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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Mary Howler
Mary Howler
— l é t h é —
faceclaim & © : kelly reilly ©Lacrimosa ♥ (ava), ©renegade, ellaenys & twisty rain (icons)
nature : carne asséchée d'indésirable oubliée, irascible banshee a dévoré cœur de kraken et tous ses souvenirs.
saisons : pourrait avoir mille ans sans s'en étonner, jours s'enchaînent et traques se ressemblent après vingt cycles de mort - un siècle sur terre et les flots, mais n'en en a ni cure ni souvenir.
myocarde : racorni, prétend qu'il peut encore s'émouvoir et piétine ses soubresauts malades.
# Lun 1 Avr 2024 - 22:27

w h i s p e r s
i take no joy in mead nor meat, and song and laughter have become suspicious strangers to me.
Muscles raidis ne connaissent aucun repos, transportent carcasse déterminée par la perspective de la toute-fin ; cette course doit bien en avoir une, sinon pourquoi ne pas soumettre qu’les impurs à cette infâme torture ? Ne serait pas la dernière facétie tragique du destin que d’se moquer de ceux qui s’accrochent à simulacre de vie, la tête farcie de vents criant vengeance aveugle. Banshee est en colère, ne sait même pas contre qui - p’t’être contre tous, à vrai dire. Silhouettes anonymes qui s’amassent et s’bousculent, ivres d’désespoir et d’banalités ; et vivent quand même, les chiens. Humains dégoûtants, krakens désespérants, lévianthans humiliés et pire que tout, sirène d’malheur dont l’odeur fait pulser l’sang plus fort et monter la bave aux babines. Pâles copies d’rêves sont hantés d’créatures monstrueuses et d’sirènes cornues, frissons courrent sous sa peau et empoisonnent pensées démêlées, seule délivrance au mal que d’se jeter dans une énième traque aveugle.

Mais la banshee devient paresseuse, répond à l’appel car incapable d’y résister, mais ne quadrille plus méthodiquement les mers dans l’espoir d’abattre la responsable d’ce malheur cynique. Ne croît plus d’puis bien des lunes qu’elle parviendra à s’libérer, et craint au fond d’son coeur racorni ce qu’elle risquerait d’découvrir si elle y parvenait. Toutefois les pulsions restent et colère ne trouve plus d’exutoire évident, vieille carne ressasse et râbache erreurs et manquements d’ces vingt années stupides. Malheureuses banshees, mi-démons mi-cadavres, épuisés par chasses, êtres de folie noire lui rappellent la destination finale ; jeunes amnésiques qu’elles consolent et guident un temps, perdues quelque part dans l’océan, sont l’signe que rien ne peut s’améliorer. Même si deux se sont délivrées - à quel prix, c’est la haine qui prédomine dans l’palpitant. Elle veut savoir où s’est échappée l’une, sait où a fini la seconde - à la benne, avec les autres piétinés d’l’existence. Toutes ces batailles… Pensées dérivent et s’attardent même sur cet imbécile d’kraken, auréolé d’certitudes sur ce qu’elle a pu être, qui l’a suivi qu’pour y perdre la vie. Il n’y a qu’ça sur son chemin, elle sait : putride et déception.

Certitude convaint pas l’coeur d’céder.
Le poing frappe sans cérémonie sur une porte de bois rongée par l’humidité, n’obtient pas d’réponse tout d’suite alors l’épaule fracasse par habitude le point l’plus faible. Dans un crissement sinistre, elle cède et s’ouvre sur une obscurité poisseuse. Des jours qu’elle furète sur l’île, graisse quelques pattes dans les tavernes, écrase phalanges dans les ruelles trop sombres - elle a b’soin d’pistes, d’occuper ce qui lui sert de caboche. Des réponses. Elle pose des questions qui n’ont pas d’sens pour ceux qu’elle presse, les pauvres racontent n’importe quoi pour sauver leurs os. Plusieurs fois le nom d’vipère est chanté à ses oreilles - trop d’fois pour être qu’une coïncidence ou rumeurs sans fondements. On lui parle d’cet endroit, lui jure qu’elle y trouvera ce qu’elle cherche. Banshee n’y croit pas un instant, mais n’a rien à craindre du noir. S’body’s here? la voix rauque râpe les murs et écorche l’âme, pas grand-chose d’vivant dans l’timbre, la sauvagerie avance tapie.
@syfa hedersett
[crédit; a-devious-route, doom days, awona - quote george r.r. martin]

