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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Danya Brekkher
Danya Brekkher
eclipse
faceclaim & © : priyanka chopra ; ava : fassylover ; code sign : vixen
(( moodboard ))

tout ce qui peut être de mauvais présage. c’est ce qu’elle est devenue. quand la Mort s’en mêle, vient siffler à vos tympans… ce frisson de fin qui se faufile jusqu’à votre moelle, s’enroule autour de vos os, vos organes… ce froid qui brûle votre sang… tout ça jusqu’à crever pour un monstre.

nature : sans-mort & sans-vie (( banshee )) ; ancienne kraken ancien médecin ; teint ses cheveux en brun mais laisse une mèche blanche visible pour rassurer ceux en besoin
saisons : figée à (( 41 )) années depuis plus de soixante ans.
myocarde : porté disparu, bat froidement la mesure et garde les distances déchues malgré quelques feux passionnels pour besoins intentionnels
besogne : chasseresse de créatures nuisibles, les dangers tranchés ; elle tue presque sans plaisir, (ne) vie sans sa quête, geôlier inconnu pour cible éternelle
# Lun 22 Avr 2024 - 21:40


Tempête dissipée. Le paysage luit, détrempé, et abandonne des fragments de lui. Il ne flotte plus ici que cet élément statique, presque lourd. Un air est tellement immobile qu’il semble protester en silence contre toute nouvelle forme de précipitation. La vie a tendance à ralentir en l’absence de vent, hésitante, comme si elle tenait à profiter du moment, à s’imbiber. De là où la mer est si lisse qu’elle se change en miroir et que les ceintures rocheuses s’adoucissent comme si leur fureur n’était plus qu’un songe lointain. Et elle déteste cette pesanteur. Surtout quand elle traine la patte pour rejoindre planque caverneuse où panser blessures qui ne font que gêner agilité. Chair percée dans la cuisse, déchiquetée aux côtes, c’est tout le flanc gauche qui a pris. Horde de sirènes et tritons aurait bien voulu se repaître de son derme sans vie. Mais enfin eux ont dépéri. Son âme pétrie de haine pour ces viles créatures ne trouvera probablement jamais repos –elle en est de plus en plus sûre. Et ce n’est même déjà plus une volonté de retrouver celle qui l’a dévorée, mais simplement un réflexe mécanique. Tueries inqualifiables où épées cisèlent animal pour ne laisser que coeurs à arracher, à calciner. Honorables feux de joie qu’elle ne ritualise même plus, si tant est que jubilation soit encore possible.

Car aujourd’hui, elle se sent vaincue. Larmes amères qui coulent à revers. Peut-être qu’elle devrait se laisser sombrer dans un sommeil mortel plutôt que continuer sur ce chemin sans fin. À quoi bon ? Sa vie d’avant mérite-t-elle vraiment d’y revenir ? Décimer créature assassine apaisera-t-il réellement son âme en tourment à présent hantée par ses propres crimes ? À celles pour qui le temps est un pistolet chargé, vois l’éboulis qui s’abat sur leur non-vie, pour un hier qui ne vient jamais. Le coeur pur ne l’est plus depuis longtemps. Lors du jugement dernier, quel compte sera tenu ? Quelle histoire retenue ? Et pour chaque trépassé, comment justifier atrocités ? Le corbeau saura dès qu’elle tombe ; et portes de l’enfer elle ouvrira en preuve d’hécatombe.

Banshee rumine, prisonnière de sa tête, comme après chaque bataille de bêtes. Vaine. Quand rien ne se passe si ce n’est témoigner des séquelles indolores. Il faudrait au moins recoudre. Mais elle est fatiguée. Et les compétences fantômes de son passé n’ont plus assez de prises sur la mémoire de son corps logé contre la roche humide. Elle aurait dû balayer les entrailles de son carnage, récupérer récompense et réclamer son dû derrière mentore qui l’a certainement surpassée –une fois encore. Mais elle ne veut plus bouger. Fierté froissée. Elle préfère s’effacer. Toujours. N’sait même plus comment ou SI elle doit honorer ceux qu’elle a oubliés. Alors elle s’laisse dériver. Dans l’brouillard d’ses souvenirs disparus. Avec le vide pour pilier. Un coeur sans ferveur. Et la mort enroulée jusqu’au corps…



