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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
— won't you come save me, from these red hands and black deeds —

Jack Vegard
Jack Vegard
—    d o n ' t    b l a m e    m e    —
faceclaim & © : ben robson ©hellska (ava) ©eth, hedgekey, doom days (icons)
nature : sale rejeton de monstre des mers, fureur de léviathan pulse sous la peau et arrache la raison.
saisons : demi-siècle d'fureur et d'humiliations jusqu'aux jours heureux, serpent mue pour arborer force des quarante-cinq ans.
myocarde : brute palpitant frappe pour se rappeler à colosse secoué d'rires, lorgne la vie et ses plaisirs.
besogne : à la tête des penseurs, porte-étendards d'une insurrection que le monde n'est pas prêt d'oublier - victoire à arracher dans l'sang, devant spectateurs ébaubis ; les jabbers y veillent.
# Ven 19 Avr 2024 - 0:31
rise of the triad
one must learn that sometimes
words can accomplish what swords cannot.
années sombres, dans l’ombre amertume empoisonne l’âme des serpents sur qui roule la loi suprême ; épris de liberté et d’sang, rêveurs d’égalité, réclament équilibre ou justice divine - matelots frustrés et cœurs brisés côtoient avides d’richesses, d’gloire ou d’sens à l’existence. méli-mélo d’ambitions et d’aspirations, sur ses épaules le capitaine dalgaård transporte sans s’plaindre. sous les yeux d’cabale qui veille, soupèse opportunités à bord d’leur trésor volé - et maintenant ? et maintenant réclame équipage d’insurgés, épaules tendues et nuques dressées, et maintenant, s’interrogent les curieux qui s’amassent dans le noir. navy s’rassemble, et assemblée d’géants n’peut plus reculer.

plan fomenté dans l’secret a rassemblé êtres vaillants sous sa bannière d’lys, mais pour un seul brave plus d’trois dogues disciplinés s’opposent - déséquilibre favorise forces impériales ; alors, le chemin s’éclaire.

deux messages partent ;

le premier s’pose entre les doigts de soeur titane,
________fraîchement promue capitaine du carmin red hand,

le second échoue sous l'œil du fauve des eaux,
__________roi d’l’osseux black veils peuplé d’krakens.

trois hordes, trois équipages damnés ; d’prime abord motivations bifurquent mais ennemis s’rejoignent, prennent corps dans nobles étoffes, grandiose humanité qui broie, écarte, pourchasse sans relâche. hybrides r’lèvent le chef ; pour cupidité, gloire et vengeance.

point de rendez-vous secret au centre des quelques sept cent soixante-dix-huit mille kilomètres de côtes de coven island, là où la forêt grignote les plages et menace d’avaler les eaux. supernova à l’abri, transportés à bord d’une esquif discrète, débarquent demi-douzaine d’colosses de l’insurrection avec émissaires promis. monstre jagger du haut des deux mètres cinquante-cinq, saute à terre et écrase son ombre sous ses lourdes bottes. lèche d’ses yeux azurs environs désolés, cherche amis-ennemis, s’raconte en silence c’qu’il sait.

nisha jaswinder,
snake amon’ merciless sisters ;
do forgotten victims justice,
and we know navy deserves that treatment ;
______but will they follow their new chief?

seas tyrants, hungry for creatures an’ gold,
if we succeed,
what a price to win…
and if we lose, doom awaits for us all ;
______is salazar howler a gambler?


cartes distribuées, joueurs s’avancent et dieux s’gaussent d’leur déraison. captain jaswinder, nisha. étreint voix chaleureuse, frôle complicité lointaine mais demeure discrète - souvenirs d’bassesse enterrés et n’doivent pas ressurgir, et devant belliciste aux bleuets vivaces, sait mieux qu’déballer coquilles d’sentiments. captain howler. connu par réputation, inconnu d’âme - et si peu de temps pour déballer confiance. i will represent our commander, owain dalgaård. call me jack. commandant et non insurrection, car jabber s’adresse à capitaines - reine et roi ne badinent pas avec concept, et jeune insurrection manque d’crocs. babines s’étirent en risette déliée, et poigne immense désigne alors ses compagnons. my friends xena gim and sigvidh dalgaård will join your crews, as agreed and as tokens of trust, while we discuss our future together. alone. follow me when you’re ready.

