousie si l'être en connaissait l'étendu. "Odin's crows have already feasted tonight..." but they are still hungry. " And I'm no longer alone..." renifle une nouvelle fois l'air viciée, s'immole poumons de l'enflammé affalé face à elle; roi destitué d'une couronne flambée dérobée par décharnée; en devenir maitresse impératrice. pouvoir malsain d'une ondine des marécages salés, aux eaux noires en reflet de ses os rongés. "Only if you can distract me enough.." défiance en chant lyrique, dame au visage encré à l'attention se limitant aux pulsions, lui en donne rênes pendant instant, alors que serre vient resservir verre du lorgné et du sien; liant âmes co-dépendantes. "Think you can do it, boy?" s'appuie sur garçon jouant à l'Homme, penchant faciès vers le sien, iris virevoltant d'une folie où noyade est obligation. "... Or is it too much for you?" chasseresse en quête du tourment bouffant les entrailles et creux des reins, que même festins sanglants ne pourraient faire taire. ô folie de l'âme clamant, l'animal en semblant pâture; laisse offerte au masculin, chienne laissant place à louve aux babines ensanglantées en attente d'un jugement dernier. @njáll farwynd [crédit; gif. by. mojogifs. | quote. by. sylvia plath.] Njáll Farwynd (( m i s e r y )) faceclaim & © : jordan patrick smith ; (av: lux) sign (vixen) p y r o ‷ our dead drink the sea. ‴ nature : l'encre noire des krakens coule dans son sang-mêlé. hybride enorgueilli par l'héritage séculaire d'une caste qu'il aime louanger. saisons : trente-quatre vagues viennent secouer le navire fou de son existence enténébrée. myocarde : les femmes qu'il aime autant qu'il méprise. amateur d'hétaires jobardes, esclave de sa libido, son cœur lui ne chante pas l'aubade de l'amour. besogne : ((black veils)) piraterie dans l'ichor marin, canonnier pyromane, traqueur allumeur de feu à l'artillerie lourde pour mieux toutes les harponner. # Lun 11 Mar 2024 - 12:22 (( p é t r i c h o r )) calanché sur le banc crasseux des ivrognes esseulés, l'hybride ensanglanté fixait de son œillade cérulée et cabossée la méduse qui ne se lassait pas de le piquer. joliesse aliénée qui malgré sa folie persécutrice faisait durcir le géant déjà noyé dans l'ivresse lubrique de ses méandres les plus encrassés. instinctivement il s'était rapproché d'elle, le museau qu'il venait caler furtivement dans le creux de son cou pour en cueillir le parfum à la fois enivrant et empoisonnant. « not a ghost no. a dark shadow. wrapped in red and black. » de sang et de ténèbres, de fer et de rouilles. une arabesque sur les babines déformées par le sourire conquérant fielleux, les remembrances échaudées de leurs carnes nues et échaudées à danser l'un contre l'autre sur les vagues élégiaques d'un stupre tentaculaire fiévreux. sa meilleure baise s'en doute si on le lui demandait tandis qu'il retrouvait le mur pour caler son dos endolori par des semaines à trimer sur le black veils maudit. « i have no pride and no fuckin' shame when it comes to letting myself be ridden by a pretty valkyrie like you. » pause marquée par godet apporté aux lippes assoiffées. l'œillade qui dévorait les pupilles de dame de fer à la chevelure cendres de lune. « even more when it's free. » rhétorique déclencha rictus provocateur en imaginant déjà lame aiguisée rancunière de madame venir morceler son cœur de pierre. le kraken ignorait le regard velours de la serveuse libidineuse, captivé par les meurtrières de la pieuvre flavescente à ses côtés. chopines de nouveaux remplies, il balayait de son regard belliqueux la taverne hantée par cancrelats et matelots miséreux. « how sibbe the huntress can be bored? » n'était-elle pas guerrière fantômale des terres quand lui dansait sur les sept mers ? de celles qu'on craignait et dont réputation faisait frémir gredins et rimait avec malédiction ? « maybe you cheat too much with death and life doesn't want you anymore. » la verve aussi aiguisée que sa hache — les mots affûtés qui transpiraient des vérités franches mollardées à la gueule de cette sombre beauté. « oh woman. i'm not a fuckin' bard who's here to entertain you and sing your bloody praises. » l'arcade défoncée réhaussée par les provocations de la joliesse, il avait vidé une énième fois son verre d'une traite avant de se lever et d'entraîner la blonde dans son envolée, plaquant avec force la chasseresse contre le mur afin de mieux la dominer. « but if you call me 'boy' one more time ... i'll show you what it's like to be a man. » bravade expectorée, dextre empoignait sa gorge quand les lippes de l'enchanteresse ne cessaient pas d'appeler les babines du monstre marin. le regard brillant de cette intensité propre à leur caste damnée tandis que sénestre dansait dangereusement dans le creux de ses reins et que virilité réclamait son dû avec avidité.
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