@mary howler

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vendetta, sweet vendetta, this beretta of the night, this fire and the desire, well, shots ringing out on a holy parasite


award:
Danya Brekkher
Mary Howler
Mary Howler
— l é t h é —
faceclaim & © : kelly reilly ©Lacrimosa ♥ (ava), ©renegade, ellaenys & twisty rain (icons)
nature : carne asséchée d'indésirable oubliée, irascible banshee a dévoré cœur de kraken et tous ses souvenirs.
saisons : pourrait avoir mille ans sans s'en étonner, jours s'enchaînent et traques se ressemblent après vingt cycles de mort - un siècle sur terre et les flots, mais n'en en a ni cure ni souvenir.
myocarde : racorni, prétend qu'il peut encore s'émouvoir et piétine ses soubresauts malades.
# Jeu 2 Mai 2024 - 22:13

t r a p p e d
i have a tender spot in my heart
for broken things
Glaive s’enfonce dans chair malsaine, déchire peau, tendons et fait gicler l’sang sous les bottes. Rivières carmines engluent l’cerveau et apaise, apaise rien qu’un instant palpitant en déshérence - donne du sens à vanité d’existence tronquée, saupoudre illusions d’chaleur dans carne asséchée, enfin, enfin la créature maudite obtient son dû et ses crocs s’relâchent autour de l’âme malmenée du kraken. Mary, sur une courte brasse, r’prend un peu d’air ; la tasse dure depuis des années, vingtaine au compteur à s’noyer et seul l’carnage lui offre une bouffée - alors massacres s’enchaînent, tristes et absurdes, et pourtant uniques réconforts d’vie trépassée.

Canif écarte la gueule et déloge les dents tant qu’la bête survit, racle ses écailles en ignorant les cris d’lamentations - calvaire fait même frétiller le cœur mauvais de banshee qui s’repaît d’son étripage. C’est qu’il faut agir vite pour dépouiller la sirène d’ses possessions d’valeur, car sitôt morte, n’laisse que lit d’algues à la place du corps putride. Vilaine corvée que v’là dont elle s’acquitte sans broncher, d’apparence faucheuse austère alors qu’les viscères remuent d’plaisir ; rêve d’se baigner dans l’ichor nauséabond d’sa victime, d’boire le jus des entrailles et de rire - rire malade de damnée. Morte se retient, contient les démons, et découpe, méthodiquement.

La vieille en vient même à oublier sa jeune comparse. A toujours été encline à s’entourer de décrépis, frères et sœurs comme seuls êtres capables de s’supporter entre eux, et avec l’âge, a pris sous son aile quelques égarés plus ou moins appréciés. Danya résiste et donne du fil à r’tordre, écoute quand elle veut, s’croît capable de renverser la nuit - une hargne qui plaît à sombre mater distordue, sait pas qu’bambins récalcitrants raniment son corps élimé ; souvenirs oubliés au fin fond d’mémoire sèche. A bien r’marqué qu’sa partenaire de crimes agissait étrangement - plus étrangement qu’à l’habitude, mais n’a dit mot, car les paroles sont souvent illusoires entre maudites.

Toutefois, alors qu’elle enfonce les algues dans besace élimée, Léthé remarque finalement qu’son associée a levé l’camp - rien d’exceptionnel, banshee avide suit ses instincts, mais fait plus rare, sans emporter part du butin. Et yeux rubis finissent par remarquer d’autres tâches, monstresse y plonge les doigts pour les porter à ses lippes froides : du sang, mais pas d’sirène. fuck. grogne daronne en mal de rejetons.

Chasseresse r’trouve vite terrier de sa proie, et pour cause, sylphe décharnée à trouver refuge dans l’une de ses planques - une grotte humide à flanc de falaise noire et escarpée, sur territoire de kraken désolé. Il y a près de cinq ans - à moins qu’ce soit six ? banshee n’compte plus vraiment - pouponne tout juste recrachée des eaux avait croisé la route de Léthé, et celle-ci s’était mis en tête d’former sa petite égarée. Au cours des périples traversés, caches et abris avaient été partagés. stupid girl never listens, but you actually remembers t’is place. gronde la voix qui racle contre les parois, annonce entrée d’la matrone dont l’pas résonne. you look like shit. poursuit, alors qu’les yeux vifs s’plantent sur la silhouette fébrile et faiblement éclairée par la lune. Souci n’vibre pas encore dans l’fond d’la voix, relation complexe n’se dit pas.

