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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
wall of glory

jack
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BTM
nouvelle ère

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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
— won't you come save me, from these red hands and black deeds —
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Nicasia Chernobog
Nicasia Chernobog
(( f l e u r d u m a l ))
faceclaim & © : natalie dormer.
— anthem ; leia. A2kwxWLZ_o
nature : voix se fait poison pour aux vagues de styx les noyer ; crevarde sirène dérobée à géhenne.
saisons : l'illusion de quelques trente-neuf années qui ne sont que tromperie de plus, masque de plus, un énième mirage venu troubler les quarante-six qui pèsent déjà à l'échine.
myocarde : cœur crevé, cœur noir -- trompe l'ennui à l'étreinte des fous qui s'y égare, dévoration égoïste des heures en satisfaction des simples désirs ; mais ne saurait tromper abysses auxquelles la noie kraken.
besogne : trône aux côtés de mater à l'empire du chant des sirènes, cabaret roi, cœur à la toile de secrets ; tisse rêves et fait miracles, exauce vœux et faveurs qu'ils repaieront tous un jour.
errance : île refuge tout autant qu'elle est prison -- cover island en échappatoire, où les heures se perdent et s'attendent, île promesse, île royaume, à la patience de se promettre plus.
# Lun 22 Avr 2024 - 22:28
anthem
there's a crack in everything -- that's how the light gets in.
elle est vaguement distraite, vénus, quelque peu ailleurs ; et si les alters dessinent mirages de leurs doigts à peine plus loin, c'est à d'autres illusions qu'elle s'égare solitaire -- sur l'écran des paupières closes, des engrammes d'un passé perdu venus défiler comme un chef-d’œuvre amer. mélodies se tissent dans l'air du cabaret, se font miel de leurs voix -- et pourtant, ce n'est qu'avant qui revient, aux rires et aux arias, l'écho des coruscations abandonnées aux prisme des pierreries et à l'étreinte de la soie, à quelque chose d'un p o u v o i r perdu, tombé en cendres sur les mains vides. ne reste rien, que n é a n t -- et le désir infâme d'un avant qui était plus simple, doux poison à l'arôme de miel léthifère, lorsque tout ne s'était pas encore effondré.
et le bourbon qui embrasse les lèvres, brûle en phlégéthon vivace dans pharynx n'est que feu fugace, impuissant à échauffer morsure de froid demeurée sous le sein -- quelque chose d'un vide, abysses glacées qui étreignent les artères, ne laissent de lave que charbon. à peine plus qu'une étoile déjà m o r t e -- l'éclat qui perdure, qu'un écho d'un trépas déjà signé depuis trop longtemps. jamais plus qu'une madone solitaire, vengeance dégueulasse maculée aux lippes en faim qui ne s'éteint jamais véritablement, et l'épiderme laissé froide porcelaine empreint à l'absence ; et qu'importent peu ceux qui se succèdent aux draps pâles, qu'importent peu leurs étreintes vides et leurs mots désillusionnés.
et quand rage se fait s i l e n c e, ne reste que néant.
une amertume sur la langue, alors que miel chrysorin brûle aux lippes, aigre-doux qui lui bouffe le cœur en poison muet quand les iris se posent vers trône vide de mater -- trop écoeurée, trop p e r d u e aussi.
alors elle se détourne, vénus impie, repousse le fou venu s'abandonner à ses rivages -- contemple réalité floue en contrebas, contemple la valse éperdue de sirènes qui s'exercent, tissent mirages à la toile de l'air vibrant ; et dans un instant égaré, songe qu'elle aimerait s'y laisser prendre, céder c o n t r ô l e, se laisser à l'illusion d'un avant qui n'est plus.
jamais qu'une autre chimère fracassée, p h a n t a s m e dérobé. qu'on lui prend, comme on a pris tout le reste.
et phlégéthon brûle aux artères, vieille rage familière qui dissimule cratère sous le sein, laisse oublier le manque dans une éphémère illusion à laquelle elle se bouffe elle-même, gorgone. bourbon est avalé d'un trait, le cristal fracassé sur le sol sans même la pitié d'un regard ; c'est une a u t r e qu'elle observe, l'infâme, contemple môme gracieuse avec quelque chose d'une vague sérénité impulsée aux veines, quelque chose d'une p a i x obscure alors qu'elle se meut, la comète sombre en poursuite à tous ses gestes. come here. les mots ne sont que s i l e n c e, murmure impérieux glissé à l'âme de sœur sirène, les yeux pâles fixés sur la cadette.  come join me.
referme les griffes sur un autre verre, alors que paupières se closent, qu'elle attend môme depuis trône où elle règne, vénus. 'you're getting better by the day.' rouvre les yeux, la contemple, la gosse, avec quelque chose d'une tiédeur sous le sein, d'une vague affection qui repousse quelque peu le froid.
@leia damaris
-- words ; leonard cohen ;; codes ; staff, mall. --
Nicasia Chernobog
Leia Damaris
Leia Damaris
sweet devouring
faceclaim & © : viv may ; ava myself, code sign by vixen
(( moodboard ))
nature : murmure de (( sirène )), succube qui dévore le temps et les mers
saisons : (( 26 )) coraux habillent sa mortalité, sans autres jeux artificiels, jeunesse naturelle et faussement ingénue
myocarde : affamée d'amour, amoureuse des coeurs qui battent, avide d'attention, la peur de finir seule, volage et libertine, aime vite, trop fort, s'(a)donne à tous les plaisirs pour nourrir son âme brisée
besogne : (( illusionniste )) au cabaret, fait vivre des mirages, provoque paradis et enfers, "come to me and lose yourself here"
(( chasseuse )) de jolies pierres & herbes mystérieuses pour les sciences
errance : (( cover island )) enfin en refuge après avoir trop connu les autres îles, et des envies d'explorations toujours plus grandes malgré tout
# Sam 27 Avr 2024 - 21:12


