the elders

fallonfondalux

salazarfondabengal

reddfondavixen

contact -- pour en connaître davantage sur le staff et savoir qui aborder en cas de doutes ou questions.(( tops-sites ))
pour nous soutenir!
 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
wall of glory

jack
rising star

BTM
nouvelle ère

sigvidh
most valuable player

news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
— won't you come save me, from these red hands and black deeds —
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Adonis Yates
Adonis Yates
the (hanged) man
faceclaim & © : young brendan @lux.
nature : l'hybris humain contre vents et marées, s'acharne à survie contre monstres crachés des abîmes.
saisons : trente six années, altèrent espoirs jeunots et l'éclat à l'iris.
besogne : naufragé abdique jadis enseigne sous barre navy, soldat sacrifié à l'empire des mortels. trop longtemps sous-estimé cartographe d'audaces ambitieuses, amouraché des abysses.
errance : perdu au fond des geôles des marauders, l'inconnu mord le sel de ses secrets, s'accroche à sa survie.
# Sam 9 Mar 2024 - 19:14


ablaze;
___________(fb ⅠⅠ) lawfort, summer 1000 ___________

_________stumbles up and down your street
__________scapes and bruises on its knees

oh love can be a messy thing. _________
Depuis pied à terre, dévoyé sans repos, erre étranger au carcan couffin.
Ne reconnaît plus crépuscule oranger sur l'horizon, ni la chaleur qui fait suinter la peau. Les restes de jours, brassés par houle capricante. Ici-bas, l'océan est tapis diamantin, mille lumières-miroirs, léthargie suffisante qui gangrène âmes insensibles.

Lawfort la concupiscente,
sa pesanteur sous chaque pas, un changement brutal qui déforme le squelette. Ballotte les entrailles, d'un haut-le-cœur en soif de large. Aux lippes, l'échappée à premiers arômes bénédictins, liqueurs mordorées qui rythment premières phrases, premières joutes, premières offenses. Et sur toile distendue d'une nuit aux étoiles mortes sous les éclats de la ville, se joue chaos de minuit: civilisation s'abandonne aux pluies de verre, tonnerres de braillements qui s'écharpent.

-------

Soleil méridien transperce la rétine dès qu'il ouvre l’œil, grogne outrage quand martèle, martèle dans l'encéphale démon des nuits enfiévrées. Et sur la langue pâteuse, hantent spectres noirauds des péchés embrassés goulûment. Les secondes s'étendent, mugissent de plus en plus fort contre les parois du crâne endoloris ; sous voile des paupières déchiré de reflets explosifs, l'esprit peine à retrouver surface. La veille, devenue un abîme d'songes, voix et gueules : en traîne des douleurs qui frayent carcasse, un arôme ferreux qu'il goûte sur les dents, un lancinant rappel à la frontière de la jointure des doigts. Ivre miséreux, pathétique pantin désarticulé, assailli par les éléments d'un monde qui a continué de tourner sans lui. Enfonce visage dans le soyeux réconfort d'un oreiller saisi à l'aveugle, et dans le vacuum d'sa seule présence, maugréer, geint, rogne désarroi pitoyable de l'humain sans substance. Et enfin. Enfin. D'éther se concentre sur le boucan déchaîné qui l'a tiré des abysses, réalise que la guerre déchaînée dans sa tête, se joue dans le réel déplaisant. Tambourine contre la porte qu'il ne se souvient guère avoir franchi.
« Nobody's here, go awaaaay. » bute sur les mots sans réaliser, s'harpaille d'la stupidité qui lui plombe le cerveau, roule des yeux pour lui-même. Le regret trop tardif, imp(r)udence qui le met directement en ligne de mire de quelque revanche. Tornade ne tarde pas, furie(use) qui souffle la porte comme un rien, s'introduit omnipotente punition, inévitable coup d'poing affublé destin.
S'y rattrape tout juste, sursaute de l'échevelée, ou essaye vainement de s'relever. Finit le cul par terre, sans prestance ni prétention. De la tête aux pieds débraillé, trop peu inquiet du regard juge qui le fustige déjà. « Oh, it's you. » négligé insolent, dédaigne sœur avant qu'elle n'ait pu ouvrir la bouche. « 'Course it's you. » esquive les admonitions de sainte ouaille. Aux antipodes l'un de l'autre, contraires jusqu'à cet instant où yeux se croisent. Par habitude, évasion, faim, lui ne comptait plus ni les semaines ni les mois qui s'égrenaient si loin de ces côtes.
Tous figés ici-bas, en tout ce temps, Mackenzie ne semble pas avoir changé. Esquisse visage fermé, acerbe vitriol à la commissure des lèvres, prête à lâcher diatribe condescendante, pupilles glaciales qui annoncent déjà les festivités. Lui, guère mieux, déjà à lui tourner le dos, traîner des pieds dans le décor familier du seul foyer qu'il n'a jamais eu dans cette cité maudite.

