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soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.6 thème; the marauders // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Leia Damaris
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faceclaim & © : viv may ; ava myself, code sign by vixen
(( moodboard ))
nature : murmure de (( sirène )), succube qui dévore le temps et les mers
saisons : (( 26 )) coraux habillent sa mortalité, sans autres jeux artificiels, jeunesse naturelle et faussement ingénue
myocarde : affamée d'amour, amoureuse des coeurs qui battent, avide d'attention, la peur de finir seule, volage et libertine, aime vite, trop fort, s'(a)donne à tous les plaisirs pour nourrir son âme brisée
besogne : (( illusionniste )) au cabaret, fait vivre des mirages, provoque paradis et enfers, "come to me and lose yourself here"
(( chasseuse )) de jolies pierres & herbes mystérieuses pour les sciences
errance : (( cover island )) enfin en refuge après avoir trop connu les autres îles, et des envies d'explorations toujours plus grandes malgré tout
# Jeu 9 Nov 2023 - 21:10


On peut toujours se peindre un bonheur même avec des pinceaux brisés. On veut de la passion ridicule au point que les gens nous croient un petit peu fou. On se veut joyeux bordel qui considère chaque revers comme un rebondissement pour le meilleur. On veut collectionner les amies aussi merveilleuses qu’étranges parce qu’elles aussi voient la magie et aident à la diffuser. On veut suivre son coeur de si près que la logique a du mal à l’rattraper.

Tout ça, c’est qu’elle possède aujourd’hui, c’qu’elle exhale. La légèreté des jours bénis où il flotte dans l’air des embruns de liberté. Ces jours où elle sait qu’elle croisera Zora, complice herboriste installée sur un étale du marché. Leia n’a de cesse de retourner la voir, lui apporter ses trouvailles, découvrir les siennes et admirer ce qu’elle en fait avec ses mains du divin.
Elle y retourne pour ces instants où elle se sent exister. Elle y retourne pour s’accrocher. À la photographie du moment, à ce bout d’amie, à une voix, un semblant de parfum. Et quand elles ne se voient pas, elle s’écrivent des tartines, du miel, du sucre, de la vanille, des indices sur les meilleurs spots de l’île.

Avec Zora, elle retrouve son innocence, cette capacité à s’émerveiller d’un rien, d’un tout. Bon, elle reconnaît, elle fabrique certaines histoires, laisse les autres dans un tiroir, faut pas choquer, faut pas faire fuir. Mais elle se jure qu’avec elle, ça reste sincère, qu’à elle deux, elles peuvent tout faire. Pour y arriver, pour réussir, pour reconstruire un avenir aussi. Elles se promettent, un jour, une heure, sans avoir peur de ne pas se trouver.

Et aujourd’hui, c’est le jour et l’heure.
Le bazar ambiant des échoppes lui donne de l’énergie, et quand elle déboule face à Zora, son sourire lui mange la moitié du visage. “Regarde ce que j’ai trouvé !” Pas le temps pour un bonjour, y a les contes de dame nature à étudier. Les sacs en toile déposés sur la table, c’est l’effusion des senteurs, une explosion de couleurs, nuances de vert qui s’est offert. “J’ai pas osé goûter, je préfère que tu jettes un oeil… Mais j’ai déjà un peu répertorié dans mon carnet et…
L’regard attiré par une silhouette au loin. Approche gracile et port altier. L’regard admire et laisse l’élégante avancer. C’qu’elle est belle…MEKARE !!!” Vite vite l’attirer. Et pourquoi pas réunir deux déités. Le signe de main qui se joint une nouvelle fois au prénom lâché, son sourire s’étire comme pour la rassurer. “Zora, je te présente Mekare, botaniste, divinatrice et bien d’autres choses. Mekare, voici Zora, herboriste expérimentée…” Un regard complice sur l’une, puis sur l’autre… L’enthousiasme mordant… “Vous étiez faites pour vous rencontrer !



@mekare bahari @zora blomgren

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running because i can, 'coz i must, 'coz i want to see how far i can go before i have to stop


award:
Leia Damaris
Zora Blomgren
Zora Blomgren
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faceclaim & © : Sabrina Carpenter (avatar : hemlockaes | signature : vixen, gif : soletear )
nature : ((Kraken)) en sentence funeste d’un petit soleil ne comprenant pas encore la haine.
saisons : L'innocence persiste, entichée d'une jeunesse presque mutine sur les traits à peine effleuré par la vingtaine. Le temps ralentit déjà, ne marque plus autant la silhouette de la petite naïade qui entame son ((vingt-deuxième automne)).
myocarde : ((Cœur océan)), qui change au gré des marées et des tempêtes. Elle aime, la gamine. Un peu, beaucoup, passionnément.
besogne : Petite sorcière des temps oubliés, gardienne des secrets de la flore et d'une faune raréfiée. ((Herboriste)) qui échange ses remèdes pour quelques services ou solarions.
# Lun 27 Nov 2023 - 8:15