assurance ferme anime ogre paré d’ses atours, simples cuirs comme armures pour entrer dans l’arène - l’une des premières qui verra ascension grimpante d’hybrides colère. s’enfonce le guide dans la sylve, territoire sauvage s’écarte sur passage des épaules quand sous la botte craque mille brindilles ; terre jamais foulée ploie sous l’passage des trois têtes barbares. clairière de fortune laisse passer rayons de lune et vegard choisit de s’y arrêter, là, au milieu de rien et pourtant au cœur de tout.

well… roule le timbre grave, let’s talk. serpent déroule longs membres et au milieu des comparses, circule au rythme d’la prosodie. i reach for you ‘cause the insurrection is searchin’ for allies. allies against, we thought, is a common enemy. we want to overthrow the navy, disband the new order and getting easier and prosperous lifes, for our people. hybrids of all kind. pas s’arrêtent, cimes des arbres comme gardiens. i think we have some common interests, right?
@nisha jaswinder & @salazar howler
[crédit; lux, little liars (icons)]

_____________________
Jack Vegard
Salazar Howler
Salazar Howler
(( kamikaze au degré fou ))
faceclaim & © : t, fimmel. (av. mi vida LUX)
lyngbakr,
cerbère des mers
s'affame des corps
geint l'ire amère
gronde la mort.

S O R T N A R

nature : enfant du mythe, rincé d'œillades dupées. il est séraphin au chevet du rien, vit de psalmodies pour se faire vile marin.
saisons : blasphème vivant, à faire mûrir malin au grès de trente neuf fausses décennies.
myocarde : l'alléché éperdu, fait linguale pendante, ô babines saliveuses.
besogne : ô voiles noires, v'là que gargouille de proue s'aguiche au devant des lames, s'empourpre d'écumes et fait charme hideux sur scène liquide.
# Sam 20 Avr 2024 - 22:55

hell rised
yeah you best believe, boy,
there's hell to pay

#song
destrier fait luire l'ébène sous milles caresses de perles, comme bauge souillant paturons tapants. neptune fait fresque mythique; car cieux lui pleurent sa sérénade, ainsi juché sur l'échine à nue. panne sur éclanches, l'en fait bête humaine. l'horde s'ébroue, alors que cavaliers font golem de sel. côtes serrées derrière parure de cuir tressé, enfants de ravage affolent gibier et enlaidissent grève blanche.

muselières dressées contre museaux,
fait taire leurs souffles chauds.

museaux bas, lupus flairent soudain les effluves portées par l'embrun. cavalcade de serpents se gerbe ainsi sur sable trempé quand surgissent furieuses amazones.

sleipnir s'agite, fait houle de belle crinière.

mutins curieux alors font cascade d'œillades quand triade se fait face; porteurs de nouvelles s'avancent ainsi, ouvrent béante l'ire concertée. serpent siffle le premier, se grandit dans l'arène pour faire taire les susurres tendues. plongé dans formol, battant reprend pourtant peu de vie; car babines ne se décousent jamais. bleuets grignotent encore curieuse bête avant que caboche ne fasse coup de museau pour déterrer les émissaires. guerriers jetés dans la marée sans fond, il est un troc funeste, qu'accompagnent voix sans corps et prières sans âmes.

quittant chaude encolure, vogueur s'estompe derrière flore et faune terrée. dans l'arène pavée, v'là qu'ils s'effondrent enfin. quiétude dérangeante, qui lui vaut le spleen de l'ire houleuse, des abysses muets. — "well, let’s talk." fauve tourne ainsi, fait parade distraite. — "i reach for you ‘cause the insurrection is searchin’ for allies. allies against, we thought, is a common enemy."; bête s'agite encore, fait ronde cavalière alors que tympans se rincent du monologue. — "i think we have some common interests, right?" phonèmes se ternissent à la faveur d'une attention frappée au fer d'ivoire; car désormais face au géant, l'animal fait lente montre de sa face, scandée désormais d'un rictus naissant. ô malheur, le malin semble déjà jubiler. — "we might have the same ennemy, and therefore -- same interests." rauque défait enfin babines mousseuses, réchauffe mandibules et entrailles putrides. malin s'empourpre entre phonèmes crachés, comme doux venin soufflé. — "see, your interests lie essentially in your need to survive; not mine." rictus font fines babines quand elles découvrent traîtres canines. — "the way i see it, is quite simple; you plunged yourself in a pit without end if it's not your death. the navy is more powerful than you, and you know it better than anyone since you were once.. one of them dogs." palabres font feinte politesse, quand elles fomentent leur soudaine traine d'acerbe froid. — "i won't be dragued down by fools with hopes and.. -- azurites roulent à peine de biais, à la faveur d'un coup de museau vers la rouge athéna. [@nisha jaswinder] a bunch of broken hearted schoolgirls.". mandibules roulent sous barbe bleue, pendant qu'échos finissent leur valse. finalement, faciès s'habille d'indolence quand feinte chaleur quitte ses traits ravagés; c'est que cabotin perd droits en l'inhumain. — "i could wait, take what's left on your own bodies and even enjoy the show." bruissements de flore font grognements de faune. malin gravite ainsi jusqu'aux méninges lorsque palme retire glaive de l'aine, comme gamin distrayant l'ennui. — "so there is the question: what do you have that would change my mind et makes me join your enterprise?"