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Mary Howler
Syfa Hedersett
Syfa Hedersett
~ b a d   k a r m a ~
faceclaim & © : carla guetta cohen + @rage (vava) lang leav (poems)
what n e v e r was,
what c o u l d have been,
was m o r e to me,
than a n y t h i n g else.

nature : hybride kraken
# Sam 6 Avr 2024 - 23:40


W H I S P E R S
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have you seen them crawling around us ?
the ghosts of a past we desperately try to kill
the life we could have had in the world that could have been.
such a pity, dreams are meant to be broken.
aux vacarmes des délabrés, crée chaos dans maisonnée, fait foyer sous brouhaha, et savoure le chant des initiés qui titubent jusqu’à ses pieds, quand vient le temps de régner sur les non-dits et les secrets, sur les on-dits et les rumeurs. ô douce fourberie, vice aux arts cachés qui peuplent lieux maudits, siffle le poison qui façonne le grand monde, et repousse les ambitions qui dévorent les esprits faibles. n’est alors qu’un murmure au delà des phénomènes, qu’une voix que l’on écoute pour entendre la vérité, ou croire aux mensonges soufflés par langue venin et ses mystères bien habillés. face à la toile des faux semblants, devient reine des murmures, sorcière des aventures, perfide vipère aux crocs d’acier, prête à semer le trouble pour l’attention.

just a way to survive, in a land in despair
doomed by many for a truth they never accepted.

aux relents des garants, farce inaudible aux coins des tavernes, coureuse des mystères qui dévoilent les affaires, est fable aux douces manies qui dévore ses semblables, traîtresse sans pudeur qui saccage l’ichor, et pourtant maîtresse exquise de son île, savoure destin cruel quand s’empare de sa vie. l’informatrice d’une lâcheté équivoque qui n’inspire aucune confiance. simple murmure dans la nuit, conduit jusqu’aux alentours abandonnés d’un cabanon délaissé. le bois décrépi que l’on ne retrouve qu’aux années révolues, marque d’un empire ravagé par la haine et vengeance, mort d’un monstre aux attraits d’homme et fardeau sur le dos d’une moitié de femme. un nid de serpents quand on cherche ce que susurrent les menteurs aux confins des mers.

a place full of memories
where the past is suffocating.

s’emplit d’un vacarme à réveiller les morts, quand tumulte trouve chemin vers passion des délaissés. et sous un sourire aventureux, glisse palabres aux saveurs macabres this place is a slum, i agree with you… but did you have to destroy the door ? dans l’ombre, se laisse aller, s’approche sans comprendre que créature n’est pas plus proie qu’elle n’est chasseresse, et prédatrice assumée se faufile au devant d’une lueur, clarté face au trou dans le mur pour dévoiler son identité, tandis que plongent les affres de son ennui dans les yeux d’une damnée. what do you w- mais stupeur la guette quand déni frappe deuil avec force implacable. d’effroi s’immisce l’incompréhension, drame en retourne ses entrailles quand reconnaît sans mal les opales de l’inconnue aux délires de brute. — it can’t be ! — en souvenir d’une autre vie, se trouve face à fantôme d’une autre époque, la marque de ses émotions perdues, gravée dans le cœur pourtant réputé de pierre, d’une jeune femme en plein émoi.

« - she was your mom, yet you never cried.
- she was never a mother. mine died long ago.

mine died long ago. eaten by sirens, while on a trip with her husband. a tragedy i thought would never come back to haunt me. — et flanche face à elle, vipère sans venin, en perd mots de velours, se fige et s’imprègne d’une vision d’épouvante qui secoue myocarde d’une damnée affligée. d’un autre sang, et à jamais dans cœur battant, seule personne au cœur assez grand pour s’occuper d’une simple enfant. figure maternelle quand pater s’emparait d’un poing à assener à piètre génitrice au sourire écœurant, fuite vers un autre monde, véritable parent. — and without love, what can exist ? without her, there was nothing left. just a bunch of people sharing my blood, and becoming everything she would have hated. —
une mère au sourire latent, une louve aux crocs aiguisés. emblématique figure qui ravive ce que muse fatale a toujours enterré, les tréfonds d’une humanité rejetée sous feux des projecteurs. it can’t… it can’t be… et tremble la voix, et tremble l’âme. n’existe plus face à la bête, crinière immaculée en signe distinctif. — she died. yet never came to the other side. — w-who… who are you ? et dans le regard, verse dernière larme, avant que crève-coeur vienne emporter l’organe. face à elle, titanide d’un autre temps, qui ébranle son monde d’un simple geste. — you are not her. yet i would give everything in the world to speak to her one more time. — you’re… one of them, aren’t you ? one… of the deads, walking in this world. souffle la voix des murmures, tandis que s’écroule le ciel, s’effondre le monde qui l’entoure.

if only you knew who you were to me.