They say, "Oh my god, I see the way you shine
Take your hand, my dear, and place them both in mine"
You know you stopped me dead while I was passing by
And now I beg to see you dance just one more time  
(é)merveille(s)

L’effervescence du marché ne cessera jamais de l’émerveiller. Les appels des marchands, tous plus tonitruants les uns que les autres pour attirer l’attention des passants. Les merveilles créées par les artisans. Les repas à emporter avec leurs fumets délicats. Les enfants galopant parmi la foule, le rire aux lèvres. L’énergie constante et régulière de cet évènement que presque rien ne saurait déranger. Ca la fascine, la petite sorcière, de voir tout se remettre en place à chaque fois. De ces habitudes presque immuables n’ayant pas changées depuis son enfance. Qu’importe ce qu’il se passe, tout reviendra à la normal. Comme un autre rappel constant de la nature.

Tourbillon d’énergie qui arrive et chasse les dernières bribes de mélancolie. Les azurées ont à peine le temps de trouver la comparse adorée que les sacs ne viennent s’échouer sur son étal, les plantes se dévoilant, aussi luxuriante les une que les autres. Les dextres écarte en délicatesse le tissu pour mieux étudier les feuilles, les fruits et autres caractéristiques offertes à son regard curieux.  « Ou les as tu trouvée ? » Politesse envolée, là aussi. Qu’importe, alors qu’elle est probablement déjà pardonnée. La petite sorcière a vite fait d’oublier les convenance, déjà bien trop concentrée sur cette nouvelle mission attribuée.  « Tu as bien fait. Ne jamais manger quoi que ce soit qui t’es parfaitement inconnu, la probabilité de tomber sur quelques chose pouvant t’intoxiquer est bien trop élevée. » Première des règles implantée sous son crâne par le vieux Blomgren, dès les premiers instant passés à ses côtés. Les explications s’enchaînent sans qu’elle ne relève des yeux du végétal et des dessins répertorié dans le carnet. Le nez se frousse, les phalanges s’attardant sur les pétales une dernière fois.  « Il s’agit d’une... » Phrase coupée par un cri du coeur qui lui arrache un sursaut. La kraken relève la tête brutalement, la confusion évidente dans le regard océan. Les céruléennes s’attardent un court instant sur le visage de son amie avant de trouver la silhouette ayant causée une telle exclamation. C’est qu’elle dévore ses traits avec curiosité, la démarche élégante, le port altier. L’étoile note chaque détail essentiel, les range dans un des interminables tiroirs de sa mémoire, comme elle cataloguerait une nouvelle fleur. Le sourire s’étire en écho de celui de la sirène.  « Enchantée miss Mekare. » Politesse refait surface face à l’inconnue. Les dextres regroupe la  plante échouée sur son étal avant de la remettre dans le sac en toile appartenant à la sirène.  « Avant que je n’oublie, ce sont des brèdes mafanes, tu peux parfaitement les manger. Elles ont également quelques propriétés médicinales. Est-ce que je peux vous offrir quelque chose à boire ou manger ? » Le minois se tourne également vers la nouvelle venue, l’invitation étendue sans la moindre hésitation.

  @Leia Damaris  @Mekare Bahari
[crédit; quotes ("Dance Monkey" de Tones and I) ]
Zora Blomgren
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# Dim 3 Déc 2023 - 15:09

(é)merveille(s)
@Leia Damaris & @Zora Blomgren
Les marchés avaient toujours eu une signification particulière aux yeux de la belle Bahari. Élevée par un père marchand de tissus et une mère couturière, ses pieds enfantins avaient eu de nombreuses occasions de déambuler entre les étales des artisans alors qu’elle vivait sur les îles fleuries. Puis, les années passant et les épreuves s’insinuant dans l’existence de la famille, un changement s’était opéré. La chaleur qui se dégageait du lien social, des rencontres faites avec les acheteurs, cette dernière était devenue source de conflits, de violence insidieuse. Jusqu’à ce que les chaînes ne se brisent. Jusqu’à ce que Mekare ne prenne la décision de tourner les talons sur la vie qu’elle avait toujours connue avec les siens. Elle ne regrettait pas son choix. Même si l’amour de sa lignée lui manquait. Ici, elle était seule, aux prises avec ce qui la constituait maintenant. Certes, la liberté était sur le bout de ses doigts. Elle avait pu repartir de zéro. Elle avait fait des rencontres qui faisaient palpiter ses veines d’un souffle nouveau. Elle n’avait pas à se cacher. Son alter n’avait pas à se cacher, tout du moins.