[crédit; vixen]
Salazar Howler
Nisha Jaswinder
Nisha Jaswinder
hydra
faceclaim & © : anya chalotra, LUX.
some blue darkness, farther than hell;
a landscape of absence and root and stone.

nature : hydre aux mille prunelles. créature pénétrante défouraille illusoire sagesse comme elle perçoit, à l'intérieur, bisque noire et marécages infâmes.
saisons : mortes peaux jetées à la mer, les abysses s'arrachent les maux de sa génèse, saignent les stigmates. miroite une cuirasse diaprée, un corps tendre au cor brut.
myocarde : exuvie du coeur. couleuvre ne se sustente qu'en éphémères cavalcades, ces heurts bâtards.
# Mar 23 Avr 2024 - 12:28


oh, drunken gods of slaughter
en clairière saline, jugement dernier soutire abîmes à leur repos; sous les vagues, tempête en chant d’orphée frappe la croûte des limbes. dès lors, cruelle aux sons des larmes fracturant ces bonheurs minimes, féroce parmi les retentissements barbares de ses sentences infligées, thémis effleure l’océan en peau d'ébène et âmes enfiévrées. et dans sa balance récolte enfin créances, comme présage à l’embrasement.

bicéphale sous halo de pénombre scrute à travers la nuit; ce qui n’est encore et ne devrait être semé, pour ce que seul carmin ne saurait l’abreuver. charriant rancœur contre divine dorée, sur une aile, le souffle lointain et familier d’un spectre exhume sa tragique promesse « i’ll come for you, sister — and know that every drop of blood i’ll spill, every bones i’ll break, every fire i’ll light ‘til we meet each other again, will be signed by your hand and paid by your name. » dam succombe, s’ensuit ritournelle évanescente, car l’hydre sinue des hauteurs vers sable ferme où bêtes sont tenues captives du soupçon, dépositaires des fins. guerrières aux flancs, aspic tombe chape, exhibe masque sans faille pour collision titanesque. à l’appel du dragon, courtoise opine, tandis que bistres épient cabot des abysses d’une égalité dépecée d’humanité. puis naissant de leurs ombres en sceaux de leur foi et côtes de leurs empires, créatures sacrées rompent le cercle pour quérir périlleuses geôles. c’est alors que, nimbé de son éternelle nuit, colosse affleure près de son cuir, soulève une brise que seul le silence honore puisque nul ne s’en émut. car il n’est plus qu’un maëlstrom, que de charognards pour se promettre, ici-bas, la vie.

huis-clos procède au cœur de l’eden, nature édifiée en genèse et témoin, mère calvaire de tous guidant chacun près de son sein, sur sainte-glèbe de leurs aversions. cérémonieuses infamies pourfendent cortège des sans âmes et en adjurent les lames pour qu'en cruor, abnégation rétribuée. mais cerbère, déjà, psalmodie paresseuse cacophonie. « the way i see it, is quite simple; you plunged yourself in a pit without end if it's not your death. the navy is more powerful than you, and you know it better than anyone since you were once.. one of them dogs. » pyrophobie cerne subitement barbaque kamikaze, et crainte fardée de l'injure et de l'opprobre file vers couleuvre sans en altérer tragique gravité. « i won't be dragued down by fools with hopes and..  — a bunch of broken hearted schoolgirls. » l'harangue bute aux confins d'une indifférence pour fiel jappé, lentement éloignée contre l'écorce d'un cèdre dont elle fait choir en sa paume corolles d'épines. mad dog ripaille fantasme, tandis qu'enfin abandonne vaine doléance en feinte de sa soif.