« I don't suppose you'd be darling enough to fetch dear ol' brother some fresh water, huh ? » vive rixe sur rictus, morgue s'habille déjà de ses atours à lui. Flamme fierté de leurs éternelles guerres intestines, dignes héritiers d'un empire de cendres.
@mackenzie yates
[crédit; muralliann]
Adonis Yates
Mackenzie Yates
Mackenzie Yates
trapped
faceclaim & © : g. anderson young ; (ava by myself ; sign by vixen)
(( moodboard ))

chaque nuit, les lambeaux d’son esprit errant retranscrivent ses maux et transforment ses silences en murmures.
nature : armure (in)humaine fragile & passionnée pour mieux faire face au règne des créatures qu'elle abhorre.
saisons : encre déroulée sur trente-cinq feuilles qui flirtent avec les sommets
myocarde : (é)prise de celui qui ne lui appartiendra jamais. parfois s'(a)donne en offrande à des corps en demande. compense les frustrations comme elle peut.
besogne : ombre de l'amiral de la navy, elle anticipe, assiste, persiste et signe à chaque demande. la tête dans les papiers, les retranscriptions, les livres et les archives pour mieux servir l'avenir.
errance : la belle dorée lawfort en bastion
# Mer 3 Avr 2024 - 15:39


Qu’est-ce que le cœur est content quand il est serein. Il vous le fait savoir, non pas en tambourinant, mais en battant doucement, de façon régulière et continue, comme un flot harmonieux ininterrompu. Pour autant, elle les connaît nombreux ceux qui associent le fait de se sentir vivant avec le danger, l’excitation, l’interdit, avec le corps en alerte et le cœur qui gronde, comme le tonnerre. Mais là, à cet instant, elle sait ce qui lui fait du bien. Les souvenirs d’une nuit lascive avec l’explorateur de son corps, l’or noir brûlant dans une main, le journal du jour dans l’autre. Babillages et enfantillages vont bon train dès le petit matin. Ses oreilles importunées ne peuvent que capter bribes de scandales en devenir parmi les marins en présence. Il faut pourtant description des frasques du fraternel pour interrompre son rituel habituel.


-------


"Good morning to you. Welcome back big brother. I suppose you did not miss me." La voix menaçante et soyeuse à la fois contraste avec le reproche indicible qu’elle balance à couvert. Furie stoppée nette par le spectacle désolant qu’elle a cherché à percer. Il a le teint gris et l’aura épuisée. Désastre ambulant qui peine à se mouvoir correctement. La fine fleur de la Navy, ladies and gentlemen. Et elle n’a pas besoin d’en rajouter. Il sait qu’elle le juge. Ça dégouline de son regard aiguisé.
Il est encore dans ses années voraces de passion et de fureur, où il ne comprend pas l’intérêt de rester au port quand le monde attend dehors. Alors qu’elle, se sent chez elle ici, avec ce sentiment de sécurité qui fait qu’elle peut se réinventer, loin de cette destinée en mer qu’elle aurait dû épouser si son mal ne l’affligeait pas autant. Lui, incarne un vilain personnage porteur et responsable de trop d’erreurs. Il pourrait être houspillé, tellement il en commet. Elle, représente la droiture et l’excellence de la famille qui aurait dû être sans tâches. Un an les distingue et pourtant tout les sépare. Divergence d’être et de chemin, seul leur nom et sang pour les relier. Peut-être n’est-ce pas assez… "Well, of course I can do that for you. Allow me." Fais comme chez elle, renarde se faufile pour fournir liquide béni. "God's sake, you haven't even got enough to make yourself a cup of… anything else." Revient à lui et toise le frère de toute sa maigre hauteur. Ne manque pas de renverser à côté l’eau recherchée. Qu’il (s’)éponge dans la honte qu’il provoque par ses simples méfaits.  

Soeur recule et laisse couler iris sur silhouette floue. Elle ne saurait dire d’où vient la distance qui les tient bout à bout. Mais elle sait que ce n’est que de sa volonté si ils ont encore un semblant de relation. Prête à parier que si ça ne tenait qu’à lui, elle aurait déjà été vite oubliée avec le reste de leur maigre famille. "Well, how was your last mission? Anything glorious to tell?" Pique qu’elle ne peut s’empêcher de balancer. Comme si il fallait justifier les reproches qu’il tenait à leur nom. When to disagree and commit to it.  "No? I guess so." Souffle agacé s’extirpe de poitrail agité. "Fortunately there's the rest of the Navy to keep me informed of your exploits. Aren’t you ashamed of what you did last night? Everyone’s talking about it!" Gifle dans les mots, timbre qui se briserait presque, commence à faire les cents pas autour de lui, comme un prédateur en cage perturbé. "If your unseemly adventures reached grandpa's ears, he'd have a fit. You’re so selfish. Do you even think about us sometimes? Or are we just here to pay the piper?" Arrêt clinique, rive colère sur lui et suspend l’instant qu’elle regrettera sûrement. "Perhaps, it would be better if you stayed at sea from now on."