Elle s’était décidée à se rendre au marché pour acheter certaines herbes qu’elle ne parvenait pas à faire pousser dans sa serre. Même son auto-suffisance avait des limites. Déambulant avec délice, elle se penche de temps à autre pour observer avec curiosité ce qui attire son œil. Jusqu’à ce que son oreille ne soit stimulée. « MEKARE !!! » Un sursaut secoua le corps de l’humaine tandis qu’elle se tournait vers l’appel. Elle ne tarda pas à reconnaître la jolie Leia. Son visage se fendit d’un sourire doux et se décida à approcher, son palpitant se calmant au fur et à mesure de ses pas. La jeune Damaris était apparue dans l’existence de la brune alors qu’elle la sollicitait pour ses talents de divinatrice. Le visage jovial revenant régulièrement et les conversations fluides avaient suffit pour que Mekare ne s’attache à la jeune illusionniste. « Zora, je te présente Mekare, botaniste, divinatrice et bien d’autres choses. Mekare, voici Zora, herboriste expérimentée… » Des présentations ne tardent pas à fuser et la fugitive hocha la tête en direction de la kraken en face d’elle. « Vous étiez faites pour vous rencontrer ! », s’exclama la sirène, provoquant un souffle amusé d'entre les lèvres de Mekare. « J’allais le dire. », ajouta-t-elle sincèrement en dévorant l’étale du regard. Une herboriste aurait sûrement de quoi la fournir en éléments pour ses séances de divination. « Enchantée miss Mekare. » « De même Zora. Et juste Mekare, je t’en prie. », répond-t-elle, un peu gênée devant tant de manières. Elle avait l’impression d’être traitée comme si elle était sa matriarche ou bien supérieure à elle, ce qui était loin d’être le cas. Elle observe la petite blonde ranger des brèdes mafanes dans un sac en toile. « Avant que je n’oublie, ce sont des brèdes mafanes, tu peux parfaitement les manger. Elles ont également quelques propriétés médicinales. Est-ce que je peux vous offrir quelque chose à boire ou manger ? » Peut-être que la Damaris était venue lui demander des conseils, supposa-t-elle. « Je ne veux pas m’imposer surtout si vous aviez du travail ou que vous étiez toutes les deux en pleine conversation. », déclara-t-elle en reculant d’un petit pas. Non pas pour s’enfuir, mais pour mettre de l’intention dans ses gestes, prouvant qu’elle était prête à les laisser entre elles.

[crédit; apyest + hannah]
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# Lun 4 Déc 2023 - 20:27


Être chez soi. C’est une phrase qui panse les plaies, une phrase comme le baiser d’une mère sur une écorchure au genou, une phrase comme le sourire décoché par une soeur complice. Dans cette phrase, on n’entend pas le cheminement. On est transporté par la promesse du soulagement. Celui de se recomposer auprès des siens. Rentrer chez soi. En ressentant cette phrase, elle y est déjà. Et c’est exactement ce qui la traverse en observant Zora et Mekare s’appréhender : un bien-être familier qu’elle avait oublié… mis de côté…

Il y a des moments où elle sent que ses plaies se referment, où elle sent un répit. Elle se souvient alors qu’elle n’est ni ses pensées, ni ses émotions, seulement un être venant faire l’expérience de les ressentir. Ce sont ces jours où la fuite peut prendre fin, où la course peut s’arrêter ; elle la quitte comme un vieil ami qui lui aurait permis de s’aventurer dans la vie courageusement. Et c’est exactement cet instant qu’elle vit, auprès de ces deux amies.

Elle les dévore des yeux sans s’en rendre compte, alors que la politesse de l’une emporte la timidité de l’autre. “Sshhshsh Mekare! You stay right here with us!” Le bras qui se glisse doucement pour enlacer le sien et la rapprocher un peu de sa chaleur contagieuse. Puis dans un regard à Zora, la moue se fait taquine. “We’d love a cup of your magical tea please… And I’m always hungry, so I’ll get what you’ll have haha!” La belle kraken répond par les actes et se met en mouvement pour leur servir un doux moment. Les petites chaises à disposition invitent à se poser et bien que Leia y guide la divinatrice, elle, s’arrête pour chiper une brède mafane et la goûter sans douter. Mais la surprise étrangle vite la sirène. “Whatchehell!” Langue piquée d’une saveur poivrée, avant d’être légèrement anesthésiée, elle se dit qu’elle devrait arrêter de tout mettre dans sa bouche aussi vite. Peut-être que ça méritait d’être mijoté ou braisé. Le thé brûlant est bienvenue pour apaiser la maladresse après un énième râclement de gorge disgrâcieux. “Alrightch! Let’sch get back to you two.” D’une moue qui feint le stoïcisme immaculé, Leia fait mine de reprendre comme si rien ne s’était passé, le dos droit, la nuque tendue. “Zora, you should ask Mekare one of her fortune-telling session. Maybe you’ll get to know with whom you’ll be impregnate? If you want to know of course…” Les yeux bruns se perdent un instant dans le vide et son visage perd un bout de son enthousiasme légendaire. “You’re lucky to have that kind of destiny awaiting…” L’âme romantique que Mekare connaît refait à peine surface que la sirène la refoule au fond de sa poitrine en se redressant vivement. “By the way Mekare, for our future meeting, I want to know who I am gonna bang next time!” Classic Leia shit.



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