borée s'éternise à la cime des malfrats, la rouge pesant sa ruse et sa loi. « and what do you think will happen next, when you'll be busy gloating about a victory that won't even be yours ? » comme ronces, mire pousse autour de cénacle. « i'll tell you since as you yourself said we know the ennemy way better than you do » serres s'étirent sous crocs d'acier révélant spinules en un noeud réunies. « you'll be exactly where they want you to be; in their palm, ready to be torn apart, one tentacle at a time » illustre le péril de chaque épine arrachée, démembrement innommable puisque rien ne reste en creux de paume. « — or at least what's left of it as i've heard the ennemy already did some damages elsewhere » indolence ondoie contre bleuets à liaison sinistre que l'énigme conte, racle contre pelage de bestiau misérable vésanie gâtant poitrail. « this isn't business, you fool, it is mercy — and i'd say it's quite enough of an offer. either you eat at our table or be the soft meat they served at theirs. »
[crédit; vixen]
Nisha Jaswinder
Jack Vegard
Jack Vegard
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faceclaim & © : ben robson ©hellska (ava) ©eth, hedgekey, doom days (icons)
nature : sale rejeton de monstre des mers, fureur de léviathan pulse sous la peau et arrache la raison.
saisons : demi-siècle d'fureur et d'humiliations jusqu'aux jours heureux, serpent mue pour arborer force des quarante-cinq ans.
myocarde : brute palpitant frappe pour se rappeler à colosse secoué d'rires, lorgne la vie et ses plaisirs.
besogne : à la tête des penseurs, porte-étendards d'une insurrection que le monde n'est pas prêt d'oublier - victoire à arracher dans l'sang, devant spectateurs ébaubis ; les jabbers y veillent.
# Mar 23 Avr 2024 - 22:22
rise of the triad
one must learn that sometimes
words can accomplish what swords cannot.
bêtes s’toisent, dans cénacle retiré chacun se jauge, évalue forces et convoitises luisant dans l’fond des mirettes. cerbère mord le premier, laisse entrevoir son prix mais avance couvert, attend offre, fait mine d’légionnaires pour serpents aux aboies.

i could wait, take what's left on your own bodies and even enjoy the show

and yet, you’re here, howler,
came all the way from your hole to this damp forest,
and for what price?


jabber a fait ses devoirs, fouiné dans tavernes contant méfaits d’barbe bleue, épluché registres et langues trop pendues, sait quelle traîtrise a propulsé sang howler à la barre de l’ébène noir - sombre traitrise laisse cœur de cabot pensif ; connait les extrémités des fous arrachant leur destinée.

ondule avant lui hurricane imperturbable, tranche et arrache doléance pour faire de l’offreur un requérant, accule potentiel allié sur horizon d’inimitiés. trop d’passé entre eux, trop d’peines et ombre innommée plane menaçante sur négoce fébrile.

i'd say it's quite enough of an offer. either you eat at our table or be the soft meat they served at theirs.

nisha,
ouch
‘want you in my team…


you’re so quick to exchange promises and threats, friends. interrompt soudain jabber sourire. but we could part ways right now, black veils, red hand… even insurrection, since we now have the best ship in town. my sisters, brothers and i could just rampage seas - one more competitor, with a bunch of unleashed hydra. the question is… can we really let the navy gathers its forces? flotte impériale est déjà si puissante, mais écorchée, peut encore craquer. a so-called new order revelin’ in debauchery, keepin’ all its wealth for military - human military, while our people are piled up in cover island, without electricity. an organization which lives off pack of lies. poison coule dans gorge de celui qui a tant aimé l’drapeau, prêté bien des serments - a tiré sur fil écœurant d’une pelote honteuse, ne s’en remets pas, ne s’en remettra peut-être jamais. volkov licks his wounds, admiral attila has been humiliated and i heard he let some renegade lieutenant coming back in a hurry… a furious beast let loose by command.