@mary howler
(c) code -- vixen
[crédit; ethereal]

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"i don't k n o w what to s a y", he said.

"that's okay", she replied. "i k n o w what
we a r e— and i k n o w what we're n o t."
Syfa Hedersett
Mary Howler
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— l é t h é —
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nature : carne asséchée d'indésirable oubliée, irascible banshee a dévoré cœur de kraken et tous ses souvenirs.
saisons : pourrait avoir mille ans sans s'en étonner, jours s'enchaînent et traques se ressemblent après vingt cycles de mort - un siècle sur terre et les flots, mais n'en en a ni cure ni souvenir.
myocarde : racorni, prétend qu'il peut encore s'émouvoir et piétine ses soubresauts malades.
# Lun 8 Avr 2024 - 22:56

w h i s p e r s
i take no joy in mead nor meat, and song and laughter have become suspicious strangers to me.
Sitôt nid d’vipère souillé, relents d’moisissure agressent les narines et tapissent la gorge, et banshee imagine avoir été trompée ; nulle vie saine ici, repaire de morts et d’désespérés. Pourtant, c’t’une voix bien vivante qui lui répond, s’amuse de sa brutalité - rocaille crachote alors l’évidence, l’timbre emplit d’méfiance ; 'hate to wait. a passé les vingt dernières années à attendre miracle impossible, pourtant ne peut se figurer patienter devant porte close. Ombre se meut devant pupilles carmines qui suit l’animal avec attention - fantôme des lieux empeste le kraken, ondule, maîtresse dans le noir, approche d’sa proie jusqu’à ce que la stupeur lui arrache cœur et mots.

Again - tambourine sous l’crâne du cadavre animé, reconnaît dans le trouble d’la belle les vagues à l’âme que son passage provoque parfois ; rarement ; presque jamais - parfois elle se demande, si dans la vie elle a vécu. Âme mélancolique ensevelie s’interroge parfois sur sort d’antan - où était-elle, où vivait-elle, qui était-elle ? Questions fracassées dans la violence de la traque, tues pour ne pas céder à folie. Alors, quand son chemin croise celui de volutes d’autrefois, corps se fige, pensées s’agitent - tempête - que faire ? Lippes froides s’entrouvrent lentement, mais banshee demeure muette.

Mère d’antan aurait trouvé mots rassurants,
Mère disparue aurait offert sourire et caresses à petite égarée,
Mère oubliée aurait su ; Banshee lorgne en silence.


Les bottes frottent le plancher quand créature réduit l’écart, détaille sans reconnaître les traits de petite chose qu’elle a cherché et trouvé sans savoir ; pauvre gamine, songe cœur usé, soupèse un instant la pire hypothèse : vipère s’essaie peut-être à tactique pernicieuse pour baisser sa garde ? Ne serait pas la première à tenter de détrousser maudite, mais, léthé s’laisse porter par instinct et odeurs ; enfant sent la détresse. just a dead woman, little thing, consent à chuchoter d’une voix éteinte, ‘have to warn you. many pretended to know my kin before death, wished to use us for free. I’m fuckin’ old, an’ know the tricks. ce kraken avait essayé, et palpitant avait tant réclamé sa vérité - elle avait voulu la faire sienne, il parlait de lien transcendant tout et même la toute-fin ; belle poésie, n’avait pas empêché la sans-passé d’l’abandonner pour traquer ses chimères. Au fond, banshee sait qu’il n’y a aucune valeur à côtoyer sa mauvaise âme.

Reste d’humanité supporte mal la détresse, fend ce qui lui reste de battant au creux de la poitrine, alors elle choisit de s’éloigner ; dépasse la bambine et s’enfonce dans son antre d’souvenirs d’misère. Se confond dans le noir et apprivoise les ombres, emprunte ondées de mémoire d’une autre, frôle murs décrépis et sous ses pieds craquent les espoirs perdus. odd nest you have here, whisper girl. étrange mais discret, devait en convenir, qui viendrait débusquer ici la chuchoteuse de secrets ? some stupids said you know many souls, an’ many secrets. ‘m searching for… banshee hésite. que voulait-elle, au fond ? est-ce que ça l’intéressait vraiment, de retrouver l’un des siens qui avait retrouvé sa mémoire ? maintenant que le feu ne démangeait plus son ventre, elle n’était plus sûre. sirens. ‘m searching for sirens. la réponse, toujours - toujours la même. à tous ses maux, rêves et cauchemars.
@syfa hedersett
[crédit; a-devious-route, doom days, awona - quote george r.r. martin]