@adonis yates

_____________________
i'll get answers, it's a forever promise


awards:
Mackenzie Yates
Adonis Yates
Adonis Yates
the (hanged) man
faceclaim & © : young brendan @lux.
nature : l'hybris humain contre vents et marées, s'acharne à survie contre monstres crachés des abîmes.
saisons : trente six années, altèrent espoirs jeunots et l'éclat à l'iris.
besogne : naufragé abdique jadis enseigne sous barre navy, soldat sacrifié à l'empire des mortels. trop longtemps sous-estimé cartographe d'audaces ambitieuses, amouraché des abysses.
errance : perdu au fond des geôles des marauders, l'inconnu mord le sel de ses secrets, s'accroche à sa survie.
# Dim 5 Mai 2024 - 2:26


ablaze;
___________(fb ⅠⅠ) lawfort, summer 1000 ___________

_________stumbles up and down your street
__________scapes and bruises on its knees

oh love can be a messy thing. _________
Bataillent mioches depuis toujours, pions opposés au plateau des ambitions d'un nom d'airain. Suffoquent sans mot dire, gamins hantés par ces fantômes qui n'ont laissé que de diffus souvenirs. Et quand l'temps s'étend, mots manquent aux lippes asséchées ; trop d'années écumées au lent naufrage des éthers. Grandiose est l'tourbillon glacé qui bouffe jusqu'à l'os : le mal est celui des orphelins sans repère, destins sanctifiés-sacrifiés, et toujours accrochés aux pensées, phantasmes tortionnaires pour réécrire l'histoire désastre. Vient de pénétrer ses défenses, sœur antagoniste, de toute sa hauteur dressée, la tête haute et parée des mille atours qui fardent vices d'ici-bas.
Envahit Nemesis du jour trop ardent,
et jacasse à en percer le tympan, comme le soleil irradie la rétine.
S'écorche inconsciente à l'impudente grimace du frère traître ; au palais goûte encore le pâteux d'une nuit trop longue. Retrace les pas esquissés par désarroi, l'abandon qui l'a damné aux abysses de la Dorée. L'âme pour armure, s'amarine de l'indifférence pataude qui le cloue au sol, fait couler les jours dans ces recoins arides du monde. Et dans cet enfer brûlant, Juge se pose en statue de sel qui râpe à même la peau, une affliction qui griffe sous le derme, balafre myocarde en berne, quand lippes demeurent scellées sur ces secrets trop vieux maintenant.
Fait mine d'ravaler nausée sur désaccords de la diatribe assommante de coléreuse beuglante. « Lord, sister, how many words per minute is it, huh ? » ricoche indifférence, provoque le regard qui s'ancre enfin sur elle : sous gueule d'ange s'effrite la patience ; abrasif qu'il est plus que jamais, quand pris au piège dans le nid de toutes ses erreurs.

Lawfort l'assassine, à p'tit feu inflige regrets et rancunes.
Distille un poison plus destructeur que les liqueurs caustiques vendues aux malheureux. Amer s'enorgueillit, d'un coup d'épaule leste abandonne frangine à sa morale importune, traîne des pieds jusqu'à se débrouiller lui-même. « You want to talk about selfish ? When you can't even bring water without acting all preachy ? » morgue dézingue, mais sous sottise désarmée se cachent les vérités de toujours : l'alliée de chair et de sang, rien d'autre qu'adversaire sous-couvert. Complicité délitée depuis des décades déjà ; à qui la faute, vraiment ?
S'opposent, s'déchirent. Toujours la faute profite à cadette bêcheuse. Quelque syndrome de sauveuse d'une famille ruinée. Elle a fait d'eux deux contre le monde, un l'un contre l'autre auquel il n'a guère eu envie de participer.
« Perhaps, it would be better if you stayed at sea from now on. » contre-attaque fiel mauvais. Algarade maladroite, le trait pourtant, trouve sa voie jusque entre les côtes. Et d'instinct ruée veut rétorquer, s'enflammer, face à face défier l'hardiesse véhémente avec laquelle elle s'est exprimée. « Why are you here, exactly, hm ? Can't spend a day of your life without nagging at someone ? Jee, what d'you do when I'm not here, then ? » ô frère revanchard, mord la babine quand raison et déraison s'jouent un match au sang. « Careful. Soon enough even your boytoy's gonna grow tired of you. » brutale contre-attaque, chantonne sur ton léger, sursaute sur haussement d'épaules débonnaire. « But don't worry. I'll be out of your hair soon enough. It'd be even sooner with some clean logs. » infâme comédie de toujours, au pied pousse sac crasseux au centre de la scène. Du jeu d'langue acérée, pitoyable provocation, préfère qu'elle lâche l'affaire, fuie désabusée, quelque image encore plus désastreuse dans la tête, plutôt qu'elle ne reste et qu'ils s'en blessent d'avantage.
@mackenzie yates
[crédit; muralliann]
Adonis Yates
Mackenzie Yates
Mackenzie Yates
trapped
faceclaim & © : g. anderson young ; (ava by myself ; sign by vixen)
(( moodboard ))