allusion irrite la voix et détruit c’qui reste de l’âme, furie sous l’crâne ravage croyances d’autrefois. pivote l’titan pour s’adresser au chef de la horde, tend paume immense vers glaive dégainée. i reached for you because of your men, your strength, your knowledge of seas… and ‘cause you’re a kraken. so you know the dirty truth the navy hides. histoire tant ressassée labellise peuple de pêcheurs, en a fait des menteurs - cruelle astuce. i knew your kin tales but my eyes finally see…” and i bleed. serpent s’tourne vers consœur, s’noie dans ses prunelles sans doute souillées d’bien des massacres. she killed six innocent people, commoners who have done nothing, men, women, even an old couple who doesn’t know anything about the insurrection. killed, for sport.” you know who, right? “they’re monsters not drive by justice, principles or gold… just by blood and misery. furies, they can’t live ; and yet this is what navy chooses to lead.

conclut colosse dont premières cartes abattues, entre hydre et kraken liés par adversité maligne, i want to take them down, all of them.
@nisha jaswinder & @salazar howler
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cerbère des mers
s'affame des corps
geint l'ire amère
gronde la mort.

S O R T N A R

nature : enfant du mythe, rincé d'œillades dupées. il est séraphin au chevet du rien, vit de psalmodies pour se faire vile marin.
saisons : blasphème vivant, à faire mûrir malin au grès de trente neuf fausses décennies.
myocarde : l'alléché éperdu, fait linguale pendante, ô babines saliveuses.
besogne : ô voiles noires, v'là que gargouille de proue s'aguiche au devant des lames, s'empourpre d'écumes et fait charme hideux sur scène liquide.
# Dim 5 Mai 2024 - 21:57

hell rised
yeah you best believe, boy,
there's hell to pay

#forndom
— "this isn't business, you fool, it is mercy" ruée de maux, venin que serpentine fait geindre d'un présent désastreux. — "can we really let the navy gathers its forces?" propagande sifflée, en échos depuis carcasse montée jusqu'aux cieux. — "it's quite enough of an offer. either you eat at our table or be the soft meat they served at theirs." bravade fantastique, qu'éveille ainsi ménade sans futur. — "i want to take them down, all of them." ire tremblée de lippes agiles, ils sont marasme fascinant; azurites flanchent, comme vicieuse houle; il cajole ainsi pareilles portraits, alors que nimbes se pourlèchent d'ébène. sur faciès, museau retire l'once cavalière, se trahit d'un naturel de fiel. battant d'un mort, sans pompe vivante; et bleuets assassinent contestataires, se repaissent de pareilles carcasses.

— "you, fools." rauque crache, comme cautère sur chair.


neptune s'anime, avec putride haleine.

comme abysses salées, sous miroir liquide, vrombit la houle débordante. mirettes en avalanche, gobent ainsi rouge guerrière [@nisha jaswinder]. — "not cuting your throat and let you feed the soil with your blood is mercy. phonèmes s'articulent à peine humaines, comme si pathologie lui dévorait déjà ce maigre méfait. mandibules ondoient, sous barbe bleue. "watch your tongue or i'll cut it out myself." psyché malade s'agite quand l'échine se fait ronde, comme océan levé par les vents.

cochoir de tonnelier jeté contre crâne fait l'instant fantasmé.
c'est que bête décroche muselière, pour tiédir mandibules et faim hurlée.

finalement, mirettes affrontent l'homologue [@jack vegard], avec traîne fumante de dédain. — "you must be mistaken here: i ain't your friend and i don't give a damn shit about your pathetic hope for a better future, nor your infinished personal problems." l'ire gronde, se chante depuis belles entrailles. papilles frémissent ainsi, souillées par l'embrun amer. — "both of you once wore their colours, bent over and let them fuck you over, and over until your weak minds couldn't take it anymore. -- dégueulis l'en fait insupportable chien alors qu'il joue de milles maux par milles mots. what i hear is a crying call for help, since you poked the damn bear. and now he's coming for you, and you only." bête fomente quelques pas, hache aux tracés rouges séchés en palme serrée. — "you don't know anything about being at war and yet, you want me to side by you. you ask for me and yet, i still don't know what i gain in this whole bullshit."

latence frappe comme sonore métronome.

— "i won't take any orders from anyone here; either you follow me or we don't have alliance. i want my men on every one of your ships, day and night. no decision will be made without the black veil knowing a word of it. and i'll have seventy five percent of every gains." mascarade levée devant badauds chahutés; faim le rend avide, vile conscient de traîtrise. ô malheur, que méninges chassent pathologies en élan suicidaires. car l'animal jubile, sans émotions humaines. — "don't worry, i won't ask you to pledge to our gods.. yet."


[crédit; vixen]
Salazar Howler
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