Glaive toujours dégainé désigne les blessures à vif, et la lame s’rapproche en même temps qu’le bourreau. can’t cover your flank righ’? let the beast takes a bit. shame. it doesn’t deserve ya.” sirens deserve nothin’ “there’s a bunk at the back ; lay down, i’m gonna patch you up. Et parce que harpie n’ignore pas déraison d’ses poulins, c’est la poigne libre et ferme qui attrape le bras d’la blessée, pour la traîner s’il le faut jusqu’à son lit d’fortune. now you expect me to do your work, an’ rip your prey apart for ya? remember: what i took is mine. précise la bouchère, gorge ronchonne et refuse partage du butin.
@danya brekkher
[crédit; ellaenys & waldosia - quote george r.r. martin]

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tout ce qui peut être de mauvais présage. c’est ce qu’elle est devenue. quand la Mort s’en mêle, vient siffler à vos tympans… ce frisson de fin qui se faufile jusqu’à votre moelle, s’enroule autour de vos os, vos organes… ce froid qui brûle votre sang… tout ça jusqu’à crever pour un monstre.

nature : sans-mort & sans-vie (( banshee )) ; ancienne kraken ancien médecin ; teint ses cheveux en brun mais laisse une mèche blanche visible pour rassurer ceux en besoin
saisons : figée à (( 41 )) années depuis plus de soixante ans.
myocarde : porté disparu, bat froidement la mesure et garde les distances déchues malgré quelques feux passionnels pour besoins intentionnels
besogne : chasseresse de créatures nuisibles, les dangers tranchés ; elle tue presque sans plaisir, (ne) vie sans sa quête, geôlier inconnu pour cible éternelle
# Sam 4 Mai 2024 - 19:16


Elle a ces bruits dans sa tête et elle aimerait que ça cesse mais en vain. Elle a la bouche pleine de chose qu’elle n’ose pas dire de crainte que ces choses soient moins vraies une fois racontées. Et pourtant la fureur monte quelque part, quand même, malgré tout, toujours en elle. Aussitôt, elle creuserait dans cette grotte un autre trou où s’enrouler sur elle-même pour ne plus rien entendre. Elle ne sait plus accueillir cette colère puisque la sienne est sa terre et elle y fais pousser des fleurs larges comme des encres en fer. Et la faim monte pour ces monstres, et aussitôt elle sait qu’elle a déjà eu un âge où elle ne savait pas tuer. Mais de cet âge, elle ne se souvient de rien. La fatigue monte aussi sur son corps, aussitôt elle descend dans son âme, sans corde et sans lumière, pas besoin de fausse lueur, pas besoin qu’on lui dise ce qu’elle doit faire de ses peurs. Elle n’en fera qu’à sa tête. “So do you...”, qu’elle grogne en retour, comme si ça avait de l’importance. Allait protester qu’c’est rien, mais poigne étrangle membre et ne lui laisse aucune chance. “Yeah yeah, I remember your rules, old hag. Thanks for nothing, I don’t care. Do as you want.

Se laisse pourtant faire bon gré mal gré dans cette nuit qui commence… Où elles pourraient parler des coeurs à recoudre qui s’débattent dans leurs cages d’os. De ceux qu’on a essorés, avec un regard qui appuie sur eux, à l’endroit qui devrait cogner juste, un peu plus loin que les cicatrices adhérentes. Mais il n’en est rien. Lèvres se font mutines alors que premiers soins sont tout de même dispensés pour éviter infection à propager.

Et le silence s’écoule. Comme il occupe l’espace, l’histoire et le temps. Il en dit long, sur elle, sur elles. Il est compact, résistant, lourd. Il est austère et séculaire. Il est fait de mots jamais prononcés, de mots envolés, dépossédés, carbonisés. Parce qu’on n’autorise pas la faiblesse entre maudits. On écoute juste le bruissement des secrets. On attend des murmures de récits non-dits, des vérités oubliées, des vies ensevelies. Les mémoires gommées qu’on ne peut raviver les hantent, sans qu’elles ne se doutent qu’elles sont juste là, à portée de terreur. Et elle souffle la faible douleur quand Léthé recoud le derme qui fait fureur dans les torpeurs. Elle n’a plus rien à faire des chemins tout tracés qu’on voudrait lui imposer. “What if we stop the killing? What would happen to us?