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nature : hybride kraken
# Sam 27 Avr 2024 - 18:12


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have you seen them crawling around us ?
the ghosts of a past we desperately try to kill
the life we could have had in the world that could have been.
such a pity, dreams are meant to be broken.
en rappel à sa fin, appelle à la faim, aux sirènes voraces dont crocs s’égarèrent sur les volutes de chair de cette fausse vraie mère. et sous le regard méfiant de succube d’antan, aperçoit son reflet, une image d’avant, son passé en chemin, qui s’écroule de rien, alors que vacillent les phonèmes ancestraux, les quelques mots qui ravagèrent l’âme et détruisirent la vie qui ne faisait que grandir. « - she won’t come back » comme une cicatrice, une marque brûlante qui dévore la chair. — this is not her. et pourtant. pourtant si son âme diffère, l’être n’est qu’enveloppe de la mère, emportée par la mer. et l’espoir se fige un instant, tandis que le serpent au masque de kraken s’avise à jauger celle qui lui a appris tant de merveilles. aujourd’hui oubliées.

for, on the day she died, everything broke apart.
and in a glimpse of an eye, nothing was left to cherish.

ne subsiste que le vide, galvanise l’âme et ravage l’encéphale. ne reste que l’horreur, de la savoir sans repos sans pouvoir l’y aider. ne voit que frustration, de se savoir étrangère à celle qu’elle appelait presque mère. ainsi que de la peine, sous les palabres de la reine, qui associe l’hybride, peut être même l’humain, au mensonge éhonté. not really, no. just a dead woman would never trigger the memories i have. et s’agace de ne pas en dévoiler davantage, face à celle qu’elle rêvait de revoir depuis toujours. mais aux ombres du royaume, se repaît la vipère, whisper en chasse et ses farandoles de bonheurs à vendre sous le manteau. ah yes, yes… et reprend ainsi son rôle, face à sa grâce, tournoie dans l’ombre de la cabane, tout en sifflant poison acéré. isn’t it obvious, and perfectly normal, though ? you, deads, are quite powerful, and people will always crave for power… et s’arrête de l’autre côté, sans oser la toucher, se rapproche d’ex-mater tout en susurrant de ses douceurs sans pareilles i am no different on the matter, but please, let me… prove myself to you.

ô, sweet melody, come and drive me crazy
for i am about to talk to lady death herself.

as i have no reason to lie. et d’opales, imprime l’art irréel en souvenir, celui d’une femme fatale au cœur de lion, perdue dans les limbes face à elle, terrible diable. even if you have every reason not to believe me. — but please, do. as i would never lie to you. et cesse de s’agiter face à la démone aux cheveux de neige but first, yes. i know many things. that's why i hide in there, as no one would ever dare come without reason. et sous le regard de la morte, s’offre à nouveau en spectacle. you see, this place has an history. et sous les hospices des divins, seuls témoins occulaires de tant de tréhisons, accompagne le noir environnant d'un mouvement de bras, dévoilant le lieu de vie d'une famille ravagée. but you wouldn't remember now... avant de dévoiler crainte et espoir dans une quête vaine et vide de sens wouldn’t you ?

and would never shut up in front of the deads.

au sein du royaume du passé, le carde se serre et se fend, alors que reine-mère se trouve à ses côtés, habitée par l'âme d'une autre, inconnue qu'elle ne reconnait pas, fantasme d'un fantôme d'antan, qui lui rappelle celle qu'elle était auparavant, jeune fille insouciante sans la moindre tâche de chaos, aux opales noyées de reflets d'espoir. maybe one day, you will. — i would set the world on fire, for it to happen. et masque se repait de ses larmes, tandis que se rappelle à elle les vagues du présent, époque maudite dont elle rêve encore de s'échapper. as for the sirens… i will take a guess. it is about vengeance ? the beast who ate you ? et susurre avec la vie, face à l’ombre à crinière de jour, quand le dernier est passé depuis si longtemps. hard to know which one is the good one. but i do have some informations about the place some went, actually. et alors que que succube au masque martyr se fait souffrance à ses côtés, ne peut s’empêcher d’ajouter but be careful, sailors tend to disappear near that place, as they are a great number. do you think your own self will be enough ? et siffle perfide, qui se veut presque méprisante, envers l'âme étrangère, similaire mais différente, qui a pris possession de la seule famille qu'elle acceptait, de la seule qui comptait.

if you die, will she come back ?
should i set up a trap ?