Depuis que la nuit a envahi le jour, le cabaret a été ce paysage qui lentement s’évanouit dans les décombres et morsures laissées par créature… Un paysage sur lequel fermer les yeux pour ne pas qu’il devienne un champ de tristesses, un jardin de cauchemars aux fleurs arrachées. Ça laisserait presque croire à une histoire proche d’une agonie sentimentale déchaînée, qui s’épuise à trouver un avenir impossible, qui est en train de gâcher leur passé. Ombre pleine de tendresse qui enrobe son palpitant à cette pensée. Leia avait pris l’habitude de s’endormir dans ses mensonges, avec l’image de ce que le cabaret était, alors même que son coeur ne rêvait plus. Elle effleurait ses songes à la recherche d’un déjà vu. Comme un très bon somnifère pour échapper à la réalité cassée pour se laisser engouffrer dans un autre monde où les folies lui donnent raison. Comme un caprice d’enfant qui donne des ailes et permet de fuir le brouhaha angoissant.

Mais aujourd’hui, elle a pu y remettre les pieds, même si l’cabaret reste fermé pour les habitués. Enfin, refouler le sol, la scène, retrouver les siens, sa place. Ça lui avait trop manqué, et l’excitation grésille sous sa peau, nerveuse comme si c’était le premier jour. Eux, privés de ce lieu, c’était comme un chagrin d’amour, un chagrin d’avenir. Ça renversait le futur, cognait les espoirs. C’est là où elle vidait son coeur pour pouvoir le remplir, puis l’ouvrir comme si elle offrait un fruit défendu dans lequel croquer à pleines dents. C’était s’inventer un tout petit bonheur à partir d’une fossette. Ah elle pourrait écrire des poèmes pour ce lieu, bavarde de souvenirs. Mais à la place, son corps retrouve son tempo, ses illusions leur berceau. Quelque chose palpite dans sa cage thoracique. Pitié faites que ça ne s’arrête jamais. Et murmures prophétiques l’appellent, déesse réclame alors nymphe obéit, grimpe jusqu’au sommet pour la rejoindre, sourire béat de la retrouver. “Thanks. I was afraid of being rusty but I was wrong… It feels good to be back. Thank you.” Adrénaline babille, sans vraiment comprendre pourquoi elle la remercie autant. Mais cils papillonnent en dévorant gorgone des yeux. “I missed you. I missed everyone.” Sourire qui mange visage. Genoux et fesses au sol, Leia s’fait complice d’ses délices. Déjà prête à retrouver leur dynamique antique. Petit ogresse prête à s’consumer dans l’adoration Chernobog. “Are you alright? Do you want me to get you another drink? Something to eat?” Offre poitrail grand ouvert, côtes écartelées pour que déesse immaculée y plonge griffes aiguisées. Mais oeillade se détourne vers spectacle répété en bas. Bientôt sirènes et tritons reprendront contrôle du désastre ambiant. Les lumières artificielles ne sont que fades pansements face au manque de l’astre rayonnant. Mais elle se sent à nouveau elle rien que par ce tour presque magique. Et pour l’instant ça lui suffit. Elle n’oserait pas demander plus de toute façon. Trogne revient vers beauté froide qu’elle dévisage un instant suspendu. “What can I do to help? Tell me.I’ll obey. Courbe échine trop facilement et s’adonne à traitement de l’autorité qui semble en peine. Prête à tout accepter, comme elle s’est trop pliée aux châtiments du passé.



@nicasia chernobog

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running because i can, 'coz i must, 'coz i want to see how far i can go before i have to stop


award:
Leia Damaris
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