Dans le silence tapi dans les replis de son corps, il reste un brasier prêt à calciner les effrois et monstruosités d’autrefois. Elle préfèrerait chasser les ombres, neutraliser les fantômes. Faire de la place pour accueillir plus fugace. Alors qu’aujourd’hui, elle ne se promène que sur des tombes et danse avec eux. Elle ne renie pas les meurtres pas plus qu’elle n’a de regrets. Mais la rancoeur acide continue de glisser à chaque sirène observée. Et le dégoût des créatures se mêle à son propre reflet. Haine qui grandit. Haine perfidie. Y a quelque chose de néfaste qui grignote les murs de son crâne. Sombre et droit. Fort et cruel. Aucun détour sensible possible. Juste les faits. Les mots et la mort. “What if I can’t do this anymore, should I kill myself already? Or should I let you do it?



@mary howler

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nature : carne asséchée d'indésirable oubliée, irascible banshee a dévoré cœur de kraken et tous ses souvenirs.
saisons : pourrait avoir mille ans sans s'en étonner, jours s'enchaînent et traques se ressemblent après vingt cycles de mort - un siècle sur terre et les flots, mais n'en en a ni cure ni souvenir.
myocarde : racorni, prétend qu'il peut encore s'émouvoir et piétine ses soubresauts malades.
# Hier à 17:34

t r a p p e d
i have a tender spot in my heart
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“Do as you want.” you bet i do claque la langue de bête mauvaise, qui n’a jamais été habituée à c’qu’on lui dicte façon de penser et d’agir. Entraîne dans son sillage fillette blessée et l’enjoint à s’allonger dans la couchette, flanc blessé exposé aux yeux scrutateurs de matrone dure - front se perce d’la ride du souci quand elle constate l’étendu des dégâts, le sang qui coagule contre peau gelée là où traces de crocs zèbrent le derme souple. it bites you well. remarque, sombre femme qui s’agenouille près d’la plus jeune. De sous le lit d’fortune, tire une trousse contenant le nécessaire pour nettoyer et recoudre la plaie. Léthé s’penche sur l’ouvrage et bouche close commence nouveau travail ; silencieux après bruyant carnage de sirènes, minutieux après brutal massacre, doigts s’activent sans commentaires, répète et répète encore gestes d’antan.

Déchirures ignobles n’sont qu'égratignures bénignes pour banshees affreuses, néanmoins l’acte est presque délicat opéré par restes de mère enfouis sous la peau ; soudainement art se suspend quand questions coulent dans l’oreille, désespoir s’colle aux mots qui restent froids, morte ne tremble pas mais c’est son âme qui saigne - perdue dégueule sa souffrance aux pieds d’mentor rocaille, tintamarres d’sentiments restent coincés dans leurs cœurs ralentis et décharnés, tandis qu’les yeux rubis ne peuvent transmettre toute la violence, la peine et les remords qui bouffent les entrailles.

so that's what it's all about… you’re depressed girl? abat Léthé en plantant plus profondément aiguille dans bordure boursouflée d’une morsure encore saignante - tire le fil en même temps que déroule la réponse sans chaleur ni pitié, even if you drive me to the verge of madness and need to tear that face of yours, you’re dead already.” we’re dead, dear, there’s no end to it. “you should have figure this out now. you’re back from… how many years? five, or six right? get yourself together.” i’m probably hurtin’ ya… but for your one good, lil’ love. Les deux bords de la blessure se rejoignent comme pour achever portrait qu’la rude mater dessine, noue l’extrémité du fil pour qu’la belle décharnée puisse se mouvoir sans crainte ; range son matériel sans la r’garder, s’méfie de ce que prunelles de sang pourraient lui faire ressentir.

Enfin, Mary inspire et souffle profondément râle qui soulève poitrine abandonnée, hésite un instant puis rompt le sort - dépose ses serres et les referme autour de la main plus douce et moins abimée qu’la sienne, et pouce effleure la peau dans une caresse fantôme et fugitive. you are what you are, and what you do is killin’. you think you want somethin’ else but your body will do it anyway, and soon, your brain will follow. you can’t help it, trust..me. déglutit puis retire ses doigts, qui retrouve confort métallique du bord d’la couchette. however, we’re not doomed. there were freaks like us who recovered their old selves. Craquent les genoux quand vieille banshee se redresse, s’déplie sans plus regarder celle que son cœur a tenté d’consoler, we just have to…continue, until it’s over.
@danya brekkher
[crédit; ellaenys & waldosia - quote george r.r. martin]

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