@mary howler
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[crédit; ethereal]

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"that's okay", she replied. "i k n o w what
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saisons : pourrait avoir mille ans sans s'en étonner, jours s'enchaînent et traques se ressemblent après vingt cycles de mort - un siècle sur terre et les flots, mais n'en en a ni cure ni souvenir.
myocarde : racorni, prétend qu'il peut encore s'émouvoir et piétine ses soubresauts malades.
# Jeu 2 Mai 2024 - 22:29

w h i s p e r s
i take no joy in mead nor meat, and song and laughter have become suspicious strangers to me.
i trigger some memories
can see it in your eyes
but why mine
stay so dreary?


L’écorchée d’âme contemple en silence l’écorchée d’cœur, et si Léthé n’a pas l’pouvoir de discerner sans erreur le vrai de l’ivraie, le fond d’ses entrailles chantonne mélodie familière qui la rend nauséeuse - couvercle fermement abattue sur ses sentiments, bribes de mémoire s'époumonent sans espoir d’être entendues. Alors banshee menace car nombreux sont les joueurs dans bal de dupes, défend p’tite kraken d’approcher plus près vieille congénère dont la rage pulse plus fort que l’espoir. isn’t your job to make them believe they can become powerful? secrets sont de belles armes pour ceux qui ne manient ni l’glaive ni l’or, everybody lies, whisper, that’s why people come to ya. gronde la voix comme leçon d’matrone aux oubliettes, qui veille encore dans l’noir à survie d’ses enfants.  

Dans l’antre sombre où la poussière rivalise avec les tristes souvenirs, chaque pas soulève regret et remord entremêlés, chaque mots d’l’araignée épaissit la toile autour de c’que Mary croit et espère, méfiance irritée bataille avec raison et passion - soupe sinistre dont aucune lampée sauvera qui que ce soit.

but you wouldn't remember now… wouldn’t you ?

stop playin’ lil’ woman. s’abat la sentence sans révérence, morte s’impatiente, se vexe et souffre, commence à sentir venin d’la violence remonter dans ses veines ankylosées. ‘m not here to suffer your show ; you pretend we know each other but i feel nothin’, and besides askin’ me to believe ya, what d’you put on the table? fillette ne prend même pas la peine de leur inventer une histoire qu’elle lui étalerait sous l’nez, avec force larmes et anecdotes - monstresse a vu meilleure démonstration de bobards, même si son âme s’agite douloureusement ce soir ; refuse toutefois de reconnaître ce signe, préfère l’confort d’être seule, désespérément seule au milieu d’un univers trop grand.

as for the sirens… i will take a guess. it is about vengeance ? the beast who ate you?

a guess? well, thought you would know. didn’t care to learn why i died? pity.


not surprising
and yet
why does it prompt
that pain
deep in the stomach?


Belle succube distille son poison, laisse entendre qu’elle sait - comment le prouver ? - singe même quelque inquiétude à l’égard d’sa cliente du soir - comment la croire ? - et se préoccupe de ses capacités à terrasser les créatures-tourments - comment ose-t-elle ? croasse la bête sanguinaire. L’orgueil tord quelque chose à l’intérieur et Léthé grimace, présente à la gamine risette tordue et carnassière. i’m no sailor, i’m a hunter. contre la maudite en avalant la distance qui la sépare d’celle qui provoque. Argentée toise sans crainte et les lippes glacées s’rapprochent dangereusement du joli minois, à un index d’avaler la bouche rouge et d’y planter les crocs quand ignoble murmure son présage. you nightingale, don’t worry that pretty head of yours - doesn’t matter how many they are, i will have them, all of them -  an’ if your info were correct, i’ll come for more… ‘cause there’s no end to my quest ‘til one siren breathes. but, mislead me, and i will have a kraken feast instead. les doigts si froids s’referment comme des serres autour du menton, d’you understand?

N’attend pas confirmation, car cela n’a guère d’importance - vile horde d’morts a l’habitude d’être obéie - et libère l’visage de la douce sans plus demander son reste ; recule et s’désintéresse des sentiments qui peuvent animer celle qu’elle a piégé ; s’désintéresse car l’inverse impliquerait trop, et pas assez, car cette vie n’est qu’du sable qu’elle ne peut garder dans la paume.

you whisper, i listen.
@syfa hedersett
[crédit; a-devious-route, doom days, awona - quote george r.r. martin]

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