chaque nuit, les lambeaux d’son esprit errant retranscrivent ses maux et transforment ses silences en murmures.
nature : armure (in)humaine fragile & passionnée pour mieux faire face au règne des créatures qu'elle abhorre.
saisons : encre déroulée sur trente-cinq feuilles qui flirtent avec les sommets
myocarde : (é)prise de celui qui ne lui appartiendra jamais. parfois s'(a)donne en offrande à des corps en demande. compense les frustrations comme elle peut.
besogne : ombre de l'amiral de la navy, elle anticipe, assiste, persiste et signe à chaque demande. la tête dans les papiers, les retranscriptions, les livres et les archives pour mieux servir l'avenir.
errance : la belle dorée lawfort en bastion
# Mer 8 Mai 2024 - 18:58


Amertume coule corrosive dans les veines, et l’coeur s’fait griffer. Il a un don pour lui donner envie de l’étriper, un don du sang probablement. Les claques se font miroir au jeu d’la mitraillette fraternelle. He’s like a little boy playing proudly in the mud as he was told not doing to. Et si ses yeux pouvaient rouler derrière son crâne, ils le feraient. "You're just as spoiled as I am...", glisse hors des lèvres carmines alors que bras se nouent sous le poitrail. Position défensive alors que les crocs sont dehors, parce qu’il joue les martyrs, comme toujours. "I’m here because you don’t know how to behave apparently. If only you listened to my nagging, I’ll leave you alone. It’s a promise you could have." N’prends pas la peine de répondre au reste de ses complaintes. Mais orgueil froissé prend le relai sur le file, regard sniper vise et tire. "Careful. I hear Miss Alghieri is missing you." Ou pas. Elle n’en sait rien, comme lui ne sait rien de ce qui passe réellement dans sa vie. Pires juges l’un pour l’autre, pourtant ils osent. Iris se posent sur sac au sol et sourcils se froncent à peine. "Your twisted mind never gets it, doesn’t it? You’re the one who doesn’t want be here!" Calimero voudrait croire que soeur ne supporte frère, alors que si il était juste plus… mature, à rester dans le rang comme on leur a appris, elle n’aura pas à jouer le mauvais rôle qu’il lui a désigné. Si elle lui dit de prendre la mer, c’est parce que c’est bien la seule chose qui semble le rendre un peu plus heureux. Comment ne peut-il pas voir l’évidence ? She cares de travers.

Ses blessures à elle suintent encore à chaque fois qu’un homme part en mer. Parce qu’elle n’a en tête que le verre à moitié vide, celui qui marque le non-retour du pater. Ils ont vécu la même chose, perdu autant et pourtant, lui ne semble rêver que de ça, alors qu’elle en a été anesthésiée. L’idée même qu’il revienne ne serait-ce que blessé… "I don’t know why I care, we’re never going to understand each other. Are we even lov-" Incapable de prononcer ces mots qui les lient pourtant au-delà du sang. Remet en cause quelconque affection attachée à ce nom en commun. "You’re the big brother, but somehow role are reversed. I’m the one that put up the work! And as you do, and as you wrongly believe, I don’t like it." Pression qu’ils ont porté sur leurs épaules, tous les deux à leur manière. Elle a plié pour s’adapter, lui a esquivé pour survivre. "And you’re the one that doesn’t value our family, so don’t play the hurted one." Elle préfère que leur lien ne soit que dispute au lieu qu’il ne se flanque d’un rien. Alors oui, elle continuera à faire vivre braises détestables si c’est nécessaire. Encaissera sel et saletés si c’est ce qui lui permet de grappiller quelques morceaux de son aîné. Finalement, c’est peut-être bien une guerre de l’attention sur un échiquier bien trop grand, qui les dépasse largement. Et peut-être qu’à force les langues trop fières s’délieront jusqu’à bousculer leurs enfers. "You’re just a child who plays adulthood ‘cause you don’t have a choice, and you’re bad at it. So please, grow up next time."



@adonis yates

_____________________
i'll get answers, it's a forever promise


awards:
Mackenzie Yates
Contenu sponsorisé
#
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Sauter vers: